Ou comment développer un état d'esprit propice au dépassement de toute catastrophe !
La psychologie est la plus importante des compétences de survie. Elle est bien souvent ce qui sépare les survivants de ceux qui ne passent pas le cap.
Les personnes qui réagissent rapidement, restent lucides, calmes et concentrées sur leur tâche ont un avantage certain en termes de survie. Une telle attitude permet une meilleure intuition et un meilleur jugement, alors qu'un esprit débordé ne peut tout simplement pas penser de façon logique et entraîne de mauvaises décisions...
Les conséquences psychologiques de la faim et de la soif - du froid ou du chaud, de la foule ou de l'isolement, de la fatigue ou du manque de sommeil - font partie des problèmes auxquels vous devrez faire face sans un plan visant à combattre les difficultés ou éviter les dangers.
Avoir le bon état d'esprit peut certainement sauver la vie, et c'est la raison pour laquelle la planification de la survie est si importante.
Qu'est-ce que la planification de la survie ? Cette notion va bien au-delà du simple stockage de nourriture, d’eau et d'équipements de défense. Elle va également au-delà d’une attitude mentale positive, car des pensées positives n'aideront pas à elles seules à sortir d'un désastre. La planification de la survie est l'équivalent d'une trousse de premier secours psychologique. Elle consiste à avoir l'espoir et la détermination pour survivre, ainsi qu'un plan logique pour aller avec.
En nous préparant, nous augmentons considérablement nos chances de survie. Faites un plan pour survivre en assimilant les 7 sept règles suivantes de psychologie de la survie. Cette lecture pourrait à elle seule vous sauver la vie.
Les personnes qui réagissent rapidement et restent lucides ont un avantage certain en termes de survie. En bref, chaque seconde compte ! Les incendies de forêt font souvent la démonstration d'une telle règle, lorsque le développement des flammes est si rapide que la moindre hésitation peut s'avérer mortelle.
La célèbre campagne publicitaire de Nike - "Just do it" - découle probablement des conseils avisés de Walt Disney qui disait à l'époque :
Sachez que vous êtes construit selon le modèle responsif de combat ou de fuite. L'absence de réaction est le facteur le plus important à prendre en compte. Les survivalistes ont l'avantage parce qu'ils savent comment réagir lorsqu'une situation catastrophique se présente. Ils ne seront pas les chevreuils aveuglés par les phares, car ils ont en tête mille scénarios et savent comment réagir. Ils ont un plan. D'autres ne seront pas aussi chanceux ; ils rejoindront les camps du Gouvernement et se réfugieront dans la peur. La plupart ne survivront pas à la fin du monde tel que nous le connaissons.
Quel est votre plan de survie ?
Si vous l'ignorez encore, laissez-moi vous le dire. Votre plan de survie est le suivant :
Comme le savent tous les spécialistes, la clé pour bien faire les choses est la préparation. Ce que vous faites aujourd'hui contribuera à vos chances de survie demain. Et la seule façon de bien faire les choses est de les pratiquer.
Si vous avez un masque à gaz, apprenez comment le mettre en dix secondes ou moins. Si vous avez un shotgun, apprenez à recharger en moins de 5 secondes. Vous devez penser à ce qu'il faut faire lorsque vous n'êtes pas stressé. Créez votre plan aujourd'hui, et revoyez-le au besoin. Restez clair dans votre tête et concentré sur votre tâche.
En plus de l'entraînement aux gestes à accomplir, ressassez les divers scénarios dans votre tête comme si vous les viviez pour de vrai. Toute préparation, même la plus banale possible, est susceptible plus tard de vous sauver la vie.
Lorsque vous séjournez dans un bâtiment, qu'il s'agisse d'un hôtel ou d'un immeuble, chez vous ou chez des amis, vous devez connaître le chemin à suivre pour en sortir. Parcourez l'itinéraire d’évacuation les yeux fermés, comme si vous étiez aveugle. En cas d'incendie, la fumée pourrait bloquer votre vision.
La vie elle-même présente un danger imminent car nous mourrons tous un jour. Cependant, il est possible de reporter la menace par une planification avancée. Pour reprendre notre exemple des incendies, beaucoup de gens sous-estiment la gravité de cette menace ; ils pensent avoir plus de temps qu'ils n'en ont réellement. On pourrait appeler cela le "syndrome du feu ami".
Le 11 septembre 2001 a donné quelques bons exemple de ce syndrome. Beaucoup de ceux qui ont péri se sont rendus aux toilettes, ont rangé des papiers, éteint leur ordinateur, fermé leurs armoires ou fini leurs repas au lieu de se précipiter vers les issues de secours. D'autres se sont réunis pour essayer de trouver une solution. Ils se sont regroupés et ont appelé leur famille pour avoir des nouvelles, alors qu'ils auraient dû passer ce temps à évacuer.
Certains survivalistes ignorent le danger à cause de la pression exercée par les autres membres de leur groupe ou leurs proches. C'est une chose à laquelle nous sommes constamment confrontés, qu'il s'agisse de notre famille, de nos amis, nos collègues... tous ceux qui ne se préparent pas et qui pensent que nous sommes fous de le faire.
La pression des pairs est capable d’exercer son pouvoir de bien plus de façons qu'on ne peut l'imaginer. En bref, les gens ne veulent pas avoir l'air ridicule. Ils ne veulent pas risquer leur réputation, alors même qu'ils sont prêts à risquer leur vie !
Cela n'a aucun sens tant que l'on n'y pense pas de cette manière. La plupart des signaux d'alerte sont de fausses alertes, n'est-ce pas ? Pourquoi se lever et sortir d'un bâtiment si l'alerte est susceptible d'être fausse. C'est la mentalité de la personne qui ne s'est pas préparée. Un survivaliste sortirait de l'immeuble immédiatement et sans même réfléchir ; il aura déjà planifié dans son esprit son itinéraire de fuite à plusieurs reprises.
Soyez responsable ! Votre préparation ne comptera pour rien à moins que vous ne mettiez vos plans à exécution. La personne qui survit est celle qui a confiance en soi. Avoir confiance en vous aidera à faire face à la situation. Vous devez survivre et vous dire précisément ce que vous devez faire.
Rappelez-vous, ce que vous faites peut vraiment faire la différence. Vous êtes responsable de votre vie. Vous pouvez réellement changer votre destin.
Quiconque a suivi une formation en premiers secours sait que la seule chose qui la différencie des autres est la confiance en sa capacité à savoir quoi faire. Une personne formée commandera à une autre personne d'appeler le 112. Elle prendra en charge la situation pour évaluer les signes vitaux. Elle demandera également l'autorisation à la victime de l'aider, ou à son tuteur. Cela parce qu'elle est la personne qui est en charge.
Vous ne pouvez pas aider quelqu'un qui ne veut pas l'être. Beaucoup ressentent un sentiment de soulagement quand quelqu'un d'autre prend les choses en main. Les survivants sont "en charge" et dirigent la situation.
Il a été prouvé par les survivants des camps Viêts de la guerre d'Indochine et à maintes autres occasions que ceux qui avaient su garder espoir ont réussi. Ayez foi en votre survie. Soyez heureux de vous être préparé. Les gens les plus heureux de la planète seront ceux qui se sont préparés au cas où l'impensable venait à se produire. Vous pouvez survivre à la seule condition de conserver une attitude mentale positive !
Lorsque vous réalisez que vous êtes entré dans une situation de survie, résistez à la panique et prenez quelques minutes pour planifier.
Enfin, prenez une leçon avec Bruce Lee, champion en arts martiaux mais aussi champion toute catégorie de l'adaptation, le maître mot du survivaliste.
Sois comme l'eau mon ami !
Souvenez-vous de toujours garder espoir ! Si vous perdez l'espoir, vous perdrez la bataille.
En gardant à l'esprit ces stratégies de survie fondamentales, vous utiliserez votre dernière flamme pour survivre, quel que soit ce qui vous arrive, et vivrez heureux pour longtemps...
La psychologie est la plus importante des compétences de survie. Elle est bien souvent ce qui sépare les survivants de ceux qui ne passent pas le cap.
Les personnes qui réagissent rapidement, restent lucides, calmes et concentrées sur leur tâche ont un avantage certain en termes de survie. Une telle attitude permet une meilleure intuition et un meilleur jugement, alors qu'un esprit débordé ne peut tout simplement pas penser de façon logique et entraîne de mauvaises décisions...
Les conséquences psychologiques de la faim et de la soif - du froid ou du chaud, de la foule ou de l'isolement, de la fatigue ou du manque de sommeil - font partie des problèmes auxquels vous devrez faire face sans un plan visant à combattre les difficultés ou éviter les dangers.
Avoir le bon état d'esprit peut certainement sauver la vie, et c'est la raison pour laquelle la planification de la survie est si importante.
Qu'est-ce que la planification de la survie ? Cette notion va bien au-delà du simple stockage de nourriture, d’eau et d'équipements de défense. Elle va également au-delà d’une attitude mentale positive, car des pensées positives n'aideront pas à elles seules à sortir d'un désastre. La planification de la survie est l'équivalent d'une trousse de premier secours psychologique. Elle consiste à avoir l'espoir et la détermination pour survivre, ainsi qu'un plan logique pour aller avec.
En nous préparant, nous augmentons considérablement nos chances de survie. Faites un plan pour survivre en assimilant les 7 sept règles suivantes de psychologie de la survie. Cette lecture pourrait à elle seule vous sauver la vie.
Règle n ° 1 : Réagir rapidement et ne pas hésiter
Les personnes qui réagissent rapidement et restent lucides ont un avantage certain en termes de survie. En bref, chaque seconde compte ! Les incendies de forêt font souvent la démonstration d'une telle règle, lorsque le développement des flammes est si rapide que la moindre hésitation peut s'avérer mortelle.
La célèbre campagne publicitaire de Nike - "Just do it" - découle probablement des conseils avisés de Walt Disney qui disait à l'époque :
"La meilleure façon de commencer est de cesser de parler et de commencer à le faire."
Sachez que vous êtes construit selon le modèle responsif de combat ou de fuite. L'absence de réaction est le facteur le plus important à prendre en compte. Les survivalistes ont l'avantage parce qu'ils savent comment réagir lorsqu'une situation catastrophique se présente. Ils ne seront pas les chevreuils aveuglés par les phares, car ils ont en tête mille scénarios et savent comment réagir. Ils ont un plan. D'autres ne seront pas aussi chanceux ; ils rejoindront les camps du Gouvernement et se réfugieront dans la peur. La plupart ne survivront pas à la fin du monde tel que nous le connaissons.
Quel est votre plan de survie ?
Si vous l'ignorez encore, laissez-moi vous le dire. Votre plan de survie est le suivant :
- Réagissez rapidement et faites tout ce qui est nécessaire pour rester en vie.
- Consacrez 100 % de votre énergie à la survie et à la volonté de vivre.
- N'abandonnez JAMAIS !
Règle n ° 2 : Faire les choses bien la première fois
Comme le savent tous les spécialistes, la clé pour bien faire les choses est la préparation. Ce que vous faites aujourd'hui contribuera à vos chances de survie demain. Et la seule façon de bien faire les choses est de les pratiquer.
Si vous avez un masque à gaz, apprenez comment le mettre en dix secondes ou moins. Si vous avez un shotgun, apprenez à recharger en moins de 5 secondes. Vous devez penser à ce qu'il faut faire lorsque vous n'êtes pas stressé. Créez votre plan aujourd'hui, et revoyez-le au besoin. Restez clair dans votre tête et concentré sur votre tâche.
Règle n ° 3 : Planifier une issue de secours
En plus de l'entraînement aux gestes à accomplir, ressassez les divers scénarios dans votre tête comme si vous les viviez pour de vrai. Toute préparation, même la plus banale possible, est susceptible plus tard de vous sauver la vie.
Lorsque vous séjournez dans un bâtiment, qu'il s'agisse d'un hôtel ou d'un immeuble, chez vous ou chez des amis, vous devez connaître le chemin à suivre pour en sortir. Parcourez l'itinéraire d’évacuation les yeux fermés, comme si vous étiez aveugle. En cas d'incendie, la fumée pourrait bloquer votre vision.
- Repérez toujours les rues transversales ou voies de traverse lorsque vous marchez.
- Si vous êtes en voiture, laissez toujours devant vous un espace suffisant pour pouvoir sortir de la file et ne pas rester coincé.
- Sur un ferry ou un bateau, commencez pas chercher l'emplacement des canots de sauvetage avant de chercher votre siège.
- Dans un avion, comptez les rangées jusqu’à la sortie de secours avant de placer vos bagages dans les compartiments supérieurs.
- Organisez régulièrement des alertes incendie avec votre famille, sans oublier de donner des explications détaillées sur la manière de déployer une éventuelle échelle de secours, ou de fuir l'étage autrement que par les escaliers (c’est une chose que les enfants ne sauront pas faire sans instructions).
Règle n ° 4 : Ne jamais sous-estimer le danger
La vie elle-même présente un danger imminent car nous mourrons tous un jour. Cependant, il est possible de reporter la menace par une planification avancée. Pour reprendre notre exemple des incendies, beaucoup de gens sous-estiment la gravité de cette menace ; ils pensent avoir plus de temps qu'ils n'en ont réellement. On pourrait appeler cela le "syndrome du feu ami".
Le 11 septembre 2001 a donné quelques bons exemple de ce syndrome. Beaucoup de ceux qui ont péri se sont rendus aux toilettes, ont rangé des papiers, éteint leur ordinateur, fermé leurs armoires ou fini leurs repas au lieu de se précipiter vers les issues de secours. D'autres se sont réunis pour essayer de trouver une solution. Ils se sont regroupés et ont appelé leur famille pour avoir des nouvelles, alors qu'ils auraient dû passer ce temps à évacuer.
Règle n ° 5 : Ignorer la pression des pairs
Certains survivalistes ignorent le danger à cause de la pression exercée par les autres membres de leur groupe ou leurs proches. C'est une chose à laquelle nous sommes constamment confrontés, qu'il s'agisse de notre famille, de nos amis, nos collègues... tous ceux qui ne se préparent pas et qui pensent que nous sommes fous de le faire.
La pression des pairs est capable d’exercer son pouvoir de bien plus de façons qu'on ne peut l'imaginer. En bref, les gens ne veulent pas avoir l'air ridicule. Ils ne veulent pas risquer leur réputation, alors même qu'ils sont prêts à risquer leur vie !
Cela n'a aucun sens tant que l'on n'y pense pas de cette manière. La plupart des signaux d'alerte sont de fausses alertes, n'est-ce pas ? Pourquoi se lever et sortir d'un bâtiment si l'alerte est susceptible d'être fausse. C'est la mentalité de la personne qui ne s'est pas préparée. Un survivaliste sortirait de l'immeuble immédiatement et sans même réfléchir ; il aura déjà planifié dans son esprit son itinéraire de fuite à plusieurs reprises.
Règle n ° 6 : Avoir confiance pour prendre le contrôle
Soyez responsable ! Votre préparation ne comptera pour rien à moins que vous ne mettiez vos plans à exécution. La personne qui survit est celle qui a confiance en soi. Avoir confiance en vous aidera à faire face à la situation. Vous devez survivre et vous dire précisément ce que vous devez faire.
Rappelez-vous, ce que vous faites peut vraiment faire la différence. Vous êtes responsable de votre vie. Vous pouvez réellement changer votre destin.
Quiconque a suivi une formation en premiers secours sait que la seule chose qui la différencie des autres est la confiance en sa capacité à savoir quoi faire. Une personne formée commandera à une autre personne d'appeler le 112. Elle prendra en charge la situation pour évaluer les signes vitaux. Elle demandera également l'autorisation à la victime de l'aider, ou à son tuteur. Cela parce qu'elle est la personne qui est en charge.
Vous ne pouvez pas aider quelqu'un qui ne veut pas l'être. Beaucoup ressentent un sentiment de soulagement quand quelqu'un d'autre prend les choses en main. Les survivants sont "en charge" et dirigent la situation.
Règle n ° 7 : Adopter une attitude positive
Il a été prouvé par les survivants des camps Viêts de la guerre d'Indochine et à maintes autres occasions que ceux qui avaient su garder espoir ont réussi. Ayez foi en votre survie. Soyez heureux de vous être préparé. Les gens les plus heureux de la planète seront ceux qui se sont préparés au cas où l'impensable venait à se produire. Vous pouvez survivre à la seule condition de conserver une attitude mentale positive !
Lorsque vous réalisez que vous êtes entré dans une situation de survie, résistez à la panique et prenez quelques minutes pour planifier.
Enfin, prenez une leçon avec Bruce Lee, champion en arts martiaux mais aussi champion toute catégorie de l'adaptation, le maître mot du survivaliste.
Sois comme l'eau mon ami !
Souvenez-vous de toujours garder espoir ! Si vous perdez l'espoir, vous perdrez la bataille.
En gardant à l'esprit ces stratégies de survie fondamentales, vous utiliserez votre dernière flamme pour survivre, quel que soit ce qui vous arrive, et vivrez heureux pour longtemps...
vous avez oublié, je pense, la règle la plus importante que tout le monde prend pour acquis : le lien social, particulièrement une cellule familiale soudée et forte ou deux personnes profondément amoureuses ou des amitiés hors pairs
RépondreSupprimervous faites quoi des personnes seules ? avec la surpopulation dans les villes chacun entassé et ne connaissant pas son voisin (juste un "bonjour") le développement des machines qui éloignent les personnes entre elles (j'en suis malheureusement moi même) les valeurs familiales qui sautent plus ou moins face au consumérisme, du divertissement du loisir, il y a beaucoup de personnes isolés tant dans les campagnes que dans les villes, dont le seul contact social c'est un animal ou au travail (bonjour, aurevoir) et qui malgré tout même en s'adaptant on arrive juste pas a construire quelque chose de durable QUI VAILLE SURTOUT LA PEINE DE SE BATTRE
Du coup un type comme moi seul, entre l'ordinateur la bibliothèque et le travail y a rien c'est vide pas d'attachement rien, pas de famille (surtout les familles qui font des gosses parcequ'il faut faire des gosses ou pour les alloc mais après n'assument rien et attende l'école, l'état a faire le boulot, qu'il faut profiter de la vie trouver un bon travail baiser et avoir une famille encore et encore)
j'ai les moyens les capacités de me préparer à tout ce que ce blog partage, mais y a pas la motivation, quel interet de me sauver moi même ? Pour vivre quoi si je réussis à survivre à part devenir un animal; faut pas se leurrer, ceux qui n'avaient aucun contact et attachement social/sentimental avant le chaos, faut pas rêver pendant et après : a moins d'être superman, le taux de survie est à peine d'un iota à moins de perdre son humanité à intégrer un groupe qui passera son temps à tuer piller violer, servir des seigneurs de guerre, l'espoir est perdu à partir du moment où on sait qu'on ne ressentira, fera jamais l'expérience de l'amour, de la joie de la compagnie, que tes seules amies seront la haine la souffrance la solitude la crainte la peur ! Inutile de vivre ainsi
Tout le blog est axé sur la survie, mais sans langue de bois, il faut aussi PREPARER sa MORT ! je sais que je n'y survivrai pas dans mon état actuel, je suis jeune mais déjà fichu jusqu'aux os !
C'est pour ça que j'ai mis 1500e sur l'achat d'un euthanasie, le pentobarbital qu'utilise les vieilles personnes pour se suicider en paix dans les pays où c'est l'égal (suisse ect...); soit les douanes ont interceptés le produit ou bien je me suis fait arnaquer (je penche franchement pour la deuxieme)
je n'abondonne pas pour autant d'avoir la dignité de vivre une belle mort au lieu de se la jouer violent avec une corde ou autre !
Mais voilà j'en suis sûr il y en a qui lise et suit ce blog tout en ne faisant rien parsque on sait que pour les gens comme nous c'est déjà fichu !
Merci ! (et puis si quelqu'un à ce produit, j'ai de quoi payer mais bon, je suis dégouté de cette vie de merde !).
Dans ce cas faites quelque chose d'utile, si vous souhaitez mourir, faites le dans l'honneur, par un sacrifice utile ...
SupprimerBonjour à tous ,tu t'es relu anonyme du 28:02,16:04?
SupprimerTon texte n'est pas franchement un témoignage de épanouissement dans la vie affective.
Le lien social est le minimum syndical.Pour avoir des amis,il faut être un ami.
Dans la bibliothèque il doit bien y avoir un ouvrage sur l'analyse transactionnelle.Sinon Eric berne.
Les 3 états du moi:parent, adulte, enfant et leurs dysfonctionnements sont des notions très importantes pour comprendre son comportement ainsi que celui des autres.
Corruption,dysharmonie,faites vos jeux;mieux vaut un être déterminé avec trois bouts de ficelle qu'un suréquipé paralysé et à fortiori suicidaire.
Méfiez-vous anonyme 28:0216:04!vous êtes un met de choix pour tous les gourous de la terre qui sauront parler à l'enfant paniqué qui est en vous.
Bien à vous
YK
Bonjour anonyme 28 février 16h04 .
SupprimerTout d'abord , je fais état de la remarque de Didier : pourquoi n' avez vous pas choisi un pseudo ? Dans le milieu des commentateurs de ce blog , une civilité appréciée pour tisser un " pseudo" lien social à caractère virtuel certes mais déjà un début dans le cadre de vos souhaits.
vous êtes seul dans votre campagne / ville ? Didier pourra vous orienter vers un club de rencontres avec des femmes russes, pourquoi russes ?
1) elles sont très belles.
2) elles sont , souvent , habituées à la solitude , la géographie de la Russie et son climat ( l'hiver ) .
3) elles apprécient la gentillesse des européens. Leur sobriété aussi.
4) vous n'imageneriez pas le nombre d'italiens mariés à des russes , pourquoi pas un français.
5) dans la ville de montagne à 20 kms plus bas que mon refuge, un jour à midi , dans un petit restaurant d'ouvriers dans une zone industrielle , un ami italien Me signale une superbe jeune femme blonde avec une longue tresse , seule femme à la table d'une dizaine d'ouvriers , et il me dit : tu vois cette jeune femme est un ingénieur mécanicien ukrainien !
6) le souvenir de mes nombreux séjours professionnels à Moscou me font pousser un soupir de nostalgie rien qu'à y penser.
7) aidez vous , le ciel vous aidera.
Mourir , préparer sa mort , dites vous ? Certes ! Mais aussi , pourquoi pas , " et mourir de plaisir " / chanson de M. Sardou .
Ne pas subir sa vie mais la vivre , en toute simplicité , ça vous tente ?
Évidemment, si vous faites partie des FO ( c'est un exemple , un simple exemple sans aucune intention malicieuse de ma part, évidemment on peut ne pas me croire......! ) , je ne saurais quoi vous dire....!
Vous êtes jeune dites vous ( mais pas seul car en compagnie de vous même , ce n'est pas rien ) alors aucune hésitation , les voyages forment la jeunesse , comment pas encore parti , qu'est ce que vous attendez ?
Cordialement.
Vianney.
Si vous avez les moyens (sur tout les plans) de vous préparer faite le plutôt que d'investir dans un suicide .
SupprimerAllez savoir votre préparation pourrait vous permettre de venir à des personnes actuellement totalement inconnues mais qui pourrait à l'occasion de ce chaos ( que je pense fort hypothétique) devenir des proches.
Cet article est comme toujours très intéressant.Face à ces situations nous sommes souvent pris d'un vertige.De nombreuses questions se bousculent,que faire?Fuir mais vers où?Face aux catastrophes saurons-nous prendre la bonne décision?
RépondreSupprimerJe pense à chaque fois à l'affaire des "canots de sauvetage du Titanic"je me permets de mettre le lien:https://fr.wikipedia.org/wiki/Canots_de_sauvetage_du_Titanic
L'héroïque comme toujours côtoie l'abject,la générosité la cupidité.
Bien à vous
YK
Merci pour l'article Pierre ! Plein de bons rappels.... :-)
RépondreSupprimerBonjour à toutes et tous; HORS SUJET ! mais bon ! ras le bol: à tous les "anonymes" (28 février 2019-16h04) et aux autres, SVP par respect, convention, éducation et tradition en rapport avec notre sens de la politesse et par respect pour Monsieur Templar ( qui se fait ch..er à nous donner des clefs de survies....Dites "Bonjour !" et ....signer. Voila ! Da svidania, Didier.
RépondreSupprimerBonjour,il y avait ou il y a un danger qui menace les randonneurs et touristes,ce sont les feux dits d'écobuage.Feux très rapides,puisque allumés en bas de montagnes.Il y a eu un drame dans les Pyrénées dans les années 2000 qui avait fait 5 morts.Celui qui s'en était sorti avait "foncé"à travers les flammes contrairement aux autres qui étaient partis dos aux flammes,ce qu'il faut faire en général.(voir drame écobuage Esterençuby)https://www.ladepeche.fr/article/2000/02/12/106336-pris-au-piege-d-un-feu-d-herbes.html
SupprimerUn seul des huit randonneurs à fait le "bon"choix.
Bien à vous
YK
Bonsoir,j'ai eu envie de répondre ici sur le manque d'humour et l'accrobranche.
SupprimerSérieux,trop sérieux?Ennuyeux?
J'ai piqué les passages suivants à David Manise (c'est mieux venant de lui):
"d'une posture mentale où l'on affirme son droit à la vie découlent de nombreux chois et attitudes.De la conscience de situation extrêmes émergera un ensemble de solutions aussi extrêmes basées sur l'efficience et affranchie du fair-play.Il ne s'agit pas d'une approche ludique ou sportive.On est brutalement plongés dans la recherches de résultats avec des objectifs très concrets :vivre, rester entier, revenir."
Il pousse l'insolence jusqu'à suggérer de tricher pour gagner;il n'y a pas de seconde place en matière de survie.
Il me semble que certains devraient se blinder ailleurs qu'en stock de conserves.
Il va falloir faire sans numéro de téléphone vert,sans assistance,sans évacuation par hélico;la moindre fracture foulure peut avoir de terribles conséquences.
Le bon samaritain voudra vous détrousser,saurez vous dire NON?Saurez-vous choisir qui aider?Ou même si c'est une bonne idée d'aider les autres?
Il n'y a eu que 9 commentaires avec celui-ci sur ce sujet.
Pourtant à quoi servira un cal 12 si vous êtes hésitants?Ou gentil?Ou naïf?
Pourtant l'objectif est simple.
Bien à vous et merci à Pierre.
YK
Supprimer@ YK
Sérieux trop sérieux et schéma mental figé ?
Chaque rigidité, même mentalement blindée, mène à la douleur.
Une suggestion n'est pas une obligation, y compris celle qui consiste à tricher, surtout quand rien n'indique que tricher fait gagner sur le long terme.
Introduire un questionnement en/de forme divergente offre l'opportunité d'apprécier - d'envisager - sous un nouvel angle la situation. Pourquoi s'en priver?
De là à s'accrocher à une branche comme un pendu …
Survire sera compliqué.
Comité
Comité,Bonsoir,
Supprimerdésolé de be pas avoir retranscrit la totalité de l'oeuvre de David Manise,il va falloir la lire ,si tu y trouves un quelconque intérêt ou relire avec attention les écrits de Pierre.
Prendre conscience de quelque chose n'est pas de la rigidité mentale,mais serait plutôt son antithèse.
Pourquoi en effet se priver du fait de courir un risque inutile?Pourquoi?Parce qu'une idée est séduisante?Originale?
Tout se joue en nous.Tout dépend de notre niveau de vigilance et notre capacité à rester lucide.Nous devons éviter,justement les effets pervers du stress "vision tunnel",motricité lourde,l'inertie mentale..mais également les modes et autres raisonnements tarabiscotés;c'est il me semble le but d'une préparation.
Soumettre une idée est positif en soi on est même là pour ça.
Après chacun voit midi à sa porte.Désolé alors si je semble être psychorigide parce que j'ai tendance à prioriser.
Un abri transitoire dans les arbres?Pourquoi pas?Pourquoi faire?
Comme le dit Herman,"les robinsons suisses "l'ont fait,les parents de tarzan (greystoke)l'ont fait,Robin des bois "le prince des voleurs l'a fait et les arboricoles de NDDL l'ont fait(mais sans succès).
Tout ça ne nous mène pas très loin:un travail de romain rien que pour le plancher et les échelles,pour un abri valable QUE si en face il n'y a pas d'armes à feu et surtout pas de full auto .(et pas de tronçonneuse)
Robin a-t-il présenté un seul avantage de son projet?Extrapolons!
On peut citer le risque d'inondation et ?les animaux et?...
Quand j'établis le ratio,bénéfices/contraintes,il me semble que c'est une mauvaise idée.Cela n'a rien de sentencieux,c'est mon point de vue;si vous voulez me convaincre que je me trompe,je suis prêt à entendre vos arguments.
Il ne s'agit pas de juger ni François,ni Herman,ni Robin,ni vous ni moi,mais de réfléchir à un concept censé améliorer les conditions de survies.Voilà donc comment j'ai construit mon raisonnement.
J'aurais le même raisonnement pour une cité lacustre et ferais une exception pour de l'habitat troglodyte,ou un abri flottant sur un lac avec des roseaux,un ancien fort style "Vauban"à condition d'être en nombre...
Le raisonnement est celui de Janus,quand il écrit:" tout dépend de ce qu'on appelle écobuage".
Ma manière de penser consiste en analyser le risque,les réponses;et à regarder dans les réponses probables ce qu'elles ont d'avantages et d'inconvénients ,et de corroborer par des expériences(exemple article de presse ou autres). J'avoue m'être parfois planté à ce stade.
Même si beaucoup de Français n'ont pas d'armes à feu,même s'ils ne sont pas censés avoir du "full auto"on ne peut pas faire l'impasse sur le fait que les plus agressifs d'entre eux en auront sûrement et vos arbres risquent de devenir des mats de cocagne.(pour eux)
Pour ce qui est de "la triche"tout dépend de ce que tu nommes tricher;regarde le monde autour de toi,et aujourd'hui comme hier ce ne sont pas forcément les plus "honnêtes" qui gagnent sur le long termes;sauf à torturer la notion de "gagner"comme le sujet du post de d'Elizabeth,heureux homme(jusqu'à quand?).
Entre nous,tu as un coach gun et ton agresseur une machette;tu poses ton fusil pour prendre aussi une arme blanche?
Ou tu triches et ta riposte sera disproportionnée et marquée par un absence totale de fairplay?
En matière de survie gagner est il me semble un concept très simple;même si parfois il pourrait sembler plus simple encore et plus confortable peut être, de laisser tomber de baisser les bras,de ne pas survivre.
Après il y aura toujours des gens qui ont du panache,qui aiment le fun etc libre à eux.
Bien à vous
YK
@ YK
SupprimerJe n'ai pas d'opposition particulière au fairplay, pas de sympathie particulière face à la triche mais un coup de 12 contre un canif me va aussi, on joue avec ce que l'on a.
Prioriser ne deviendrait un problème que si c'était la réponse systématique, c'est pourquoi j'écrivais:
"Introduire un questionnement en/de forme divergente offre l'opportunité d'apprécier - d'envisager - sous un nouvel angle la situation. Pourquoi s'en priver?"
Concernant Robin et ses "bois", j'évoquais "le baron perché". Peut-être s'il ne le connaissait pas il aurait apprécié d'être en bonne compagnie. Se cultiver à tout propos et en tout lieu n'est pas une erreur.
Perso, les arbres je me chauffe avec.
Quant aux malhonnêtes qui gagneraient sur le long terme … ça reste à prouver et si c'est dans l'absolu alors c'est tout vu.
Quand à survivre, encore vaut-il considérer d'abord vivre!
Lumberjack
bonjour Yk ,tout dépend de ce que l'on appelle écobuage ,si ce n'est pas maitrisé et pour faire des feux sans réel contrôle il y a effectivement danger ,par contre si il s'agit de bruler des dechets verts (résidus d'élagages ,débroussaillage) surveillés,le risque est quasi nul,dans la mesure du possible il faut aller a contre vent,traverser un feu c'est possible si ça ne dépasse pas 10 mètres de profondeur avec des flammes inférieures a 2 mètres et sans habits style "polaire " qui crament instentanément,face a un feu de scopa (bruyère arborescente) on ne "tient "pas a 50 metres
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RépondreSupprimerLa serie "The 100" est excellente au niveau des décisions que sont amenés a prendre les personnages pour survivre; du meurtre à la trahison en passant par le cannibalisme tout ne sert qu'à justifier un acte, un choix qui finalement, dépend d'une question : sommes nous prêt à tout et n'importe quoi pour survivre mais aussi, et plus simplement la survie "d'un homme" ou "d'un clan" détruit et met en danger forcement la survie "de l'homme" dés lors qu'il n’existe que peut d'endroit pour survivre puisque chacun voudra ce l'accaparer plutôt que le partager (d'autant qu'il n'est pas "partageable"). C'est un cercle vicieux qui ne peut etre résolu puisque chacun veux survivre au détriment de l'autre. Bref on verra bien jusqu’à on est prêt a aller uniquement quand cela se produira...
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