7 janvier 2016

Les addictions et le survivaliste (1/2)

=> Article rédigé par Elizabeth, rédactrice de Survivre au Chaos.

Après ces fêtes, où beaucoup ont pu donner libre cours à leurs envies "coupables" en toute bonne conscience, j'ai jugé le moment idéal pour publier un article que m'avait communiqué Elizabeth il y a quelque temps déjà.

Dans cette première partie, Elizabeth étudie en détail les habitudes, dépendances et addictions qui sont le lot des êtres humains, mais aussi et surtout leur non satisfaction dans une perspective survivaliste. Un article à méditer sérieusement, pour ne pas être vaincu par ses propres démons...



MORTELLES HABITUDES : l’ultime ennemi

"Les bio-droïdes de la Brigade Nationale de Sécurité tirèrent, mais la créature était déjà devenue autre, elle s’était volatilisée, et même les appâts semblaient la laisser indifférente… Le commissaire général réfléchit, mais il savait. Il savait qu’il était hier et que la créature était demain. Indépendante de toute forme de besoin, on y faisait référence en évoquant le surnom d’un vieux héros de la fin du vingtième : le Caméléon. A elle seule elle mettait l’ordre mondial en danger, rien ne savait la rendre obéissante au système."
Tiré de « Un monde nouveau », en écriture.
Avertissement : cet article est d’abord déplaisant… Pfft, il a l’air intello… Mais au final il est là pour nous aider dans nos ultimes préparatifs contre l’un de nos pires ennemis, à savoir nos BESOINS (habitudes, dépendances et addictions...)

Préparons-nous pendant qu’il est temps, et il n’est plus guère temps...


« Mensch ist Gewohnheit’s Tier » disent les allemands
« L’homme est un animal d’habitude », à traduire par : Nous sommes des animaux truffés d’habitudes…
Ces habitudes, faudra peut-être les abandonner…

Tirant sur sa clope, le survivaliste qui clique ce matin sur cet article se demande, incrédule qui sont ces nouveaux ennemis ?


Quel est « Ce » nouvel ennemi qui en veut à notre survie ?

Il devra pourtant, lui comme les autres, être identifié, le plus tôt possible, contenu ou éliminé, 
sachant qu’il est un redoutable pisteur, vicieux, égocentrique, paranoïaque, 
nous voyant venir de très loin, bon négociateur, persévérant...

Les armes n'y peuvent rien, ou pire, se retourner contre nous,

Les protections encore moins,

Quant à penser « Le » larguer en se tirant, même chez les barbus, n’y pensez même pas !

Nous allons donc aborder la sinistre question des besoins, habitudes et addictions, et comme le Diable se cache dans les détails, il y a fort à parier que nous ayons tous plus ou moins quelque ennemi perso.

Attention : Cet article ne contient aucun jugement de valeur ! Nous sommes tous concernés, et je tenterais de donner des exemples personnels publiables.


PLAN D’ATTAQUE


  1. Comment sommes-nous « programmés » : La dépendance au système en place.
  2. En quoi notre sécurité de survivant au chaos est-elle menacée ?
  3. Qui sont les ennemis en place et comment vont-ils agir ?
  4. Comment leur échapper ?
  5. Conclusion : l’avenir ou la BAD mobile.


I. Comment sommes-nous programmés : La dépendance au système en place


Comment se met en place notre programmation et pourquoi n’agissons nous pas en toute liberté ?
Notre cerveau traite les informations via notre système sensoriel (recueil de l’info) et les « neurotransmetteurs ». Ces petites choses-là traduisent les messages sensoriels et y répondent chimiquement selon la nature du message.

Il faut y ajouter une forme de programmation de la conscience :
  • Programmation génétique (mon père, ma mère, etc.)
  • Programmation culturelle (le pays, la région où je suis né et élevé) et éducative
  • Programmation expérientielle (ce que je vis depuis ma petite enfance)

Un évènement « A » provoque alors une réponse « B » de mon cerveau (et ma conscience), par exemple celle des glandes surrénales en cas de stress,  puis une réponse physique « C » qui est en quelque sorte le « comportement réponse » au stimulus que j’ai reçu.

En clair : Vous croyez voir, percevoir et ressentir une « réalité » et y réagir sainement après réflexion ou réflexe de qualité, mais il ne s’agit que d’une transcription chimique et/ou programmée de votre organisme dans une situation finalement « matricielle ». Ce qui nous rend dépendants, fragiles, et manipulables.

Exemple simple : Je mange un morceau de chocolat. Le sentiment de plaisir porté par les organes sensoriels est traduit par une « bouffée de Dopamine » produite par les « neurotransmetteurs » qui (justement) sont là pour dire « Chouette, ça va bien, on lâche la bonne énergie ». La Dopamine, outre un effet euphorique, est un précurseur de la noradrénaline : l’hormone de l’énergie (et du stress) et notre morceau de chocolat nous file assez la frite pour terminer un rapport idiot ou une tâche déplaisante ! C’est comme ça que ma compta m’a valu quelques kilos de trop…



Parce que le problème, c’est que la première fois il m’a fallu un carré, et aujourd’hui, c’est la tablette complète… Et, en cas de chaos prolongé, je fais comment pour le chocolat ?

CAR LE CERVEAU S’HABITUE A TOUT ET S’AUTO PROGRAMME CONSTAMMENT

C’est d’ailleurs grâce à ce phénomène « d’habituation » que nous vivons de façon adaptée avec un stress en général géré : habitude = Normalité

Et donc qui dit Normalité, dit Manque lorsque ça n’existe plus...
  • Troc, à quel prix ?
  • Inquiétude, stress, pire encore
  • Maladie ou souffrance
  • Tyrannie et troubles du comportement en communauté

Entendez-vous résonner cette drôle de musique qui va s’éteindre en même temps que les lumières : Normalité, Habitude, Plaisir, Energie.

Ecoutez-la bien : elle risque de disparaître petit à petit, comme l’écho.

Vous savez à présent, que si nous nous croyons indépendants, forts, conscients et libres, c’est parfois assez illusoire. Le besoin est parfois une illusion et la différence est floue.

Une chose est certaine : l’Addiction sera un mal fatal au temps de Mad Max
et les besoins s’y monnayeront fort chers !


II. En quoi notre sécurité de survivant au chaos est-elle menacée ?


Tout besoin vrai ou faux, dont l’absence risque d’être la cause de souffrances individuelles ou collectives, nous rend potentiellement : malléable, soumis, fragile.
  • Dépendances aux médicaments. Exemple : besoin en insuline, Ventoline ou anticorticoïdes.
  • Dépendances psychiques. Exemple : Je ne suis pas prêt à perdre ma maison et mes meubles.
  • Dépendances systémiques (Sociétales, culturelles, religieuses, etc…) Exemple : ma femme et sa mère sont hyper liées.
  • Besoins basiques. Exemple : Manger du sucre et du gras en abondance relative.

Nos programmations ne sont tolérables qu’à l’intérieur d’un système connu et référencé : le nôtre.

Nos besoins ne seront satisfait qu’à l’intérieur de ce système, si ce système s’effondre, seuls conserveront une utilité nos apprentissages visant à l’adaptabilité face au changement.

C’est là que le concept de BAD trouve ses Limites : celui ou celle qui veut illusoirement garder un échantillon complet du système rien que pour lui est d’abord très fragilisé : Ce n’est pas viable dans le temps !

Ce qui ne veut pas dire qu’il ne faille pas prévoir nos basiques :
  • Manger/boire
  • Dormir
  • Avoir chaud
  • Assurer notre sécurité
  • Eviter la douleur… Et donc les dépendances ou habitudes liées à la survie de l’espèce !

Chaque habitude rassurante va disparaître, chaque dépendance au système mourant, et pire chaque addiction, va générer une situation de stress intenable, rendant notre autonomie ou notre capacité à réagir à la limite de la nullité – Si nous n’avons pas compris ou soit fait auparavant :

L’apprentissage du non apprentissage…


II b. Qui sont les ennemis en place et comment vont-ils agir ?


Qui est notre ennemi ?

C’est une simple habitude, confortable au départ, acquise par apprentissage le plus souvent, mais, qui lorsque on tente de l’évacuer, provoque un inconfort, un stress, puis un syndrome de sevrage allant jusqu’à l’insupportable.

Exemple simple : se lever le matin, allumer son ordi et prendre son café. Et si je ne peux pas le faire, je suis contrarié.

Et quand la lumière va s’éteindre …. Va y en avoir un paquet …. Des habitudes qui vont s’enfuir lâchement comme des lapins de garenne …….


Comment se comporte-t-il ?

Cet ennemi est aveugle, ni cœur ni raisonnement. Il nous enferme par petites touches et nous torture si nous ne lui donnons pas satisfaction. Peu d’entre nous sommes capables de résister à la torture.
Il se comporte en appât, parfois en espion, agent double, traitre, tyran. Il nous transforme en appât, parfois en espion, agent double, traitre, tyran pour les nôtres.
Exemple simple : privé de cigarette, j’échange 2 kilos de viande de bœuf contre une cartouche de clopes. Je n’ai pas osé mettre ma femme au courant, le bœuf, c’était pour les gosses.

Techniquement, que ressentons nous lorsque nous sommes soumis à une addiction ?

Le schéma ci-dessous illustre la réaction chimique et psychique de notre corps/cerveau/conscience soumis à la tyrannie du besoin :

Courbe illustrant la réaction cérébrale (et physique) suite à une pratique addictive


Regardez bien la courbe : au final, elle chute… Fini la rigolade !


Comment devenons-nous les esclaves serviles de nos habitudes ?

1. C’est le moment de mon habitude : départ de la courbe à 0
a. Exemple : cigarette du matin
b. Impact : rythme biologique et dépendance à du matériel

2. Pic agréable de satisfaction, mais intensité de courte durée
a. Exemple : satisfaction de quelques minutes
b. Impact : souvent une certaine indisponibilité

3. Chute du sentiment de plaisir
a. Exemple : Je n’ai déjà plus de ressenti de plaisir, sauf si je recommence et que je reprends une cigarette
b. Impact : plus aucun bénéfice

4. Sentiment de manque
a. Exemple : Ah, là faut que je me fasse ma clope
b. Impact : les autres tâches deviennent secondaires

5. Sentiment de manque intense
a. Exemple : en panne de cigarette, aucun moyen de m’en procurer, je me sens mal, tremblement des doigts
b. Impact : je suis en incapacité de gérer quoi que ce soit

6. Trouble du comportement, conduite à risque
a. Exemple : je n’en peux plus, je vais demander à tous les passants dans la rue, même si je passe pour un « drogué »
b. Impact : je me révèle apte à faire n’importe quoi sans gérer les conséquences

7. Dans le cas d’une drogue dite dure : conduite grave, délinquance, excès
a. Exemple : overdose, violences
b. Impact : mort




Et là, vous aurez beau être expert pour ôter les menottes avec l’épingle à cheveux de votre gamine de 4 ans... ça ne servira à rien.

Et c’est comme ça qu’un (très) bon survivaliste doté des meilleures techniques finira par faire une erreur grossière et ouvrir la porte aux 40 voleurs qui se pointeront ce jour-là avec un stock d’aspirine ou de cigarettes.


III. Nos ennemis les plus connus : les addictions et faux besoins traditionnels


Nous allons laisser de côté les drogues dites dures. Ça nous en fait encore un paquet (de « Gauloises » bien roulées, cela va de soi).

1°) La nourriture en partie : la part inévitable est bien plus restreinte que nous le pensons. Pour information, les aliments industriels sont bourrés d’appétant pour nous maintenir dans la surconsommation (et l’obésité, le diabète, etc.)

Danger : nous vivons avec la peur du manque, la légende de la BAD qui dispose de 10 ans de stocks émane tout droit de ce type de dérive ! Certains n’hésiteront pas à se goinfrer au mépris de tous.

2°) La cigarette connue, bien implantée. Quel que soit son prix.
La preuve, je connais un tas de gentils copains et copines plutôt fauchés, mais qui préfèrent se passer de bouffer que de se passer de leur clope.

Danger : quand la cigarette sera devenue un produit rare, elle fera l’objet de trocs et d’excès, là où l’énergie serait peut-être plus utile ailleurs.

3°) L’alcool connu, insidieux dans sa forme dite « mondaine » (l’apéro de tous les soirs,  puis x2), il est fréquent, le manque ne mettra pas plus de 48 heures à se manifester dans le cas d’un alcoolisme mondain exacerbé par le stress.

Danger : l’alcoolique mettra toute la communauté en danger si nécessaire pour satisfaire ce besoin. Dans l’attente il risque de devenir violent ou ingérable.

4°) Les médicaments Parfois tout à fait indispensables, parfois devenus l’objet d’une incitation à la consommation : ceux pour dormir, pour se détendre, pour ne pas être triste, pour avoir la frite quand même... Il faut y ajouter ceux qui nous sont physiquement vitaux : antalgiques, anti infectieux, spécifiques…

Danger : La rupture (en plein chaos) de la fourniture de ces molécules va générer mal-être et indigence des gens privés sans sevrage. Quant aux traitements vitaux…

5°) Le sexe Rôôôôô Voire DSK... Hélas Chaos = viol-ences
Danger : toutes les terres de guerre sont des terres de violences. Il faudra protéger le sexe dit « faible ».

6°) L’activité physique sportive intense est une addiction peu connue
Cette forme d’addiction est ressentie par de nombreux professionnels ayant obligation de s’entrainer et mis au repos brutalement, ou à la retraite (pompiers, gendarmes, militaires, etc.)

Danger : cette habitude parait moins grave, bien qu’elle génère une forme d’impatience, de nervosité, voire de migraines, de somatisations et un comportement qui peut devenir insupportable à toute la communauté

7°) Le stress addiction très actuelle : bon nombre d’entre nous ne savent parfois plus mobiliser leurs forces si leur cerveau ne déclenche pas le plan « stress » (en clair il leur faut 2 claques pour avancer)

Danger : Chez la majorité, la dose de stress sera excessive et incapacitante. Beaucoup des nôtres risquent donc de fonctionner par « à-coups », à 200%, puis stand-by ou inertie en fonction de la façon dont leur organisme le gère.

8°) Le cannabis et autres drogues dites douces. Mais oui, ça se fait, c’est assez développé : un pétard par an à 14 ans, 1 par jour à 16 ans et plusieurs par jour, tous les jours de la semaine pendant les 10 années suivantes.

On fait le finaud : dépendance psychique...



Danger : Les personnes qui vivent au rythme du cannabis sont souvent à peine inertes et même si pas très dangereuses, elles ont une disponibilité au monde extérieur qui se réduit dans le temps. Pour leur entourage, elles risquent d’être d’abord une charge, puis un danger une fois les stocks épuisés.

9°) Internet (hors jeux vidéo) Imaginez un monde brutalement coupé d’internet : vous avez vos repères, la communication (avec survivre au chaos par exemple) avec vos amis, votre famille, les news, puis rien... Plus rien. Inquiétude et rumeurs remplacent les quelques clics quotidiens.

Danger : internet rythme parfois nos journées : ouverture le matin avec le café, démarrage du bureau en intranet, fermeture le soir après avoir consulté ses sites préférés ou sa boite mail. Internet fait office de structure sociale, la fin du net risque de générer une raison d’effondrement de plus.

Il faut ajouter le décalage prévisible entre une relation via le net et une relation « pour de vrai » avec des déceptions dangereuses lorsqu’il faudra se regrouper éventuellement (zut : c’est un fou, un faignant, un violent, un crado, etc.)

10°) Les jeux vidéo sur tablette ou ailleurs (et la télé). Trop de gosses qui n’ont pas fêté leur sixième anniversaire et qui ne se calment que devant leur jeu. Trop d’adultes qui préfèrent jouer que de discuter avec les leurs. Je n’évoque même pas les soupçons d’hyperactivité, de troubles du comportement et les preuves avérées d’Epilepsie.

Les professeurs (source très fiable) ont reçu des instructions pour optimiser, à l’école, le temps passé devant les écrans. On ne va pas se la jouer « complotiste » hein ?

Danger : Outre le fait de voir les écrans devenir les instruments aveugles d’un ordre mondial autoritaire, la nouvelle génération est droguée à l’écran et leurs parents risquent de devoir affronter des troubles forts en cas de rupture brutale.

Que va choisir cette génération : la liberté ou l’écran ?

11°) Le téléphone portable et l’iPhone. Les ados sont musclés des pouces : Avez-vous déjà affronté un ado qui a, au choix, perdu, cassé ou noyé son iPhone ? C’est pire que la guerre des mondes !
Pourquoi voulez-vous qu’on se décarcasse chez les RG : les nouveaux iPhones sont à reconnaissance de l’empreinte digitale... Suffit de compiler les fichiers, un iPhone, quelques applications stupides genre « jesaitoujourout’es » et 99% des afficionados sont bouclés !

Danger : le jour où ce sera la chaos, les portables représenteront l’ultime cartographie mise à jour toute les « x » secondes d’une bonne partie de la population qui n’aura pas le courage de balancer un truc devenu aussi inutile que dangereux. Autre danger : nous ne savons plus nous débrouiller sans.

Liste non exhaustive...



III b. La Cerise sur le gâteau : L’état pourvoyeur de dépendances


Un Humain libre de la plupart de toutes formes de dépendances, autonome, qui ne fume pas, ne boit pas, raisonne normalement, n’est pas malade et ne prend aucun médicament, pire encore, développe ses propres projets, voire sa ferme quasi autarcique est le pire ennemi d’un ordre constitué.

Si nous en sommes là, c’est avec la bénédiction et l’aide du système.

Inutile de vous pondre un « pavé » pour que tout le monde ouvre les yeux : rien n’est fait pour que vos enfants deviennent libres, mais de bons petits esclaves à qui il reste juste assez de sous et d’énergie pour :
  • Faire une paperasse de plus en plus énorme (rendre des comptes et occuper l’esprit)
  • Payer, payer et encore payer
  • Prendre à crédit (forcément) ce qu’il nous faut et dépendre des banques et du travail, donc de l’industrie
  • Se poser épuisé le soir devant la télé/chips/coca
  • Manger des produits industriels plus ou moins toxiques, manger de trop
  • Devenir au choix : diabétique/cancéreux/cardiaque/malade à l’âge de la retraite
  • Se faire achever par quelque opération mutilante ou chimiothérapie invalidante avant que nous n’ayons le temps de réfléchir
  • Avoir perdu ou revendu ses pauvres biens acquis grâce au travail d’une vie pour payer un mauvais divorce ou le caprice d’une banque qui augmente ses intérêts

Un jour, mon médecin de mari discutait avec le représentant du labo qui fourgue le Subutex, sujet : combien de temps pour vraiment oublier la drogue. Réponse du représentant du labo (cette réponse n’engageant que lui bien entendu) : mais jamais ! Le Subutex, c’est toute une vie !!!

On a donc remplacé une drogue interdite par une drogue bénie par les labos. Point à la ligne.

On nous a « vendu » le modèle occidental suivant :
  • Un modèle social, marié/Pacsé, 2 gosses, projet 1 maison et 2 voitures à crédit
  • Une façon d’être heureux : Avoir, Consommer et s’Informer (Se conditionner) ou se distraire aux sources officielles (JT 20 heures ?)
  • Un but exemplaire : élever des gosses à qui on doit tout et que l’état formate
  • Un système de valeurs : Sécurité/Obéissance/Matérialité
  • Une obligation absolue : Servir ou disparaître (chômage, RSA et arrêts maladie, de source certaine, vont être encore revus à la baisse)

Pour nous le vendre, on nous ressasse des films odieux et photos épouvantables d’enfants crevant de faim et de populations extrémistes et/ou pauvres, malades, laides.

Il s’agit de points cruciaux où je ne peux parler que d’opinions, mais si vous souhaitez vous affranchir de la partie gênante du système et vous aussi, tel un caméléon, ne plus vous laisser manager par le biais d’appâts qui vous rendent dépendants, reformulez votre projet de vie en commençant par un objectif de base simplement défini.

Exemple personnel : Je souhaite être heureux, participer au bonheur de ceux que j’aime et le tout sans nuire à autrui. Je me souhaite (ainsi qu’aux miens) une vie pleine d’amour et pleine d’amis.

A suivre...

48 commentaires:

  1. bigre de bougre, vous y allez fort. Le pire est que sur le fond vous avez raison.Je me suis longtemps demandé si derrière cet état de fait, il y avait un complot ou si tout cela résultait de la bêtise humaine. Au stade actuel, je ne m'en préoccupe plus, je pense juste à m'assurer une fin de vie (j'ai 53 ans) la moins dépendante possible. Mais, putain, ce n'est pas évident.

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  2. Ouais, les addictions, c'est que du mental: je reprends quand je veux.
    Blague à part, cet article majeur nous met face à bien des turpitudes. Il est impressionnant de voir à quel point on s'attache à des assuétudes, insignifiantes mais super difficiles à dégager.
    On peut être insensible aux assuétudes, mais vite prendre le pli une fois pris dans l'engrenage, genre le croissant du matin.
    On va avoir du mal à se passer de PQ, pourtant c'est par définition un consommable que l'on imagine pas absent de chez soi.
    Le pire est ce que nous sommes, comme c'est si bien décrit dans cet article, avec des addictions subtiles comme le travail, la compagnie des autres (quels qu'ils soient, ouille), le bruit. Et oui, il n'y a rien de plus angoissant que les ténèbres, le silence, la solitude et l'inactivité: les anciens avaient tout compris en concevant les cachots (Et par extension le statut de hors-la-loi).Ainsi, on est exclu de la société mais aussi de nos besoins grégaires.
    De nos jours, on nous fait croire qu'on est un maillon essentiel de la société (démocratie, sondages, individualisme exacerbé...).
    C'est pour cela que l'Etat-maman comble nos vides avec des trucs si futiles mais faciles à ancrer et difficiles à dégager.
    Il ne nous demande plus de faire des gosses pour les sacrifier contre le Germain, il nous demande juste de raquer et de fermer sa gueule (y compris sur notre extinction programmée, c'est là qu'ils sont forts).
    Au risque de choquer certains, la liberté, c'est vivre avec 20 euros par semaine. Vider les comptes, échanger le surplus monnaie en métal ou en stock. Certains stocks, comme les mun. peuvent très bien marcher contre les huissiers, voisins pénibles ou n'importe quel représentant républicain, politique ou agent.
    Perso, je ne veux pas être heureux car on peut parfaitement être heureux en étant assis dans don caca, en étant un boulet.
    Je veux être tranquille, rien que ça.
    cc

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  3. Article tres intéressant, ce site reste une reference par la diversité éditoriale, BRAVO
    Dans un laboratoire, ils ont donnés du sucre et de l héroine a des rats. Puis apres ils ont laissé les rats choisir.... Devinez ce que les rats ont préféré prendre ....le sucre.
    Quand les gens n auront plus leur coca, ou leur jus d orange préféré, il sera préférable de ne pas trop les chatouillé.

    De toute façon je suis convaincu que la chute sera progressive, il n y aura pas rupture brutale de la normalité. Les 1% auraient trop a perdre.
    Si jamais j avais tord, je pense que beaucoup de gens ne pourraient survivre dans un monde nouveau. Ils ont besoin de leur clope, d aller au resto, du vivre ensemble, de l échange, de voyagé, de mangé des nems, des sushis, d aller au cinema... Nous verrions beaucoup de nos connaissance refuser de vivre, et ceci sera, une tres grande épreuve pour les survivalistes.

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  4. Bonjour a tous ^^
    C'est article est la raison pour laquelle, à ce jour je n'ai pas adhéré a un projet de BAD.
    Quand je vois des amis qui à 23 h 30 en semaine sans clope, sont pret a ressortir et errer 1 h pour pouvoir acheter un paquet de clope à 10 euro !
    Ou voir des centaines de personnes à Marseille devant un magasin à 3 h du mat qui ouvre à 9 h pour une console de jeux,et se battre pour avoir la primeur de l'avoir en premier.

    Je pense qu'on a tous des dépendances et des addictions, tout relève du pouvoir que l'on leur donne dans nos vies.

    Je pense qu'il est essentiel de se préparer maintenant à réduire nos dépendances.
    Il faut aussi évaluer ses habitudes de confort,qui peuvent paraitre insignifiante pour beaucoup:
    On est en hiver, je met le chauffage à 26 ° c chez moi.
    Je prends que des douches bien chaudes .
    Il faut que je mange de la viande à tous les repas.
    Mon travail et à 20 min de marche, mais je ne connais que le metro pour y aller.
    Je n'arrive pas a dormir sans mes cachets.
    .......
    Le jour ou les lumières s'éteindront, et que pour confort vous aurez un carré de chocolat après le repas, pour beaucoup ça sera la torture.

    Alors, qui gardera un esprit bienveillant dans ces cas là, quand on voit souvent la réaction des gens à toujours voir a ce qu'ils n'ont pas et ce qui leur manque?
    Qui sera juste content de survivre avec ses proches, redéfinir de vraies valeurs?

    Hier, à Marseille une jeune femme de 21 ans c'est faites violer à 20 h dans une rue passante par 3 jeunes mineurs.
    Elle a vu des dizaines de personnes passer et tous ont baissés les yeux !
    Alors demain a quoi seront nous confrontés?
    Quand déjà aujourd'hui, dans un pays de droit, certains choisissent d'être complice de ce crime pour protéger leur petites habitudes, mon repas m'attendait, j'étais fatigué après une journée de boulot, elle l'avait surement cherché, elle n'avait qu'a pas s'habiller ainsi, ça ne me regarde pas ....

    Finalement,c'est a se demander avec qui vraiement demain on choisira de survivre quand les lumières s'éteindront!!!

    Moi je dis a ceux qui savent avec qui ils se regrouperont, et avec qui ils ont déjà l'assurance qu'ils pourront compter les uns sur les autres ,félicitation. Vous avez déjà le plus important. Samuel

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    1. perso, les personnes sûres a 100%, mes parents, bien qu'ils aient 60ans, mon père a fait l'armée donc comme il dit c'est comme le vélo :), et mon ami d'enfance, on est que 4 mais c'est déjà bien

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    2. Riesling et Deaser Aigle .45 ACP ? Mais un Glock 34 le fait aussi bien nan ??...8 janvier 2016 à 23:58

      Salut Samuel,

      Je suis comme toi. Ne reste qu'une question :
      " Finalement,c'est a se demander avec qui vraiment demain on choisira de survivre quand les lumières s'éteindront!!!"

      C'est dingue à y penser un tant soi peu...

      En face on a potentiellement des millions de disciples qui partagent la même idéologie conquérante et mortifère, et de l'autre, même les plus conscients des occidentaux préparés sont encore à se mater en chiens de faïence...

      L'individualisme est notre grand point faible. Force est de constater que le NOM rampant ( TV , éducation nationale, culte de pognon, etc) a déjà grandement détruit le corps social et culturel occidental sur ce point là.

      Il faut se méfier des gens incultes, des gens dénués du moindre humour, de tout esprit, à fortiori de toute spiritualité ; c'est à dire des rampants prêts à tout pour sauver leur misérable couenne et SOUVIVRE comme des rats au besoin...

      Je me suis fais peur lorsque j'ai fait le compte des gens en qui je pouvais avoir une totale confiance (absolue): Personne hormis ma famille proche (femme et enfants).

      Et puis, par jeu d'esprit j'ai fait l'inverse : Qui pourrait avoir une absolue confiance en moi ? ( Je veux dire par là que même sous la torture de l'ennemi je ne le balancerai pas). Réponse : Personne, à part mes gamins.

      ...Mais c'est très utile de savoir ça.


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  5. Samuel,
    le coup de secourir une PAN/PAC potentielle, très peu pour moi, et il y en a de plus en plus: hors de question d'aider celles (et ceux) qui ont trahi leur sang.
    Les besoins les plus impérieux touchent souvent les plus durs; j'en connais qui dorment presque par terre, sans chauffage et ayant une vie rude mais qui tueraient pour une clope. D'ailleurs ces gens sont tellement à l'extrême que je ne sais pas s'ils nous survivront ou s'ils seront les premiers à crever.
    Samuel, regroupez-vous avec des gens qui vous ressemblent, pas avec des marginaux ou des conteurs.
    cc

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  6. Bonjour A toutes et tous

    J'avais aussi réfléchit sur "mes" addictions . J'ai constaté qu'il y en avait deux groupes . Le groupe "bien obligé" et le groupe "Tu peux t'en passer " : Dans le premier il y a tous les traitements médicaux et dans le deuxième il y a tout le reste ( clop , alcool et autres petits plaisirs de la vie ) Celui qui me parait le plus logique a supprimer est le deuxième et pourtant c'est déja extrèmement difficile ....
    L'article m'a pourtant fait découvrir d'autres addictions notamment l internet et l'état .....
    Bien sûr internet je le savais un peu , étant donné que je visite plusieurs sites plusieurs fois par jours mais ça je sais m'en passer facilement , juste avec de l'activité extérieur. Mais l'état insidieux ?
    En effet je suis persuadé que depuis longtemps l'état ne cherche qu'a nous rentabiliser comme un agriculteur cherche a rentabiliser son troupeau de vache ou de moutons , en semi liberté certes , mais quand même bien bridé par des valeurs bassement matériel comme l'argent , le confort , la possession de biens .
    Plutôt que de addict de l'état nous sommes juste ses esclaves.


    signé Osefnoj

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  7. Bonjour,

    Babeth toujours au top gratte où ça démange. Merci.

    Pour gérer mon alcoolisme privé, je m'offre une semaine sèche toutes les trois semaines, fêtes ou pas fêtes. Si/quand c'est chiant je me rajoute une semaine. (là c'est chiant).

    Pour le haut de l'article.
    A une époque où ça se faisait:
    - j'ai flirté avec WU WEI,
    - J'ai couché avec Susuki et son "esprit neuf"
    - j'ai tenté de me libérer du connu lors d'une liaison orageuse avec Krishnamurti.

    Maintenant, je ne rate aucun de tes articles: addiction?

    Laurent

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  8. Par pitié, ne nous fais pas attendre trop longtemps la deuxième partie, c'est un manque trop horrible.

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  9. je suis clairement addict au cannabis, journalier, je connait l'état de manque du au sevrage, qui est vraiment horrible, mais si je sait que j'ai aucune chance d'en avoir, cela permet de mieux le prendre, que de chercher a en trouver absolument, et puis le sevrage dure 1 mois, donc soit je prend sur moi, soit je part dans une grotte avec 10kg de riz, et ressort 1 mois après :D

    comme vous le dites, le canna n'est pas si douce que sa, c'est très vicieux, mais cela reste beaucoup plus gérable que d'autres addiction...

    un bon survivaliste imparfait mais prêt a tout pour vivre !

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    1. Tu peux t'en passer mais si on te propose un cone contre ton steack au moment où tu tremble... Tu mourras de faim pour ta bouffée de bonheur. Tous vrai survivaliste ne doit pas avoir ce genre d'addiction, tu dois je pense commencer par t'arrêter avant de faire des réservés de bouffes! Car un mois de sevrage en temps de KO c'est 30 jours de trop. Perso je n'ai aucune addictions, je bois du bon pinard mais ce n'est pas un besoin, je prends un bedo avec mon meilleur pote deux fois par an quand on se voit (il sera dans ma team le jour J), je fume pas de clopes, je fais un poil de sport juste histoire d'être en forme, j'aime bien manger mais je me contente sans problème de salade sauvage et de riz à l'eau s'il le faut, même si je compte beaucoup sur la chasse. Je pense que c'est un bon commencement. Ce n'est pas dit que je tienne plus longtemps que toi quand l'édifice sociétal s'écroulera, mais je pars déjà avec de meilleures probabilités. Alors si tu pense vraiment à l'éventualité d'une catastrophe prochaine, ARRÊTE.
      bonne chance, je sais que c'est pas facile.
      Cordialement, Exca.

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    2. d'autant plus difficile exca que je crois savoir que cette herbe médicinale (et qui devrais le rester) s'absorbe mélangée a du tabac donc double addiction,une solution qui en vaut une autre et m'a permis d'arréter le tabac est d'avoir mis bien en évidence mon dernier paquet de clopes il y a 20 ans comme un ennemi a abattre et chaque fois que je passais devant la haine m'envahissait d'être dépendant de cette merde qui me privait de liberté,je n'ai plus touché une cigarette depuis,même si par moment l'envie me reprend maintenant....... je fume le cigare !!!! (non je blague c'est bien FINI) allez courage c'est pas si dur que ça ,il y aura des périls plus importants auxquels nous devront faire face

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    3. oui, je comprend bien, mais c'est plus compliqué que cela, j'ai commencé a fumer au lycée, a force d'être rejeté constamment, de ne rentrer dans aucun moule (ce que je suis fier maintenant :D)
      plus tard j'ai eu un accident de moto, et le canna est un bon compromis pour me calmer le dos (tassement) surtout que le doc m'a fait essayer des truc, je lui ai clairement dit que la canna était beaucoup moins violent que les médocs, après pour le sevrage j'y pense j'ai ma petite idée, il est vrai que tabac + canna c'est l'horreur pour ce débarrasser de l'addiction. mais je pense que je vais faire cela graduellement, genre me mettre au vaporizer pour commencer a arreter les mélanges, entre la clope et le canna je vous assure que c'est la nicotine le plus dur, après de toute manière je ne suis pas d'accord, fumer tout le temps est mauvais je vous rejoins, mais on ne devrait pas bannir le canna qui est très utile en ponctuel !!

      Par contre sa se voit que tu me connait pas, a choisir entre un steack et un bedo je choisi le steack, meme si je doit le bouffer en 4 fois a cause des crampe du au sevrage.

      comme dit plus haut, mon instinct de survie est trop présent pour que je fasse des conneries de se genre.

      A bientôt :)

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    4. Anonyme de 11.59, vous me pardonnerez mais, moi-même ne rentrant dans aucun moule (mais jamais rejeté) et ayant eu des blessures graves, dont une fracture du rachis avec arrachement et tassement, je n'ai jamais éprouvé le besoin de prendre de la cannabis sativa. On a l'impression que vous subissez votre goût pour la fumette. Au lieu d'arrêter le tabac, canna et autres, arrêtez déjà le briquet et les allumettes, la suite vient toute seule.
      Cela ne vous empêche pas d'avoir des qualités de survivaliste mais ça peut vous interdire quelques entrées, ne serait-ce que par vos accointances avec vos pourvoyeurs. Ces pourvoyeurs ne vous accueilleront pas non plus car vous êtes en bout de chaîne.
      Créez vous-même votre substance, vous créerez de la richesse et vous deviendrez intéressant. De plus, quand vous verrez le visage des consommateurs, vous ne voudrez pas leur ressembler.
      Vous constaterez que depuis que j'ai arrêté la moraline et le padamalgam, je vais beaucoup mieux.
      cc

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    5. Anonyme8 janvier 2016 à 11:59 ( 1 ere partie)

      Je me permet d'intervenir car je réfute tes propos.
      Je vais expliquer pourquoi, en tachant de simplifier au maximum. ( Par soucis de légalité je ne rentrerais pas dans certains détails, mais je suis EXTREMENT calé sur le sujet )

      Non le canabis ne crée aucune dépendance physique, ni même psychique.
      La dépendance est mentale et elle d'ordre d'un simple manque de volontés.
      Il y a plus de 450 sortes de canabis distingués en 3 familles : Rudéralis , Indica et Sativa .
      La 1 ere est très faiblement chargé en THC ( tétrahydrocannabinol) c'est un des 53 cannabinoïdes que l'on trouve actuelement dans le cannabis .
      Il sert exclusivement pour ses fibres et pour créer des souches auto flo, ou encore purifier certaines lignés...
      Il y a l'Indica : Qui est souvent est utilisé dans le médical grace à des taux de CBD ( autres cannabinoïdes) important est ce que l'on appelle un effet Stone. D'autres part , il a une courte flo entre 7 et 12 semaines.
      Il peut être croisé aussi pour racourcir le temps de floraison d'une Sativa.

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    6. Anonyme8 janvier 2016 à 11:59 ( suite 2 eme partie et fin )

      Le Sativa, c'est une lignée plus euphorisante avec une floraison allant de 16 à 26 semaines pour certaines souches. Elle a un côté plus sociabilisant et action plus progressive grace à une action d'autres cannabinoïdes.
      Comme l'indica, le Sativa a des taux de THC compris entre 12 et 18 % pour les souches dites pures.
      Grâce a des croisements somatiques, ou une consanguinité renforcé entre certaines souches choisies pour leur traits génétique , on a actuelement sur la marché des variétés atteignant des taux de plus de 20% la plus forte à ce jour est de 27% . ( ces données n'étant pas exaustibles, car non signifiantes).
      En effet, des variétés ayant un THC de 12 seront bien plus puissantes car l'interaction des autres cannabinoïdes présent sera plus forte. ( après, ces données sont donné pour le côté commercial).
      Par contre, si une chose est sure, c'est que le cannabis que cela soit en teinture mère avec des taux de plus de 80% de THC ou du bedo ( pur sans tabac) IL N Y A AUCUNE DEPENDANCE.
      D'ailleurs il n'y a ce jour aucune preuve scientifique défendant cette thèse.
      Plusieurs études américaines l'ont prouvé .
      C'est une des raisons qui a permis sa légalisations dans nombreux états.
      Après, le cannabis à des effets négatifs , bien évidement, il peut entraîner des dépressions avec certaines variétées, un manque de motivation, des insomnies, des nausées....Comme tout médicament pourraient aussi en avoir.
      Les personnes se disant dépendantes du cannabis, on plus besoin d'un suivi psy.
      Ils se créent ce besoin parce que le cannabis agit sur certains stimulis cérébraux permettant la diffusion d'endorphine et autres molécules ( naturellement présente dans le corps humain ) assurant une certaine relaxation, et une forme de détente.
      En quantité, cela correspondrait à l'état de quiétude qu'une personne pourrait avoir après un orgasme ( pour ceux qui ne connaissent pas ) .
      Bien sur, avec la régularité , le corps s'habitue et à tendance a augmenter les doses pour ressentir ce bien être.
      Ce qui fait penser à un état de manque.
      Mais comme un malade sexuel, il s'agit plus de troubles lié a d'autres pathologies.

      Alors entendre parler de sevrage, me fait réagir. Le tabac crée une dépendance bien plus réelle que le cannabis .
      Pour ceux qui consomment du Shit,( et non de l'herbe pure) un manque relatif, causant des crampes peut être lié a ce qui sert à le couper.
      L'ammoniaque, le pneu, l'arsenic, parafine,... qui eux se retrouvent dans plus de 85% des Shits testés sur le marché ( noir) .
      Un schit de très bonne qualité est coupé a minimum à 50% .

      Après pour avoir des produits plus pur et moins toxique il y a des variantes comme le BHO , Gelly Hash.... Bien plus fort, mais à des prix allant de 30 euro le GR à plus de 90 euro .
      Eux aussi ne crée pas de dépendances, bien évidement ^^.

      En esperant, avoir assez simplifié , sans trop être technique.
      Bonne après midi à tous .... Cordialement Samuel

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    7. Ca y est, on tient notre chaman!
      cc

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    8. samuel, a croire que tu connait mieux les symptômes que le sevré.

      je suis parfaitement d'accord avec toi, sur tout ce que tu dit, mais oui il y n'y a pas vraiment de dépendance a proprement parler, mais il y a clairement une période de sevrage, et de "désintox" du corps, c'est ce moment qui est difficile, de plus couplé a un arrêt de la clope en même temps c'est chaud.

      pour le shit et les coupes c'est encore une autre histoire, j'ai réussi en passant a la verte, a m'en passer totalement, et ouai je sait pas ce qui mettent dedans mais c'est pas terrible...
      Maintenant me reste le cap de supprimer la clope et a la fin la verte qui est le plus facile.

      donc pour résumer ok pas de dépendance mais un sevrage physiologique existe, n'oublie pas que le cerveau s'habitue a une dose bien plus élevé de "plaisir" donc il faut qu'il se ré habitue a une normalité (gros gros raccourci)

      pour ton accident outch, je t'envie pas, mais tu sait certain tombe d'une chaise et finisse en chaise :D
      de plus on a pas le même rapport a la douleur (tout comme a la dépendance d'ailleurs) chaque humain est différent, et on aura beau faire des étude interminable, mais viable, cela reste que chaque humain réagi différement.

      a bientôt

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    9. Perso j'ai commencé a fumé (tabac)avec ma 1er année de boulot lors de mes 15ans et l'arrivé de mon 1er salaire(boite,alcool,fille facile).
      Depuis que j'étais petit (7ans) mes parents me faisiez bossé ménage,aide de cuisine a l'auberge,rentré le bois ect..j'avais donc une forme physique qui suffisais a éloigné les crevards et chercheur de merde de moi.
      5 ans plus tard je claqué un paquet de clope par jour je décide d’Arrêté (les crevards commençais a me sentir genre babtou fragile tu le vois dans les yeux,genre tu seras bientôt un fruit bien mûre a cueillir).
      J'ai essaie genre en diminuant ect pfff connerie.

      Le mieux c'est de ce mettre au pied du mur perso je suis partie courir j'ai du faire genre 5 km mais les 5 km de ma vie lool j'ai rien lâché (faus que tu te prouve que tu en veux)bref j'ai finis comme un grosse merde les gens te regarde bizarre tu pue a 10km ta la gerbe et les poumons en vrac.
      Sa vas faire 1 ans que j'ai arrête,je me suis mi a l'haltéro et un peu de course de fond j'ai repris 10 kilo et mon paquet de clope entamer na pas bougé de mon bureau.(je le garde genre fétichiste )
      Voilas pour mon expérience d'addict j’espère que sa t'aideras, certain conseil de ce faire aidée pareil je pense que ces du vent (c'est pas de l'hero non plus)sinon tu rejette la faute de manière inconsistante sur les autres en te déchargent sur eux et y sont pas a assumé ta médiocrité.

      Enfin bref comme dise les gars du crossfitt ta une vie Fight for it tu peux en sortir que vainqueur et mieux que le gars que tu étais avant.

      JD

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  10. Pour Anonyme 8 janvier 2016 à 00:42 :
    J'ai fumé de l'herbe dans ma jeunesse, en quantités importantes, mais je la cultivais moi-même et la fumais pure.
    Elle était d'excellente qualité et très agréable à consommer : j'en faisais, outre les joints, de la confiture, de la liqueur, des gâteaux, plein de bonnes choses inimaginables aujourd'hui.
    Je garde de cette époque d'excellents souvenirs, peut-être les meilleurs de ma vie.
    Du jour où j'ai commencé à travailler pour de bon, j'ai arrêté d'en prendre presque sans m'en rendre compte, du jour au lendemain, simplement parce que j'avais d'autres chats (et chattes) à fouetter.
    Je rejoins donc l'avis de Samuel : le THC ne provoque pas d'addiction, ce sont les rituels qui t'accrochent.
    Cultive donc une bonne herbe, pour toi seul, et consomme-la pure en évitant la fumette.
    La pâtisserie est un bon plan.
    Tu pourras ensuite t'arrêter quand tu voudras.
    Bon courage...
    Meilleurs vœux aux résistants !



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  11. Article intéressant mais qui mélange des problématiques différentes.

    Peut-on comparer les addictions (du chocolat au shit en passant par le téléphone portable même si dans ce domaine mettre le chocolat et le shit sur le même plan mériterait discussion), les médicaments dont la survie de certains dépend et ce que l’Etat peux mettre ne place pour nous contrôler ?
    Je ne le crois pas.

    Les addictions sont des addictions, c'est-à-dire une soumission volontaire à quelque chose.
    La seule solution pour s’en sortir est une question de volonté. Encore faut-il avoir un objectif qui vaille la peine de vouloir sortir de cette addiction. Mais lorsque l’on est survivaliste, n’a-on pas déjà cet objectif ?

    Le diabétique est-il heureux de prendre de l’insuline à vie ? Je n’en n’ai pour l’instant encore rencontré aucun heureux d’être dépendant. Ce n’est pas une addiction mais une contrainte.

    Ce que l’Etat peut mettre en place pour nous contrôler est la aussi une contrainte et non une addiction.

    Sinon, la discussion technique sur le shit me fait bien sourire… ou comment justifier mon addiction.

    PS : J’adore le chocolat et sait très bien m’en passer sans ressentir aucun manque comme lorsque nous jeunons une dizaine de jours avec mon épouse pour « nettoyer » le corps deux à trois fois par ans.
    Je conseil d’ailleurs aux survivalistes d’essayer le jeune sur deux à trois jours puis sur dix jours. Vous en apprendrez beaucoup sur votre corps, ses changements de fonctionnement et sur vos ressources cachées. Vous apprendrez à dissocier « sensation de faim » souvent issue d’une addiction et « alimenter la machine » pour qu’elle fonctionne. Vous casserez certaines addictions lors d’un jeune prolongé.
    A l’arrivée, vous aurez gagné une autonomie corporelle certaine qui pourra être fort utile le moment venus.
    (A lire : Le jeune de Hellmut Lützner)

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  12. Bonsoir a tous.histoire de faire comme tout le monde j ai achete un paquet de cigarette au menthol et a la troisieme j ai degueule tripes et boyaux tout un apres midi en me roulant par terre c etait en 1973. Depuis rien. Definitivement gueri. Sinon j aime bien un verre de vin a table quands au cannabis, hormis ses qualites analgesiques pour certaines maladies, il rend glandeur. Et puis j en ai vu tellement partir a l escalade et se crasher definitivement.
    finalement l adrenaline c est bon. J ai eu de sacres bon shoots avec le surf le parachutisme le parapente. Et d autres petites choses .
    c est encore ce qu il y a de mieux comme addiction. Je decroche avec l age en douceur , j ai 58,mais de temps en temps je m offre un bon trip.
    chacun ses gouts en ce domaine . Simplement l addiction est une faiblesse. Il faudra en tenir compte en cas de panne de courant.
    bonne preparation et bonjour chez vous
    Herman stoss

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  13. Riesling et eau plate9 janvier 2016 à 01:26

    Des conneries !

    Pardon chère Elizabeth, je vous aime bien, mais là de mon modeste point de vu - peut-être faux va savoir- je dis : des conneries !

    Je m'explique. J'ai fumé de l'âge de 17 à 32 ans et j'ai arrêté du jour au lendemain sans aucun artéfact et sans même m'en rendre compte. En fait j'ai arrêté because je m'étais fâché avec mon buraliste. Ce con qui m'avait dit dit qu'il fallait voter Jospin.

    Bref, sans clopes ou même sans briquet, c'est aussi simple que ça.

    Et c'est vrai pour tout. Sans alcool - ou sans cannabis j'imagine ou sans chocolat ou sans fric pour les putes, etc - il est très facile d’arrêter ce que vous appelez "addiction".

    "Addiction" est au reste un mot qu'on vous a appris. Rien de plus.

    En vérité l'être humain est infiniment malléable et il s'adapte à tout ( encore mieux que les rats ou des corbeaux).

    Grosses bises tout de même ! ( car je sais bien que cela partait d'un bon sentiment)

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  14. Mais oui cela part d'un bon sentiment et cet article, même et surtout si nous ne sommes pas forcément d'accord, nous oblige à réfléchir à notre propre situation ou à celle de nos proches.

    Faute de « tentation » à portée de la main, l’arrêt sera effectivement obligatoire. C’est surement la phase de sevrage qui sera dure. Et la, c’est clair que c’est surement plus difficile d’arrêter le tabac, l’alcool et le drogue que le chocolat Milka plié par la gentille marmotte de ma BAD.
    D’où l’intérêt de posséder pour le troc des denrées dont certains ne pourrons se passer car n’étant mentalement pas près à cette situation.
    Hors, être dans une démarche survivaliste, n’est-ce pas se préparer à cette situation ?

    Le corps humain a des capacités d’adaptation assez phénoménales.
    Et la volonté n’est pas un vain mot.
    Pourquoi l’être humain aurait la volonté de gravir l’Everest et n’aurait pas la volonté d’arrêter de fumer ?
    Cela me semble surtout tenir de la doxa psychanalytique freudienne qui veut que nous soyons tous névrosés.

    Si l’on pousse le raisonnement jusqu’au bout, notre corps devra aussi apprendre à ne plus forcément prendre une douche chaude en ouvrant le robinet mais patienter en faisant avant l’effort d’aller couper du bois pour faire chauffer l’eau. Idem pour la faim, la soif et tout ce qui nous tombe tout cuit dans notre « civilisation des énergies fossiles ».
    Un bon moyen pour rappeler à votre corps que rien n’est facile à acquérir dès que l’on sort de la civilisation des E.F » est de le faire sortir volontairement de sa zone de confort.
    Sortir des villes et aller passer des journées et surtout des nuits en forêt. De préférence dans une zone écartée des villages pour redécouvrir ce qu’est vraiment la nuit. Faire un stage de survie, d’escalade ou tout simplement marcher avec un sac à dos pour réapprendre ce qu’est la fatigue physique et ce quelque soit la météo. La sortie était programmée mais il pleut comme vache qui p… et bien je sors quand même. Et là, partir sans ses clops, son Nutella ou son Ipad.

    PS : concernant les conséquences physiques et mentales du shit, j’ai vue les résultats sur ma fille ainée. Une loque à l’esprit embrumée.
    Une loque à l’esprit embrumée a qui il a fallu deux ans pour remettre les neurones à la bonne place aidée par la pointure 42 de son père.
    Sans commentaires pour ne pas devenir désagréable avec certains propos de cette fille de discussion.

    Oups, j'allais oublier.
    Bonne année et bonne préparation 2016 à tous.

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  15. La tentation était dans les anciennes rasquettes de combat de l'armée française: gnôle, clopes et chocolat Pupier.
    cc

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    1. Haaa, le pain de guerre trempé dans la gnôle pour faire un cake...

      Et la boite de boeuf, ne pas l'oublier surtout en tartine sur une bonne tranche bien épaisse de pain de guerre.

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    2. Il fallait boire un peu - pour faire passer - mais pas trop - sinon le pain de guerre doublait de volume et chargeait considérablement l'estomac!

      Popeye

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  16. Bonjour j echangeais les horribles cigarettes contre les petits bonbons dans les boites de rations..
    et ce foutu pain de guerre qui necessitait un litre d eau pour l avaler. Enfin quands on a que ca en operation on fait avec. Mais j en ai vu qui etaient vraiement en manque apres deux jours sans tabac. Ils auraient fume de la mousse.

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  17. Bsr a toute et tous, déjà bonne merde 2016,Elizabeth très bon pavé dans nos tronches pour ce début d'année, moi mon addiction est la clope,j'adooreee la salade(amnésia)produit bio mais le shit(résine) trop de merde dedans comme dit plus haut, le truc ou je suis moins d'accord avec certain parmi nous, pour le sevrage, ok connaître ses faiblesses c'est déjà un début, mais en tant de chaos comme dit @F VON Pikkendorff 9/1 7h57 on doit y penser avant comme pour les traitements médicaux, à relire l'article de Mr Pierre sur le troc,j'y pense et en cas de bordel généralisé,(moi) je me vois mal fumé un joint alors que je monte la garde (défense domicile) a la rigueur en repos et encore aurais-je le temps, le sevrage ce ferra de force,quand a un joint contre un steak c'est tout vue,je te fume mange mon steak et fume ton joint,lol, apres pour la drogue douce ça ce trouve [placard EDF,caves,box,voir armoire pour les saisie ;)] Mais comme dit @Samuel il y a une période pour cultivé(normal) donc un bon jardinier,des graines de tabac,marijuanna,et alambic(gniole,wisky,etc)voire huile ,t'es au top pour le troc(marché noir).Pour finir soit sevrage il y aura soit vos addictions vous emmènerons dans le trou,perso je pense que très peu ici on envie de voir le trou,a nous dit penser en amont.cldt le Bougnat

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  18. Il y a pire que l addiction au drogues divers et variés.C'est les personnes qui vous répondent que ce préparer à l effondrement de notre société,est inutile car si elles n'avait plus leur confort de vivre,elle préfèreraient mourir.
    Alors que nous, (les plus inquiet,parano,et défaitiste) sommes prêt à vivre quelque soit le scénario.
    Nous n abandonnerons pas,nous nous adapteront...(des graines) pour ensemencer un nouveau départ.
    Notre comportement (posture),agit sur notre état (mentale)!
    Pratiquez des Techniques(PNL),Programmation neurologiques peuvent sûrement vous aidez pour vous deconditionner..
    Prendre sa vie en main
    Savoir...vouloir....oser

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  19. Pardon,j ai fait une erreur...(le joint sans doute)
    Il s agit de la PNL,c'est la programmation neuro linguistique !!!
    POUVOIR ILLIMITÉ par Anthony Robbins
    Un livre à posséder dans sa BAD...
    Représentation interne(comment et pourquoi nous représentons. Dans notre esprit) +physiologie (posture,biochimie, énergie nerveuse,respiration, tension musculaire,relaxation(....fffff)
    Créer notre état qui engendre notre comportement (parole,action,chat de la couleur de la peau, respiration)
    Bon souflrez....
    X.

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  20. J'ai 2 amours et 2 ennemis : le Bordeaux et les Toscanos !

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  21. Devant les addictions , il y a une chose dont je suis sur . Nous ne sommes pas tous égaux face a un sevrage . Pour moi le tabac j'ai essayé plusieurs fois , par des méthodes variées et je n'ai jamais réussi . J'ai la conviction que si l'acte est associé fortement au plaisir , c'est beaucoup plus difficile de s'en affranchir ....

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  22. HS/je n'ai jamais ressentie aucune douleur ou même de sensation dans le bas du dos en dehors de grosse journée de boulot je pensais bien me porté mais 1er jour d'haltéro et hop légère douleur dans le dos.Vos mieux prévoir que guérir rendez vous chez un pote toubib il ma remis tous le dos en place de la nuque aux hanches.Pensez si surtout les "vieux" qu'on un taf manuel ou pire ceux qui reste assis dans un bureau y a pas plus dégueulasse pour le dos.

    Sa fais quand même sortir 55 euros.
    Si vous avez pas de potes toubib sa peux vite devenir long de prendre un rendez-vous.

    JD

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  23. Anonyme HS/ Un conseil !Fait de la natation !!! Nettement mieux que l'haltéro et ca muscle tout !!! Du moins c'est hyper moins traumatisant que courir, salle de gym etc . C'est mon avis ! A+
    Signé Osefnoj

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  24. Juste pour l'ambiance: celui qui n'a pas d'addiction n'est pas vivant. On a tous besoin d'un truc gratifiant qui devient une addiction dès qu'on y accède sans limite. Après, comparer le crack et le chocolat me paraît risqué.
    L'idéal est de choisir au préalable sa faiblesse pour une situation peu confortable.
    cc

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  25. Sujet aussi intéressant qu'important dans nos préparatifs. Encore une fois, et plus que jamais "personnel". Hormis les addictions classiques (tabac, alcool, drogue), qui ont un effet néphaste sur la santé; Je tiens à souligner l'importance des dépendances affectives comme le stipule Elisabeth. En effet, en faisant le tour de la question en pensant aux membres de ma famille, il y a pléthore de facteurs indésirables. Faites le tour de votre côté, cet article met le doigt là où ça fait mal. Une personne âgée qui ne voudrait pas quitter son domicile, une autre qui n'arrive à dormir que grâce aux antidépresseurs, 2 personnes "inséparables"... Ces éléments peuvent paraitre anodins, mais seront démultipliés en cas de crise majeure. L'état de stress et le déni de la situation poseront probablement autant, voire plus de problèmes que le manque provoqué par un joint.
    Je ne suis malheureusement pas psychologue pour trouver de bonnes réponses aux problèmes affectifs, mais le sujet est important à traiter, j'y travaille.
    Il est plus simple de se préparer en achetant ceci ou cela, je pense qu'il faut le faire, mais ça ne règle pas tous les problèmes.

    Dernier point de vue que je voulais aborder. L'importance de la nourriture. Il me semble qu'on peut compenser certains états de stress et de panique grâce à la nourriture. Je ne parle pas de rations de combat, mais bien d'un carré de chocolat ou d'une conserve de cuisses de canard. Les aliments "plaisir" peuvent avoir un effet rassurant, qui sauront remonter le moral des troupes!
    De fait, le lien entre drogue et chocolat ne me choque pas. Il me semble que chacun puisse percevoir/vivre différemment une situation identique.
    Vous pensez savoir comment annihiler vos propres dépendances, c'est un bon point. Mais n'oubliez pas vos familles, nous sommes tous différents...

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  26. très bonne analyse c'est vrai qu'il faudra aussi se préparer à affronter ses addictions.. Mais hormis les médicaments indispensables au malades, les addictions qui influencent le métabolisme et non le "psychique", celles que réclament le corps et que le cerveau ne peut stoppé (héroïne contrairement au cannabis par exemple)vous avez donnez la réponse dés le début a mon sens

    "CAR LE CERVEAU S’HABITUE A TOUT ET S’AUTO PROGRAMME CONSTAMMENT"

    "C’est d’ailleurs grâce à ce phénomène « d’habituation » que nous vivons de façon adaptée avec un stress en général géré : habitude = Normalité"

    il finira par s'adapter au manque de nicotine de chocolat d'ordinateur ou d'alcool.. notre cerveau. Le problème sera combien de temps il lui faudra et ce sera je pense en fonction de chaque métabolisme ;)
    merci pour cet article
    sky

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  27. N'oubliez pas l'addiction à la vie :p

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    1. Bien joué. par contre celui qui s'en passe est du coup libéré.
      cc

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  28. Bonne année à toutes et à tous.

    Certains devront donc apprendre à survivre au ca-chaos!

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  29. Riesling, "Art ultime, art sublime, un peu de ta voix"16 janvier 2016 à 21:33

    Ah si !

    Il y aura tout de même des "addictions" - même si je n'aime vraiment pas ce mot - dont il sera difficile de se passer, à savoir l'Art lorsqu’il touche au sublime et qu'en même temps il se révéle prophétique au point de concentrer par exemple tout ce site de milliers de pages en quelques centaines de mesures musicales évanescentes :

    https://www.youtube.com/watch?v=MFcy4sYDakg ;


    Des éclairs et des revolvers ; Serge Lama ( chanson censurée sur les ondes et dans les médias ) ;

    « Au rythme où l’on éteint les roses
    Où l’on assassine la mer
    Où la jeunesse est sous hypnose
    Et la Vieillesse en Alzheimer
    Au rythme où le soleil invente
    Sans espoir des millions d’enfants
    Qui sont dans des files d’attente
    Sur la piste des éléphants.

    Y’aura bientôt que des éclairs
    Y’aura plus d’eau y’aura plus d’air

    On a plus le temps de prédire
    Que le pire est devant nos yeux
    On n’a presque plus rien à lire
    Les vrais livres sont déjà vieux
    A peine le temps d’être un homme
    Qu’on a vécu plus qu’une vie
    Adieu Venise et adieu Rome
    On habite tous Pompéi.

    Y’aura bientôt que des éclairs
    Y’aura plus d’eau y’aura plus d’air

    Entends, entends le monde implose
    ça fait même un sacré boucan
    Les gens qu’on aime se nécrosent
    Écoute vrombir les volcans
    Je ne suis pas un moraliste
    Ni un chaman ni un curé
    Mais dans la foire aux égoïstes
    J’ai vu trop de femmes pleurer.

    Y’aura bientôt que des éclairs
    Y’aura plus d’eau y’aura plus d’air

    Bien encastrés dans leur musique
    Écoutez les maux demain
    Des tsunamis sur l’Atlantique
    Amour ne lâche pas ma main
    Je te parlerai du Verlaine
    Pour mieux accompagner ta peur
    Pour mieux désamorcer ta peine
    Je glisserai mon cœur dans ton cœur

    Y’aura bientôt que des éclairs
    Sortis tout chauds des revolvers"

    https://www.youtube.com/watch?v=MFcy4sYDakg

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  30. Un peu de poésie dans ce monde brute.
    Des addictions comme cela j'en rendement tous les jours.
    Merci.

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  31. bjr,voici 2 liens qui peuvent servir:http://lesmoutonsenrages.fr/2016/01/15/comment-remplacer-le-cafe-si-jamais-celui-ci-manque-un-jour/ ainsi que http://lesmoutonsenrages.fr/2016/01/14/cultiver-son-propre-tabac-a-rouler-2/ cldt le Bougnat

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  32. Bonjour,

    J'en ai trouvé un qui en tient une bonne ... d'addiction.
    Même sans traduction il est très éloquent et compréhensible.
    Un "addict" comme celui là, vous le recevez chez vous? Même après une cure?
    http://www.bengarneau.com/2016/01/difficile-de-nier-l-existence-de-nibiru-avec-une-preuve-visuelle-comme-celle-ci.html

    j'aurais pu aussi mettre ça en lien dans les "faux amis".

    Laurent

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  33. Article tres intéressant, ce site reste une reference par la diversité éditoriale, BRAVO
    Dans un laboratoire, ils ont donnés du sucre et de l héroine a des rats. Puis apres ils ont laissé les rats choisir.... Devinez ce que les rats ont préféré prendre ....le sucre.
    Quand les gens n auront plus leur coca, ou leur jus d orange préféré, il sera préférable de ne pas trop les chatouillé.

    De toute façon je suis convaincu que la chute sera progressive, il n y aura pas rupture brutale de la normalité. Les 1% auraient trop a perdre.
    Si jamais j avais tord, je pense que beaucoup de gens ne pourraient survivre dans un monde nouveau. Ils ont besoin de leur clope, d aller au resto, du vivre ensemble, de l échange, de voyagé, de mangé des nems, des sushis, d aller au cinema... Nous verrions beaucoup de nos connaissance refuser de vivre, et ceci sera, une tres grande épreuve pour les survivalistes.

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