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20 juillet 2013

Guide de survie au domicile par temps de chaos

Le jour où les lumières vont s'éteindre signera le départ d'une longue descente aux enfers pour la société telle que nous la connaissons, ainsi que la majorité de ceux qui la composent.

C'est à partir de ce moment-là que nos capacités de survie seront mises à rude épreuve, pour un temps plus ou moins long, avant qu'un semblant d'organisation reprenne le dessus.

Quels seront alors les savoir-faire (et savoir-être) à posséder ? Comment se préparer à une telle éventualité ? Voici une tentative d'approche pas toujours conventionnelle des besoins et des moyens...



Mon intention en écrivant cet article n'est pas d'énumérer un ensemble de techniques et matériels de survie, mais de souligner celles et ceux qui me paraissent essentiels en temps de chaos, dont certains méconnus ou injustement oubliés. Pour le reste, de nombreux livres et sites répertorient avec moult détails tout ce qu'ils croient être indispensable ; libre à chacun de s'y reporter, et de faire le tri...

Certaines de mes approches vont à contre-courant et pourraient heurter vos connaissances ou votre sensibilité. Cependant, elles ont largement fait leurs preuves et je vous invite à les considérer. Nous commencerons par quelques conseils généraux, avant d'examiner les besoins fondamentaux tels que se nourrir et se protéger.


Conseils généraux


Ce sont les savoir-faire et savoir-être que je considère comme réellement indispensables en cas de rupture sérieuse du système susceptible de dégénérer en guerre civile. La plupart concernent la conduite à tenir à l'intérieur du domicile, tout particulièrement si l'on réside en ville ou seul à la campagne. Le but n'est pas de vivre ad vitam aeternam suivant ces principes, mais de tenir trois mois, période que j'estime suffisante pour que le ménage se fasse et qu'apparaisse un nouveau tissu organisationnel.

Cette durée est purement spéculative et il est bien entendu impossible de prévoir combien de temps durerait le chaos, et quelle serait sa nature. Mais nous ne sommes pas un peuple de primates, du moins pas tous, et nous avons largement prouvé nos capacités d'adaptation et d'organisation par le passé. L'histoire de France est jalonnée de périodes " apocalyptiques " auxquelles la population a toujours survécu, en plus ou moins grande partie, la preuve étant que nous sommes encore là aujourd'hui.

Si je pense à trois mois, c'est parce qu'une telle durée serait suffisante pour opérer un premier tri qui permettrait de repartir sur de nouvelles bases. Car la sélection se fera, d'une manière ou d'une autre, que les gens le veuillent ou non, en commençant par les plus faibles et les plus naïfs. Si l'on part du principe que les supermarchés seraient vides en l'espace de trois jours (voire beaucoup moins que cela), et compte tenu du degré de préparation presque nul des populations, il est facile d'imaginer le résultat au bout de trois mois !




Contrairement à ce que pourraient penser certains lecteurs au vu de mes articles précédents, je ne préconise certes pas la ville au détriment de la campagne. Mais il serait ridicule de ne pas reconnaître qu'aujourd'hui la majorité de la population est constituée de citadins, qui n'ont pas les moyens d'acquérir ou d'habiter une maison dans la verte afin de se préparer sereinement à un éventuel effondrement du système. C'est à ceux-là que je dis qu'il serait suicidaire de vouloir quitter les villes à tout prix. Même s'il est vrai que la campagne présente a priori plus d'avantages en terme de survie, il est tout aussi probable que les routes constitueraient l'un des pires endroits où se trouver au petit matin qui déchante. La meilleure chose à faire, à mon avis, serait de rester en ville si l'on ne dispose pas d'autres options, le temps que la transition s'effectue et que les choses se stabilisent, et ENSUITE, éventuellement, migrer vers la campagne.

Je persiste à penser que ceux qui prétendent que l'on ne pourrait pas survivre en ville se trompent. D'abord parce que la campagne ne sera pas forcément plus sécuritaire, mais aussi parce qu'indépendamment de la situation et du lieu, il y en aura toujours qui en réchapperont. Dire que tous les citadins sont condamnés d'avance est aussi pessimiste qu'irréaliste.

En attendant ce jour, voici quelques conseils pour survivre à la transition :

  • Cacher sa présence
Pour vivre heureux, vivons cachés... comme le recommandait le poète. Cela est encore plus vrai lors des périodes troubles. Évitez autant que possible les lumières (naturelles ou artificielles), le bruit, la combustion (fumée) et plus généralement tous les signes susceptibles d'indiquer une présence humaine là où vous êtes. Vivez aux rythmes naturels du jour et de la nuit. Restez chez vous, ne sortez qu'en cas d'absolue nécessité et uniquement la nuit si vous avez à le faire.

De manière générale, gardez un profil bas dans tous vos actes et en toute circonstance. Si vous devez sortir, ne le faites pas en tenue paramilitaire du style " urban warrior ". C'est le meilleur moyen d'attirer les prédateurs qui pourraient croire, à tort ou à raison, que vous possédez des armes ou des équipements de valeur. Habillez-vous de la façon la plus neutre et la moins attirante possible ; si vous avez des armes, ne les portez jamais apparentes et ne les utilisez qu'en derniers recours.

Rappelez-vous que le meilleur moyen de survivre à la guerre est de ne pas la faire.
Remarquez que je comprendrais aussi ceux qui ne voudraient pas perdre une pareille occasion...

En plus de ses actes, il faudra se montrer le plus DISCRET possible dans son comportement. La discrétion doit être de mise dans tous les échanges avec nos semblables. Une situation d'effondrement impose plus que toute autre de rester circonspect sur ses affaires et celles des autres. La délation constitue l'un des pires fléaux des temps de guerre. Même s'il serait inexact de prétendre que le nombre de morts qui lui est due excède celui par balles, l'idée n'est pas si exagérée. Vous devez vous taire, et à moins que cela soit vraiment indispensable, parler le moins possible. N'évoquez sous aucun prétexte les facilités dont vous-même ou d'autres pourriez disposer. Ne dites jamais, et cela commence aujourd'hui même, que vous vous préparez à l'effondrement, que vous faites des stocks, que vous avez des armes, etc. Seules votre famille ainsi que les personnes avec qui vous projetez de vous réunir devraient être au courant. En parlant à tort et à travers, vous faites de vous-même et de vos proches des cibles potentielles. En cas de problème, les gens sauront où il faut aller pour s'approvisionner...




  • Manger le moins possible
Non seulement pour économiser les stocks, mais aussi et surtout pour limiter au maximum les déchets du métabolisme. Une rupture de l'approvisionnement en eau étant possible, voire très probable dans les grandes villes, stockez en quantité des sacs poubelles de petite contenance ; ou prévoyez de la sciure pour des toilettes sèches...

  • Maintenir la vigilance
Assurez une garde armée 24h/24 partout là où vous vivez. Même si vous ne pouvez pas rassembler un groupe au complet, vous avez au moins un ou plusieurs amis qui pourraient vous rejoindre en cas de trouble grave. Parlez-en avec eux dès maintenant, et montez ensemble une stratégie de défense. Le jour venu, rassemblez-vous à l'endroit que vous aurez déterminé à l'avance (le plus sécuritaire, cela va de soi) ; établissez des tours de garde et maintenez une présence vigilante permanente.

  • Se tenir informé
Faites l'acquisition d'une petite radio à dynamo pour pouvoir suivre les nouvelles. Même si les grandes stations disparaissent, il se trouvera toujours des radios locales ou des amateurs équipés pour informer la population.


Les besoins fondamentaux


  • Se nourrir
Ne commettez pas l'erreur d'entasser des kilos de sucre ou de conserves de basse qualité. De tels aliments sont de véritables poisons. En les consommant sur une période continue, vous allez vous créer de sérieux problèmes de santé qui s'ajouteront au reste. Essayez donc les graines (voir Un véritable aliment de survie). Vous verrez qu'au bout de trois mois, en dépit de privations toutes apparentes, vous serez bien mieux que vous ne l'avez jamais été, et il est même probable que vous ressortiez guéri de vos troubles éventuels.

De plus, les graines n'ont pas besoin d'être cuites comme les céréales, ni même réchauffées. Elles se préparent toutes seules en quelques heures en les recouvrant d'un peu d'eau. Vous n'avez donc pas besoin de systèmes de cuisson. C'est l'aliment de survie par excellence, moins cher, plus énergétique et beaucoup plus naturel que les plats lyophilisés ou les conserves. Un petit réchaud à gaz avec quelques cartouches en stock suffiront pour vous préparer une soupe ou une boisson chaude à l'occasion.

Un sac de trois kilos de graines de tournesol qualité BIO, en vente sur internet pour moins de 20 euros, permettra de vous nourrir pendant 15 jours. Avec six sacs vous tenez trois mois, et vous n'avez besoin de rien d'autre qu'un peu d'eau ! En volume, cela ne représente pas plus qu'un jerrycan de 20 litres. Ceux qui prétendent que l'on ne peut survivre en appartement par manque de place, ou qu'il coûte cher de faire des réserves devraient méditer cela.

Les céréales (riz complet, blé, orge...) et les légumineuses (lentilles, haricots, pois...) sont aussi à considérer, même si elles sont moins riches en éléments nutritifs et minéraux que les graines. Contrairement à ces dernières, elles doivent être cuites, ce qui peut poser problème dans les cas extrêmes. Malgré ce, ces trois catégories d'aliments sont à privilégier absolument. N'oubliez jamais qu'en plus de se consommer, les graines, céréales et légumineuses peuvent aussi se planter et se reproduire, contrairement aux boites de conserves... Ce sont des aliments " vivants ", susceptibles de vous recharger en énergie vitale puisqu'ils contiennent par définition tous les éléments nécessaires au développement de la vie.

Dans tous les cas, ne stockez jamais d'aliments que vous ne consommez pas habituellement, sinon dans le but très éventuel de les échanger. Restez sur ceux que vous connaissez et qui vous conviennent. Préférez toujours les produits naturels et complets à ceux frelatés de l'industrie agro-alimentaire. Il faut vraiment être stupide pour stocker des quantités de Nutella et autres saloperies du même genre en prévision de pénurie ; Ces " aliments de confort " (sic), tels que les survivalistes (suisses) les appellent, issus tout droit des mêmes trusts mondialistes qu'ils vilipendent par ailleurs !




  • Stocker l'eau
On estime à 4 litres le besoin par jour et par personne dans une optique de survie. Une telle quantité permet de boire, cuisiner, et faire une toilette de chat. Considérez donc les membres de votre famille ou de votre communauté, et faite le compte... Prévoyez des filtres à charbon actif et produits de décontamination tels que l'argent colloïdal, la teinture d'iode (pas plus de trois semaines), le permanganate de potassium, voire l'extrait de pépins de pamplemousse.

En appartement : Ayez toujours en stock une dizaine de jerrycans d'eau de 15 ou 20 litres. En cas de manque, pensez à celle qui se trouve dans les chasses de toilettes et les chauffe-eaux. Bricolez un système de récupération d'eau de pluie au cas où celle de la ville cesse de couler. Ce sera facile si vous disposez d'un balcon, par exemple avec un parapluie percé et placé à l'envers au dessus d'un seau. Sinon, débrouillez-vous à partir d'une petite ouverture de votre appartement (fenestron de salle d'eau, WC, cuisine). Ayez toujours des récipients vides et récupérez autant d'eau que vous pouvez.

En maison individuelle : Faites creuser un puits tout près de votre habitation, et non pas un forage qui nécessite de l'électricité. C'est absolument indispensable. Aménagez des systèmes de récupération d'eau de pluie à partir des gouttières. Si vous disposez d'une cave suffisamment grande, construisez un bassin en ciment ; c'est le meilleur moyen pour stocker de l'eau, beaucoup plus sain que les conteneurs en plastique. L'acidité naturelle des matériaux empêchera la formation d'algues et permettra de conserver l'eau sans y ajouter de produits chimiques.

  • Se protéger
Vous devez maintenir un niveau d'alerte rouge permanent, surtout si vous habitez en ville, et faire en sorte qu'il y ait toujours une personne au moins pour assurer la garde, de jour comme de nuit. Quel que soit votre lieu d'habitation, il vous faut impérativement un fusil de chasse en calibre 12 ainsi qu'un stock conséquent de munitions. C'est avec l'eau et la nourriture les trois choses qui soient réellement indispensables. Chaque membre du groupe en âge de se défendre devrait disposer d'au moins une arme à feu. On estime que quatre ou cinq personnes armées sont nécessaires pour assurer la sécurité d'une maison individuelle, deux au minimum pour un appartement.




Si vos fenêtres ne disposent pas de volets ou de stores, doublez-les de papier-bulle ou de plastique opaque, tel que celui utilisé par les peintres, de manière à ce que l'on ne puisse pas voir ce qui se passe chez vous. Prévoyez des rouleaux de film noir dans l'hypothèse ou il faille les obscurcir totalement. Il serait également judicieux de stocker des rouleaux de grillage fin pour doubler le vitrage au besoin.

Si vous êtes en maison individuelle, il faut prévoir en plus des matériaux susceptibles d'être entassés entre les volets et les fenêtres pour faire office de pare-balles. Ce peut être des sacs de sable ou de ciment, des pierres, éventuellement des parpaings. L'idéal serait de pouvoir combler toutes les ouvertures du rez-de-chaussée jusqu'à hauteur d'homme.

Vous devez aussi être en mesure de vous protéger des basses températures, voire très basses suivant la région où vous habitez. Prévoyez un sac de couchage épais, ainsi que des couvertures en laine et des vêtements adaptés. Une tente, montée à l'intérieur du domicile, pourra vous aider à garder un peu de chaleur durant la nuit. Si vous vivez en campagne, il est indispensable de conserver quelque part un poêle à bois.

  • Se soigner
Si vous êtes blessé et que vous ne disposez pas de trousse de secours, sachez que l'urine est un excellent aseptisant et cicatrisant. Elle est connue pour ses vertus thérapeutiques depuis l'antiquité. Contrairement aux idées reçues, soigneusement entretenues par le corps médical, l'urine d'un être humain en bonne santé n'est pas " sale ", mais au contraire parfaitement stérile. Ce n'est pas un rejet, mais un concentré en acides métaboliques et autres substances corporelles normales que l’on trouve habituellement dans le sang et dans le liquide intercellulaire.

De nombreuses personnes placées en situation extrême ont survécu en la buvant, et le fait est qu'un homme peut alors tenir beaucoup plus longtemps que les " 3 jours sans eau " qu'on lui accorde traditionnellement. C'est ainsi que des personnes ont été sauvées de la déshydratation et retrouvées vivantes lors de tremblements de terre parfois plus de dix jours après leur ensevelissement. L'idée pourrait vous choquer, mais c'est bien de survie dont nous parlons. Tapez urinothérapie ou amaroli sur votre moteur de recherche ; si vous êtes prêt à élargir vos conceptions, vous découvrirez des choses étonnantes.

De toute manière, je n'ai aucun souci à ce sujet : si les évènements devaient prendre une tournure dramatique, les gens seraient prêts à faire des choses beaucoup plus ragoutantes pour survivre.

Pour ce qui est de la lutte contre les maladies microbiennes et les infections, je vous conseille vivement d'utiliser du chlorure de magnésium plutôt que des antibiotiques issus de la médecine allopathique. Ces derniers, outre leur spectre d'action trop spécifique, détruisent la flore intestinale et entraînent des effets secondaires souvent pire que le mal, à savoir, entre autre, des candidoses chroniques pratiquement irréversibles. A l'inverse, le chlorure de magnésium permet de traiter toutes les maladies infectieuses, du simple rhume à la redoutable malaria. Il a prouvé son extraordinaire efficacité dans nombre de pathologies considérées comme incurables par la médecine officielle. Son unique tort est d'être bon marché, donc de ne rien rapporter à la mafia des laboratoires pharmaceutiques. Ces derniers l'ont de ce fait rayé de leurs tablettes, en ridiculisant leurs adeptes ainsi que les professeurs de médecine qui avaient osé démontrer leurs mérites (voir les travaux des géniaux professeurs Delbet et Neveu sur la guérison de la polio avec le chlorure de magnésium). En fait, ce produit aide le système immunitaire à se débarrasser lui-même des agents pathogènes, quels qu'ils puissent être. Il est indispensable d'en conserver en stock en prévision de pandémies d'origine inconnue ou d'attaques bactériologiques (le chlorure de magnésium est disponible en pharmacie en sachet de 20 g à diluer dans un litre d'eau).


Tels sont quelques conseils qui, à mon sens, devraient nous assurer de meilleures chances de passer le cap. Le reste est affaire de chance personnelle et de destinée. Gardons à l'esprit que s'il faut se battre, autant le faire avec panache, et s'il faut mourir, n'importe quel jour en vaut un autre...

26 commentaires:

  1. Salut voisin dracénois !
    Ton excellent article m'a fait penser au témoignage de Ferfal :
    http://le-projet-olduvai.blogspot.fr/2012/12/crise-en-argentine-ferfal.html

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    1. Salut Syl. Je ne connaissais pas ce Ferfal, mais après avoir parcouru la page que tu as citée, je constate que nos positions se rejoignent. Ce qui est finalement normal puisque les situations de chaos entraînent les mêmes conséquences, quel que soit le lieu où elles apparaissent.

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  2. Oui, on pourrait aussi retrouver certaines choses dans les autres témoignages sur Odulvai (LA92 par exemple) ou sur la Bosnie (un article lu sur le site de Volwest).
    Je pense que Ferfal est le plus "proche" de notre situation.

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  3. 3 classes social en France = La noblesse actuelle : hommes politiques , industriels , financiers, star du show bizz , du sport et autres conneries , magna divers et variés. Eux seront a l'abris avec leurs millions . La classe moyenne ou le peuple : ouvriers, artisans , fonctionnaires , salariés celle qui souffre, qui est bafouée et maltraité par ses dirigeants et le système économique et la dernière qui est la meilleure : Les assistés ,issus de l'immigrations ou non , souvent des minorités, parasites du système , vermines modernes que l'état engraisse a ne rien foutre par peur de conflit sociaux. Alors quand arrivera le chaos se sera eux ou nous mais quand ? . 3 mois semble la durée la plus probable que se soit en cas d'épidémie majeur ou de guerre civile, en cas de bordel l'instinct revient toujours et c'est de ce regrouper en groupes idéologique ou ethnique

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  4. croire en DIEU et prier , car la vie sur terre resume a se preparer pour passer de l'autre cote et vivre eternellement aupres de DIEU
    tout vos gentils conseils ne vous emeneront pas vers le CREATEUR

    la destinee de l'homme est definie a sa naissance, on vient de quelque part pour y retourner

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    1. En fait voyez-vous, mes " gentils conseils " sont justement faits pour nous amener vers le Créateur le plus tard possible... En ce qui vous concerne, je vois de toute évidence qu'il vous tarde de le rejoindre.

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    2. C'est peut-être ton dieu qui t'as inspiré l'idée de venir sur ce blogue. Pourquoi?
      Aide toi et le ciel t'aidera.
      Quand tu sera là-haut il faudra lui dire que tu préférais prier que de te préparer.
      Mourir c'est facile, c'est vivre qui ne l'est pas.

      BEB

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    3. Alors soyez vraiment sympa, et faites preuve de charité puisque vous le connaissez a priori si bien le "créateur" de tout ce bordel , auriez vous l'extrème obligeance de le rencontrer au plus vite , pour lui dire de nous foutre la paix sur cette planète et qu'il veuille bien aller exercer sa sollicitude sur d'autres,ce n'est pas le nombre qui manque !!!

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    4. Bah alors il ne faut rien faire, juste attendre la mort, quoi. Y a vraiment des gens qui n'ont pas toutes les connexions....

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  5. ça me fait bien rire et bien priez le jour venu que quelqu'un ne vous tranche la gorge pour pour vous piquer votre dernier morceau de pain ou peut etre parce que vous ne priez pas le même dieu que lui.......
    moi je préfère croire en ce que je voie tout les jours et les enseignements que j'en tire font que je pense que prier ne vous sauvera pas la vie.

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  6. Surtout que D... et autres synonymes n'ont jamais existés car, inventions de petits malins pour endoctriner les masses et les faibles !!!

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  7. Ceux qui seront prets pour le chaos vivront surement plus longtemps et peut etre que ceux qui auront prié se retrouverons pres du Père alors que ceux qui s'etaient preparés iront dans un lieu de souffrance eternelle. Chacun son point de vue (Je ne critique personne).

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  8. En cela vous supposez donc que Noé n'aurai pas eu sa place au près de l'éternel !!
    Car que vous le vouliez ou non Noé etait le premier des survivalistes. Que cet état de fait lui soit venu du divin ou d'Internet c'est pour moi pareil.

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  9. ces vrai que tout ses conseil nous aide beaucoup mais en cas de guerre il serait preferable d'allez en foret

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  10. Pour la Nutella ça se discute perso j'en prendrai dans mon stock de nourriture car c'est un aliment très sucré et riche en graisse, donc énergétique et pis en plus c'est bon.

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  11. Aujourd'hui, le monde change, et je dis aujourd'hui, le 30.09.2015. Votre article nous aidera sans doute beaucoup. Merci.

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  12. Bonjour,

    Je m'étais déjà un peu renseignée et maintenant je pense qu'il est bientôt temps... Je pense qu'une guerre se prépare. Je ne sais pas de quelle ampleur mais qu'elle qu'elle soit, il y a de fortes chances que nous ayons tous besoin d'un guide de survie.

    Cependant, j'arrive pas à savoir comment en parler autour de moi... Surtout à ma moitié qui, je pense, n'y croit pas un seul instant...

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    1. Salut, depuis quelques jours, je me renseigne aussi... et suis a priori dans le meme cas que toi. J'en ai parlé tres rapidement a ma femme, qui s'est moqué. En pere de famille, je vais me préparer petit a petit, le jour J sera également quand l'electricité nous lachera. Penser aux rations, de quoi me défendre, sans lui en faire part. ET Si, ce que je n'espere pas, ce jour arrive, je serai pret,pour eux (ma femme et mon fils) et pour moi.

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    2. Riesling et Zastava M77 .308 w17 novembre 2015 à 20:27

      Salut les deux du dessus.

      Ouais c'est normal pour les bonnes femmes, la plupart - pas toutes - sont incapables de faire face sérieusement à l'idée, lobotomisées qu'elles sont par la société de consommation et ses futilités illusoires.

      Dans le temps, TOUTES les femmes (nées avant 1940) étaient constamment consciente des risques d'instabilité. Ce temps est révolu.

      Mon épouse se foutait de moi aussi, jusqu'à vendredi soir. Mais samedi matin il s'est passé un truc, elle a complétement changé d'avis...

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    3. @ Riesling, les deux du dessus et celui d'en dessous

      "Mon épouse se foutait de moi aussi, jusqu'à vendredi soir. Mais samedi matin il s'est passé un truc, elle a complétement changé d'avis..."

      Méfie toi ... :)

      Laurent

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  13. Bon faudrait rester serieux,1er point ce mettre a l'abri ideal une foret l'ennemi attaque villes et village jamais les bois a moins d'y cacher une armée.2e un abri pour la nuit et un bon petit feu, 3e nourriture soite du gibier , lapin etc sinon essayer de vous procurer de la nourriture dans les maison abandonné, 4e une arme peu importe le calibre pas une 22 mais au moins un 9mm ou fusil d'assaut, ensuite prendre des nouvelle, observer les deplacements essayé de rassembler des personnes et constituer une riposte, ou une résistance , detruire les vehicules, eliminer les grader car sans chef les soldats seront destabiliser, elimer les radio, les reserve de carburants , mettre la mains sur la nourriture et convois d'armes enfin essayer de rester en vies et attendre le regroupements des alliés!

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    1. Mouais, faut il que les grades soient eux-mêmes respectés dans l'armée... Fort à parier que lorsque les lumières s'éteindront l'armée se divisera d'elles-mêmes puisque c'est ce qu'il se passe déjà !!!

      Voir reportage : http://www.tvlibertes.com/journal-du-mercredi-9-mars-2016-social-la-loi-travail-dans-limpasse/

      Mirabelle

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    2. Des actions de guérilla puisque manifestement c'est ce que vous préconisez sont également tout à fait possible en ville. Ne vous en déplaise.

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  14. Un grand merci pour la découverte du chlorure de magnésium comme alternative aux antibiotiques.cela fait un an que je suis ce blog plein de bon sens.Moi le mec bizare; raciste(alors que ma femme est black)toujours surpris de voir que peut de personne on compris ce qui nous attend et qui sont nos ennemis(religion de paix et d'amour et CPF)je me sens moins seul en vous lisant.Merci et que dieux et le 12 vous garde.

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  15. Personnellement et après y avoir réfléchi un moment, je possède un magasin en zone indus, rien à voir avec l'alimentaire mais très sécurisé. Des fenêtres donnent sur des toits, donc possibilité de cultiver, récupérer l'eau. Moins d'ouverture qu'une maison, environnement plus dégagé etc etc. En cas de soucis, c'est là qu eje me rendrais !

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    1. Bien organisé, ça peut en effet être une bonne solution si les toits permettent les cultures. Penser à maquiller le magasin pour qu'on croie qu'il n'y a plus rien à piller. J'espère que les toits ne sont pas visibles par au-dessus.

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