Le peuple des épargnés

La lecture des nouvelles, lorsque j'en ai le temps et le courage, ainsi que certains commentaires du blog, est toujours pour moi l'occasion de quelques réflexions.

Je vous livre ici mes dernières ; Même si, n'étant que l'expression de ma conscience du moment, elles sont à ce titre probablement imparfaites ou incomplètes.

Anticiper le futur, imaginer ce que demain pourrait être, est un exercice difficile. Cependant, certains éléments du présent sont à même d'en donner une idée. Voici donc celle que je me fais en ce qui concerne l'avenir du pays, et le nôtre en particulier...



Il y a dans toutes les guerres et batailles, même les plus longues et les plus meurtrières, des gens qui en réchappent. Pas toujours les meilleurs, certes, mais je peine à imaginer qu'il n'existe pas quelque raison cachées à ces choix - souvent injustes au vu de notre pauvre entendement.

Il en sera de même dans celles à venir, qui ne sauraient tarder à présent. Car c'est à ce triste destin que sont désormais condamnés les peuples d'Europe ; destin auquel ils ne pourront échapper, quoi qu'ils puissent dire, faire, penser ou voter. Du moins ceux vivant à l'Ouest et dont la France est le triste chef de file, au même titre que l'Allemagne, la Belgique, et, dans une moindre mesure - la marge étant faible - l'Espagne, l'Italie, et la Suisse.

Nous avons été une grande et fière nation, l'une des premières puissances de la planète, au rayonnement quasi universel. Mais tout cela, c'était avant. Avant que les bougnes et les boucaques n'envahissent le pays, pourrissent nos villes, ainsi que la vie de nos femmes et nos enfants.

J'aime beaucoup ces lignes, qu'un lecteur du blog m'a fait parvenir. Je vous les livre telles que je les ai reçues :

Mon intuition me dit qu'il y aura des gens appelés "Peuple des épargnés", qui seront mis relativement à l'abri des évènements mortifères qui approchent. Des brebis que Dieu veut éprouver, certes, mais préserver au final.
Autour de ces brebis, il y aura des "serviteurs" marqués au front par le sceau du surnaturel. Comme des chiens de berger.
Chacun de ces serviteurs, bien que très humain et très imparfait, semble avoir été parfaitement ciselé par son existence pour la tâche qui l'attend.
Beaucoup ont souvent eu des vies de merde. La rue, la prison, la guerre ; des blessures, des souffrances et des épreuves diverses. Chacun a reçu ou acquis les qualités nécessaires, mais porte aussi par ailleurs tout le poids de ses imperfections... Pas de super-héros en perspective...

Je les trouve réconfortantes, et prie pour qu'elles s'avèrent exactes.

Le moins pire des scénarios

Il existe de nombreux scénarios possibles pour la suite à venir. Le moins pire à courte échéance étant sans doute celui qui adviendrait si rien ne se passait. En d'autres termes, si aucun désastre majeur - naturel ou humain - ne venait à interrompre le cours "normal" des événements. Soit, pour ce qui nous concerne, la lente et mortelle submersion du peuple des français de souche.

Ce scénario n'amènerait ni plus ni moins que la balkanisation de la France, ou, pour reprendre un terme mieux adapté à notre histoire, sa féodalisation. C'est le scénario auquel nous sommes irrémédiablement condamnés dans le meilleur des cas, si l'on peut dire. Les statistiques le confirment un peu plus chaque année. Au rythme de 75 % de pontes simiennes en Île de France, et 30 % sur le reste du territoire, il ne faudra pas attendre bien longtemps pour que nous devenions minoritaires dans notre propre pays. Le peuple français, ne possédant pas le capital génétique requis pour vivre dans la bêtise crasse et la saleté permanentes, n'aura d'autre choix que de se regrouper en communautés de type féodal, pour sa propre survie.

De leur côté, les boucaques & métèques associés feront de même, après avoir progressivement chassé de leurs territoires tous les empêcheurs de patauger dans la merde. Les plus grandes villes de France leur appartiennent déjà, et c'est dans les villes qu'ils s'installeront ; les blancs devront se rabattre sur la campagne et la périphérie, n'ayant de toute façon pas d'autre choix.

Un tel scénario entraînera la guerre permanente du fait de l'incapacité des populations allogènes à assurer leur "propre" subsistance, étant bien trop connes et fainéantes pour cela. Nous assisterons donc à des incursions armées dans les communautés de souche les plus vulnérables, menant à des pillages et razzias de femmes, d'enfants et de nourriture, que seuls les blancs seront capables de produire.

Rien de très nouveau sous le soleil, et c'est un scénario que nous connaissons bien pour l'avoir expérimenté des siècles durant. Sauf que cette fois, l'ennemi est plus proche qu'il ne l'a jamais été. Une fois les munitions épuisées, on en viendra naturellement aux lances, épées et massues, les blancs compensant par leur intelligence le surcroît naturel de force physique de leurs adversaires.

La royauté aura lentement permis au pays de sortir de la féodalité pour devenir une véritable nation, unissant les terres en un tout qui a fait son histoire et demeure dans les consciences ; la république l'y aura replongé, de manière inversement rapide. Combien de temps faudra-t-il encore ? Une génération à peine. Si nous ne vivons pas une telle transformation, nos enfants, eux, seront aux premières loges pour en souffrir des conséquences.

Puis, après quelques siècles ou décennies, parce que les bananes ne poussent pas toutes seules sous nos latitudes, et que la terre doit être travaillée pour qui veut en tirer sa subsistance, le blanc récupérera son pays. Après moult batailles épiques et sang versé, jurant comme à l'accoutumée qu'on ne l'y prendrait plus...

Le plus probable

Ce n'est qu'à regret que j'utilise ces termes, car c'est bien de cataclysmes dont il s'agit.

Une guerre mondiale, un basculement des pôles, une chute de météorites... qui sait ce que Dieu nous réserve pour rétablir l'ordre initial de Sa création, régulièrement bafoué par des hommes si follement désinvoltes, et de la France en particulier.

Ou bien encore la guerre civile, que tant d'acteurs médiatiques ne cessent d'annoncer, nos politiques étant pratiquement les seuls désormais à ne rien voir venir.

Pourquoi un tel scénario pourrait être le moins pire à mon idée ? Parce qu'il serait peut-être le seul à nous laisser une chance de récupérer le pays, à condition toutefois qu'il ne se réalise pas trop tard. Les espagnols ont mis sept siècles pour se débarrasser de l'envahisseur ; une féodalisation de la France pourrait prendre le même temps à se résorber. Un événement soudain, même s'il entraînait des pertes importantes dans chacun des camps, serait une opportunité à même de favoriser une reprise en main plus rapide. Pour autant que le peuple de France ait encore la force et les burnes de le mettre à profit.

Au fond, c'est sans doute pour cette raison que les colorés ne sont pas si pressés de déclencher la guerre et propager leur foutoir. Parce qu'ils savent qu'au jeu de la ponte exponentielle, ils seront les gagnants, de toute façon.

Pourquoi vont-ils relever le défi d’une guerre civile qui pourrait leur être fatale alors qu’ils ont tout intérêt à avancer à visage couvert et renforcer leur assise démographique et électorale sans que personne n’y prenne garde ?
La France islamisée est pour bientôt et les musulmans s’en frottent les mains comme si leur victoire était acquise à 100 %.
Et ce n’est pas avec des gesticulations verbales enfiévrées et hystériques que les Français soumis aux flux migratoires incessants à forte dominante musulmane vont pouvoir éviter à la France de finir sous les griffes de l’hydre musulmane.
Tant que le peuple continuera à banaliser le danger de l’islam, la France n’échappera pas à son destin musulman. Salem ben ammar 

Qui paierait les subventions et verserait les aides chaque mois si les structures venaient à disparaître et que l'état plie bagage ? Les dealers de quartiers, les rappeurs, les RMIstes et autres assistés ? Vous connaissez d'ores et déjà la réponse. Pour ne pas crever de faim, la chienlit ne doit pas trop en faire. Effrayer la police pour l'empêcher de fourrer son nez dans les quartiers, malmener le peuple, mais surtout ne pas les affronter dans un combat à mort. Histoire d'achever les préparatifs sur le dos des contribuables et gonfler les effectifs futurs, en toute quiétude...

Prier pour qu'advienne un cataclysme ne devrait pas faire partie de nos exercices quotidiens, pourtant, j'ai bien peur que nous soyons perdus s'il ne se passe rien.

" J'attends les Cosaques et le Saint-Esprit " disait le grand visionnaire chrétien Léon Bloy...

Frères russes, accomplissez les prophéties et venez nous sauver !

La dureté des combats

Quel que soit le scénario qui prévaudra, il y a une chose sur laquelle nous pouvons compter ; une chose inévitable et certaine : la dureté des épreuves et combats à venir. Qu'il s'agisse de guerre civile ou mondiale, d'une féodalisation de la France ou de météores, les conséquences seront les mêmes et nous pouvons désormais nous attendre à de sérieuses confrontations.

Personnellement, je ne crois pas au mythe du survivaliste défendant sa famille seul contre tous avec son 12 et sa 22. Si l'option de l'autodéfense valait encore il y a un siècle, elle est aujourd'hui largement dépassée. Qui pourrait tenir seul face à des meutes déferlantes de chiens enragés ? Désormais, ce n'est qu'ensemble que nous pourrons avoir une chance de refouler la vague. Sans l'union des forces, un tel mythe n'est pas viable et conduirait inévitablement à notre extinction, quel que soit le nombre de boites de conserve qu'on aurait pu empiler dans les placards.

J'ai parfois des lecteurs qui me disent que mes vues sont trop "militaires", ou certains de mes articles trop techniques. Peut-être ont-ils raison. Cependant, je ne peux me résoudre à disserter des pages entières sur la meilleure façon de faire des conserves, ou celle de récupérer l'eau de pluie. Au vu des épreuves qui s'annoncent, ce serait à mon sens faire preuve de légèreté. D'autant que ce genre d'infos se trouvent à foison sur les autres sites.

Ce que je crois, c'est que nous avons en tant que survivalistes une mission. Qu'on le veuille ou non. A cause de ce surcroît de conscience des événements, nous héritons par la même occasion des responsabilités qui en découlent. Notamment celle de guider nos compatriotes moins éclairés dans les moments difficiles que nous allons traverser. Car si notre conception du survivalisme se réduit à stocker des boites de conserves et nous enfouir dans un trou le temps que l'orage passe, alors nous ne méritons pas de survivre. Du moins, pas davantage que le quidam qui ne croit plus en rien et qui gâche ses weekends vautré devant la télé à bouffer des pizzas.

Pour ce faire, nous aurons besoin de véritables connaissances tactiques. Nous aurons besoin de savoir comment organiser une défense, planifier une action offensive, mener une équipe au combat, protéger les plus faibles... Car si nous ne le faisons pas, qui d'autre le fera ? De la même manière que les chevaliers du moyen-âge étaient tenus par leurs dix commandements de défendre la veuve et l'orphelin. Et Dieu sait si les événements à venir en laisseront derrière eux.

III – Tu auras le respect de toutes les faiblesses et tu t’en constitueras le défenseur.

IV – Tu aimeras le pays où tu es né.

V – Tu ne reculeras pas devant l’ennemi.

VI – Tu feras aux Infidèles une guerre sans trêve et sans merci.

Nous sommes la version moderne des chevaliers d'antan.

Nous sommes les chiens de berger du Peuple des épargnés.

N'ayez pas peur, gardez la foi ; vous serez là où vous devrez être, et vous ferez ce qu'il faudra sans même le savoir ou le comprendre...