L'invasion du Terminal 2 à l'aéroport de Roissy par une volée de Bac -5 en mal de naturalisation est un fait riche en enseignements.
Non seulement elle aura permis d'apprendre aux Français que la France ne leur appartient pas (dixit les nègres), mais aussi de rappeler qu'une situation de chaos peut se produire à tout moment, sans avertir, et en tout lieu.
Nous laisserons donc momentanément de côté notre nausée légitime à la vue de cette meute simiesque pour nous concentrer sur une seule question : que ferions-nous pour survivre si nous étions pris dans une situation similaire ?...
Le 19 mai dernier, cinq cents envahisseurs ont pris le contrôle du terminal 2 de l'aéroport Charles de Gaulle à Paris. Ils demandaient des papiers leur permettant de rester en France de manière légale et permanente.
Leurs revendications se fondaient sur le précepte que la France "n'appartient pas aux Français". On pourra toujours se consoler en se disant qu'elle ne leur appartiendra jamais non plus ; ils sont bien trop cons pour ça. A dix contre un, ils perdraient encore. Mais revenons à nos moutons.
Pour moi, la question dans ce genre de scénario est toujours la même : "En tant que survivaliste, que ferais-je si j'étais pris dans une situation similaire ?"
Pour commencer, ceux qui diraient qu'ils ne seraient pas au départ parce qu'ils ne voyagent pas sont gentiment priés d'aller jouer dans leur chambre et de laisser les grands parler. Chacun d'entre nous peut à tout moment se retrouver coincé dans une situation imprévue, et le fait de s'être préparé à l'avance dans des "jeux de guerre" apparemment puérils peut réellement aider à agir vite, et de manière opportune. Des choses dingues arrivent aussi dans les petites villes. Grâce à nos sinistres en chef, on n'est plus obligé de monter à Paris pour être à la fête. Surtout maintenant qu'ils ont prévu de faire de chaque ville et village de France un zoo à ciel ouvert.
Lorsque vous vous trouvez dans une situation dangereuse qui évolue rapidement, votre première stratégie devrait TOUJOURS être de VOUS ÉCHAPPER.
Je sais que beaucoup ne vont pas aimer cette suggestion parce qu’elle les ferait se sentir lâches. Je conçois parfaitement un tel sentiment venant des chiens de berger que nous sommes supposés être, mais sérieusement, comment pourrait-on raisonnablement affronter seul 500 personnes et gagner ? Ils n’auraient même pas besoin d’armes pour collectivement nous réduire en bouillie.
Répondre à une telle question pourrait faire l'objet d'un livre entier, étant donné les facteurs multiples et variés qui nécessiteraient d'être pris en compte. Mais s'il fallait en tirer la substantifique moelle, on en viendrait finalement à ces quelques conseils simples, qui constituent la meilleure synthèse :
Cela étant dit, voici une carte du Terminal 2 :
Comme on peut le voir sur la photo, le Terminal 2 est un long couloir. Chaque porte offre une issue de secours potentielle, bien que la marche soit assez haute une fois ouverte. Les portes d'un aéroport sont généralement équipées de détecteurs d'ouverture, mais rappelez-vous ce qui a été dit plus haut : vous ne devez pas vous soucier d’une alarme éventuelle. Vous devez surmonter votre programmation sociale et ouvrir la porte, alarme ou pas, pour pouvoir vous échapper. La bonne nouvelle est que cela pourrait servir à alerter la sécurité d'un problème éventuel. La mauvaise, à prévenir des malfaisants organisés et déterminés que quelqu'un cherche à s'échapper...
Si vous décidez de fuir, alors engagez-vous pleinement dans vos actions. Ne le faites pas à moitié. Laissez tout tomber et courez comme si vous aviez un alligator aux fesses. Et surtout, ne vous arrêtez pas une fois de l’autre côté de la porte ; le but est de mettre le plus de distance possible entre vous et le problème.
Voici quelques vidéos de l'attentat à l'aéroport de Bruxelles en 2016. Certes, la situation est différente puisqu'il s'agit d'un attentat, mais il existe des similitudes évidentes et on peut apprendre beaucoup des erreurs que les gens commettent face à une telle situation.
Notez combien les gens sont paralysés... Ils se cachent, tête baissée, prêts à subir une deuxième salve éventuelle au lieu de sortir. Plutôt que de s'enfuir à toute vitesse, ils récupèrent leurs bagages. Et une fois dehors, pourquoi restent-ils juste à côté de la porte ?
Toutes ces personnes attendent que des responsables leur disent quoi faire, mais dans de telles situations, c'est à VOUS de prendre les décisions.
Il n’y a pas des masses de cachettes possibles à Roissy. Voici une photo de l'intérieur du terminal :
Si vous ne pouvez pas fuir et qu'il faille vous cacher, la furtivité doit être est la règle. Le but est simplement de disparaître et vous fondre dans l'environnement sans aucune fanfare. N'oubliez pas que dans une situation avec 500 agresseurs potentiels, vous aurez de nombreux yeux tournés vers vous, donc tâchez d'avoir l'air nonchalant. Vous devez vous faufiler et vous cacher en silence.
Gardez quelque part en mémoire que dans certaines situations extrêmes, si vous essayez de vous échapper ou de vous cacher et que vous êtes pris, ça pourrait ne pas être joli. Vous acceptez le risque de devenir un exemple pour dissuader les autres de tenter la même chose.
Si vous ne pouvez pas fuir ni vous cacher à la vue des autres, il vous reste alors une dernière option, celle de vous cacher "en pleine lumière", autrement dit, vous fondre dans la masse.
Faites un scan rapide de votre environnement, et recherchez la ligne de référence des personnes autour de vous. C'est un sujet que nous avons abordé récemment : comment devenir invisible quand tout va mal. Les gens autour ont-ils l'air effrayés ? En colère ? Essayez de ne pas vous démarquer. Ne donnez pas l'impression d'être en train de préparer calmement un assassinat lorsque tout le monde autour a l'air terrifié.
Je sais que vous voulez être provocant et rester fier, du style : "Vous ne me faites pas peur sale n... , allez tous vous faire foutre !". Mais c'est une mauvaise idée, même si vous avez peur à mouiller votre froc. Ne faites rien qui capte l'attention des agresseurs.
Dans certaines situations, vous devrez vous humilier, prendre conscience que vous n’avez pas le contrôle et que vos ripostes éventuelles entraîneraient encore plus de violence à votre égard et envers les autres personnes autour de vous. Attention à "l'effet testostérone" dont nous avons parlé précédemment. Faites ce qu'il faut pour sortir. Si vous devez donner l'impression d'être faible et supporter un peu de violence verbale ou même un coup de pied, alors faites-le.
Dans le cas de Roissy, il serait difficile à un blanc de coller à la ligne de référence. Dans ce cas, scander des slogans pro nègres en agitant le poing avec rage et bien haut pourrait aider à rejoindre la première sortie possible sans trop d'encombres. Un air de gauchiasse visqueuse à la Herrou serait un plus, même si je doute que beaucoup d'entre nous aient le profil requis.
Je voyage toujours avec une écharpe que je peux rapidement mettre au dessus de ma tête si je me trouve dans une situation où je pense que cela pourrait être une meilleure option de me couvrir le visage. En dehors de cela, essayez de garder votre expression similaire à celle de tous les autres. Si vous avez des enfants, faites de votre mieux pour les garder au calme. Ne regardez pas dans les yeux des preneurs d’otages, ne leur adressez pas la parole délibérément ; vous êtes invisible.
Encore une fois, le meilleur conseil serait de ne pas être là. Cependant, si on se retrouve au cœur d’une situation comme celle-ci, à laquelle on ne peut s'échapper, le mieux est alors de "se cacher en pleine lumière".
Suivez la vague jusqu'à ce que vous ayez rejoint une zone sécuritaire. Devenez s'il le faut un journaliste de presse, un bénévole, portez un brassard d'assistance, soyez enceinte, malade, ou autre.
Dans certaines circonstances, être un passager effrayé pourrait être un bon moyen d'éviter d'être remarqué.
Certains signes de danger devraient vous obliger à prendre des mesures plus dramatiques.
La première question que je me poserais dans un scénario comme celui du Terminal 2 serait : "Que veulent-ils ?", car cela influencerait forcément ma réponse (bien que ne pas être là, en évitant ou en se cachant, devrait toujours être notre premier choix.)
Dans cette situation, il s'agit d'une manifestation, pas d'une attaque. Parce que le groupe avait un objectif autre que "tuer tout le monde", votre réponse pourrait être moins dramatique, voire carrément grotesque en choisissant la voie Herrou. Mais sans jamais oublier que même lorsque l'objectif initial est autre que de tuer des gens, les choses peuvent aller de travers.
Lors d’une attaque véritable, les chances de mourir augmentent considérablement, ce qui signifie que votre réponse devrait être tout aussi spectaculaire. Les assaillants espèrent généralement semer la terreur en blessant ou en tuant le plus d'innocents possible. Dans une attaque, votre objectif doit être 1) de vous échapper, ou 2) de riposter.
Le fait que quelqu'un soit blessé vous apprendra que les preneurs d’otages n’ont pas peur de commettre des exactions, ni même des meurtres. Si un otage est blessé ou tué, vous savez que la situation peut dégénérer de façon dramatique. L'évasion vient alors se placer tout en haut de votre liste d’actions potentielles (si elle n’était pas déjà là). Vous devez faire tous les efforts possibles pour vous sortir, vous et votre famille, de la situation. La première demi-heure est déterminante et constitue le meilleur moment pour tenter de le faire. Plus vous laisserez le temps passer, plus la difficulté augmentera. Certains articles du blog traitent de ce point spécifique.
Si la situation montre des signes d’une prise d’otages par des islamistes, vos chances de mourir auront alors augmenté de façon exponentielle. Ce n’est pas un acte de dénigrement envers les musulmans, que j'adore, mais un avertissement réaliste qui découle d'innombrables attaques dans un passé récent.
Regardez tous les événements dans le monde où des terroristes enturbannés ont pris des otages. À chaque fois, ces derniers ont refusé de négocier ou utilisé le temps de négociation pour établir de meilleures défenses, ou attirer davantage l'attention des médias. Chaque minute passée en négociation avec des barbus renforce leur position et leur accorde l'attention médiatique qu'ils recherchent. Ils ne veulent pas s’échapper. Ils veulent tuer tous les otages et mourir en martyrs. Vos tactiques de négociation ne feront que donner aux terroristes le temps dont ils ont besoin pour mener à bien leur plan.
Besoin d'exemples ? Pourquoi ne pas commencer par la prise d'otages à l'école de Beslan, en Ossétie du Nord en 2004 ? C’est l’événement le plus célèbre de ce type. Les terroristes ont utilisé les tentatives de négociation du gouvernement uniquement comme tactique dilatoire. Pendant que l'armée "négociait", ils assassinaient des otages, installaient des explosifs dans toute l'école, et positionnaient des mitrailleuses pour se préparer au raid inévitable à venir.
Pour des exemples plus récents de prises d'otages par des terroristes islamistes, regardez celle du Lindt Chocolat Café à Sydney en 2014, ou celle du restaurant de Dhaka au Bangladesh en 2016 ; ou encore du Bataclan.
Dans de tels cas, vous n'êtes pas seulement dans une position d'otage classique, mais dans une situation de martyr(e).
Si vous êtes la victime d'une prise d'otages terroriste, vous devez vous battre ou vous échapper. Il n'y a pas d'autres options. Vous ne pouvez pas attendre que la police vous sauve. Ils ne viendront pas. Ils seront trop occupés à essayer de "négocier" avec les terroristes qui ne font que les mener en bateau et gagnent du temps pour améliorer leurs défenses, leur couverture médiatique, et le nombre de morts. Quand les flics auront compris, il sera trop tard pour vous.
C'est la raison pour laquelle il faut toujours chercher à comprendre pourquoi l'événement se produit.
Dans le cas du terminal 2, aucun signe ne portait à croire qu'il s'agissait d'une situation de martyr. Une personne présente à ce moment-là aurait eu intérêt à se fondre dans la masse à défaut de s'échapper, plutôt que chercher à affronter un manifestant parmi les centaines d’autres. Mais dans le cas contraire, si par exemple vous verriez des preneurs d'otages installer des explosifs, votre réaction devrait alors s'intensifier pour s'adapter à la menace.
Lorsque vous êtes en infériorité numérique et/ou en armement, la riposte n’est pas toujours un choix judicieux. Dans de telles situations, elle devrait généralement être une option de dernier recours.
Mais si vous savez que vous êtes sur le point d’être tué, alors il est temps de passer à l’action. Si les preneurs d'otages ont déjà tué, cela augmente également la probabilité que d'autres meurent. S’il apparaît évident que vous êtes dans une situation de martyr, la riposte est le seul choix qui reste si vous ne pouvez pas vous échapper.
C'est le moment où vous n'avez plus rien à perdre. S'il y a d'autres personnes dans votre situation qui sont disposées à se battre, vos chances seront probablement meilleures.
Au Bataclan, les otages non armés étaient à la merci de leurs ravisseurs. Une centaine de personnes ont été maintenues en joue par quelques hommes armés. Gardez à l’esprit que riposter ne signifie pas toujours accomplir un mouvement de haute voltige façon ninja qui abat deux hommes armés d’un seul coup. Il existe de nombreuses façons de se défendre et toutes ne nécessitent pas de prouesse physique. Ne laissez pas la peur vous affaiblir. Votre cerveau est aussi une arme.
Allez-vous attendre que quelqu'un d'autre vous sauve ou allez-vous vous sauver vous-même ? Ne soyez pas kamikaze, mais tentez votre chance. Dans une situation comme celle du Bataclan, la survie est peu probable. Ne succombez pas sans avoir essayé de vous défendre.
Pour ce faire, une formation régulière est essentielle. Être en forme, pratiquer l'auto-défense et être fort dans son corps et dans sa tête servira beaucoup plus que d'être un légume de canapé qui rêve de gloire.
Encore une fois, étudiez vos ravisseurs et tâchez de mettre à jour leurs véritables motivations, ainsi que leurs objectifs. Veillez à ne pas aggraver la situation en ripostant. Le but n'est pas non plus d'être la victime qui aura convaincu les preneurs d'otage qu'ils n'ont plus rien à perdre.
Il est important de comprendre que cet article ne concerne pas nos envahisseurs illégaux qui réclament leurs papiers. Il ne s’agit non plus pas de la France ou de Roissy.
Il s’agit de savoir quoi faire lorsqu'on se retrouve dans une situation hors de notre contrôle, où l'on est soudainement en infériorité numérique, et où les choses sont devenues dangereuses...
Non seulement elle aura permis d'apprendre aux Français que la France ne leur appartient pas (dixit les nègres), mais aussi de rappeler qu'une situation de chaos peut se produire à tout moment, sans avertir, et en tout lieu.
Nous laisserons donc momentanément de côté notre nausée légitime à la vue de cette meute simiesque pour nous concentrer sur une seule question : que ferions-nous pour survivre si nous étions pris dans une situation similaire ?...
Le 19 mai dernier, cinq cents envahisseurs ont pris le contrôle du terminal 2 de l'aéroport Charles de Gaulle à Paris. Ils demandaient des papiers leur permettant de rester en France de manière légale et permanente.
Leurs revendications se fondaient sur le précepte que la France "n'appartient pas aux Français". On pourra toujours se consoler en se disant qu'elle ne leur appartiendra jamais non plus ; ils sont bien trop cons pour ça. A dix contre un, ils perdraient encore. Mais revenons à nos moutons.
Pour moi, la question dans ce genre de scénario est toujours la même : "En tant que survivaliste, que ferais-je si j'étais pris dans une situation similaire ?"
Pour commencer, ceux qui diraient qu'ils ne seraient pas au départ parce qu'ils ne voyagent pas sont gentiment priés d'aller jouer dans leur chambre et de laisser les grands parler. Chacun d'entre nous peut à tout moment se retrouver coincé dans une situation imprévue, et le fait de s'être préparé à l'avance dans des "jeux de guerre" apparemment puérils peut réellement aider à agir vite, et de manière opportune. Des choses dingues arrivent aussi dans les petites villes. Grâce à nos sinistres en chef, on n'est plus obligé de monter à Paris pour être à la fête. Surtout maintenant qu'ils ont prévu de faire de chaque ville et village de France un zoo à ciel ouvert.
Comment s'échapper ?
Lorsque vous vous trouvez dans une situation dangereuse qui évolue rapidement, votre première stratégie devrait TOUJOURS être de VOUS ÉCHAPPER.
Je sais que beaucoup ne vont pas aimer cette suggestion parce qu’elle les ferait se sentir lâches. Je conçois parfaitement un tel sentiment venant des chiens de berger que nous sommes supposés être, mais sérieusement, comment pourrait-on raisonnablement affronter seul 500 personnes et gagner ? Ils n’auraient même pas besoin d’armes pour collectivement nous réduire en bouillie.
Répondre à une telle question pourrait faire l'objet d'un livre entier, étant donné les facteurs multiples et variés qui nécessiteraient d'être pris en compte. Mais s'il fallait en tirer la substantifique moelle, on en viendrait finalement à ces quelques conseils simples, qui constituent la meilleure synthèse :
- Lorsqu'un groupe cherche à entrer en conflit avec une autorité, quels que soient sa taille et le lieu, il est dans votre intérêt de ne pas être là.
- Soyez attentif et observateur. Prenez un moment pour identifier les issues de secours et les options de sortie. Soyez prêt à les utiliser.
Une énorme quantité de notre conditionnement social resurgit en particulier dans les environnements de haute sécurité tels que les aéroports et autres bâtiment publics. Un panneau indiquant "Entrée interdite" - ou autre chose du même genre - ne doit en AUCUN CAS vous causer une quelconque hésitation à l’utiliser en cas d’urgence. - En cas de doute, partez tôt. Si vous sentez la responsabilité morale/éthique d’aider les gens qui vous entourent, alors le mieux que vous puissiez faire est de les encourager à vous suivre.
- Une fois que vous aurez réussi à vous extraire du problème immédiat, maintenez la priorité sur votre sécurité. Ne vous arrêtez pas, et ne vous contentez pas non plus de rester juste devant la porte de sortie.
- Si possible, communiquez avec les autorités (face à face ou par téléphone ou autre moyen similaire) et fournissez autant d'informations pertinentes que possible sur le(s) problème(s) que vous venez de fuir.
Cela étant dit, voici une carte du Terminal 2 :
Le Terminal 2 de l'aéroport de Roissy |
Comme on peut le voir sur la photo, le Terminal 2 est un long couloir. Chaque porte offre une issue de secours potentielle, bien que la marche soit assez haute une fois ouverte. Les portes d'un aéroport sont généralement équipées de détecteurs d'ouverture, mais rappelez-vous ce qui a été dit plus haut : vous ne devez pas vous soucier d’une alarme éventuelle. Vous devez surmonter votre programmation sociale et ouvrir la porte, alarme ou pas, pour pouvoir vous échapper. La bonne nouvelle est que cela pourrait servir à alerter la sécurité d'un problème éventuel. La mauvaise, à prévenir des malfaisants organisés et déterminés que quelqu'un cherche à s'échapper...
Si vous décidez de fuir, alors engagez-vous pleinement dans vos actions. Ne le faites pas à moitié. Laissez tout tomber et courez comme si vous aviez un alligator aux fesses. Et surtout, ne vous arrêtez pas une fois de l’autre côté de la porte ; le but est de mettre le plus de distance possible entre vous et le problème.
Voici quelques vidéos de l'attentat à l'aéroport de Bruxelles en 2016. Certes, la situation est différente puisqu'il s'agit d'un attentat, mais il existe des similitudes évidentes et on peut apprendre beaucoup des erreurs que les gens commettent face à une telle situation.
Notez combien les gens sont paralysés... Ils se cachent, tête baissée, prêts à subir une deuxième salve éventuelle au lieu de sortir. Plutôt que de s'enfuir à toute vitesse, ils récupèrent leurs bagages. Et une fois dehors, pourquoi restent-ils juste à côté de la porte ?
Toutes ces personnes attendent que des responsables leur disent quoi faire, mais dans de telles situations, c'est à VOUS de prendre les décisions.
Pouvez-vous vous cacher ?
Il n’y a pas des masses de cachettes possibles à Roissy. Voici une photo de l'intérieur du terminal :
Si vous ne pouvez pas fuir et qu'il faille vous cacher, la furtivité doit être est la règle. Le but est simplement de disparaître et vous fondre dans l'environnement sans aucune fanfare. N'oubliez pas que dans une situation avec 500 agresseurs potentiels, vous aurez de nombreux yeux tournés vers vous, donc tâchez d'avoir l'air nonchalant. Vous devez vous faufiler et vous cacher en silence.
Gardez quelque part en mémoire que dans certaines situations extrêmes, si vous essayez de vous échapper ou de vous cacher et que vous êtes pris, ça pourrait ne pas être joli. Vous acceptez le risque de devenir un exemple pour dissuader les autres de tenter la même chose.
Pouvez-vous vous fondre dans l'environnement ?
Si vous ne pouvez pas fuir ni vous cacher à la vue des autres, il vous reste alors une dernière option, celle de vous cacher "en pleine lumière", autrement dit, vous fondre dans la masse.
Faites un scan rapide de votre environnement, et recherchez la ligne de référence des personnes autour de vous. C'est un sujet que nous avons abordé récemment : comment devenir invisible quand tout va mal. Les gens autour ont-ils l'air effrayés ? En colère ? Essayez de ne pas vous démarquer. Ne donnez pas l'impression d'être en train de préparer calmement un assassinat lorsque tout le monde autour a l'air terrifié.
Je sais que vous voulez être provocant et rester fier, du style : "Vous ne me faites pas peur sale n... , allez tous vous faire foutre !". Mais c'est une mauvaise idée, même si vous avez peur à mouiller votre froc. Ne faites rien qui capte l'attention des agresseurs.
Dans certaines situations, vous devrez vous humilier, prendre conscience que vous n’avez pas le contrôle et que vos ripostes éventuelles entraîneraient encore plus de violence à votre égard et envers les autres personnes autour de vous. Attention à "l'effet testostérone" dont nous avons parlé précédemment. Faites ce qu'il faut pour sortir. Si vous devez donner l'impression d'être faible et supporter un peu de violence verbale ou même un coup de pied, alors faites-le.
Dans le cas de Roissy, il serait difficile à un blanc de coller à la ligne de référence. Dans ce cas, scander des slogans pro nègres en agitant le poing avec rage et bien haut pourrait aider à rejoindre la première sortie possible sans trop d'encombres. Un air de gauchiasse visqueuse à la Herrou serait un plus, même si je doute que beaucoup d'entre nous aient le profil requis.
Je voyage toujours avec une écharpe que je peux rapidement mettre au dessus de ma tête si je me trouve dans une situation où je pense que cela pourrait être une meilleure option de me couvrir le visage. En dehors de cela, essayez de garder votre expression similaire à celle de tous les autres. Si vous avez des enfants, faites de votre mieux pour les garder au calme. Ne regardez pas dans les yeux des preneurs d’otages, ne leur adressez pas la parole délibérément ; vous êtes invisible.
Encore une fois, le meilleur conseil serait de ne pas être là. Cependant, si on se retrouve au cœur d’une situation comme celle-ci, à laquelle on ne peut s'échapper, le mieux est alors de "se cacher en pleine lumière".
Suivez la vague jusqu'à ce que vous ayez rejoint une zone sécuritaire. Devenez s'il le faut un journaliste de presse, un bénévole, portez un brassard d'assistance, soyez enceinte, malade, ou autre.
Dans certaines circonstances, être un passager effrayé pourrait être un bon moyen d'éviter d'être remarqué.
Les signes de danger
Certains signes de danger devraient vous obliger à prendre des mesures plus dramatiques.
La première question que je me poserais dans un scénario comme celui du Terminal 2 serait : "Que veulent-ils ?", car cela influencerait forcément ma réponse (bien que ne pas être là, en évitant ou en se cachant, devrait toujours être notre premier choix.)
Dans cette situation, il s'agit d'une manifestation, pas d'une attaque. Parce que le groupe avait un objectif autre que "tuer tout le monde", votre réponse pourrait être moins dramatique, voire carrément grotesque en choisissant la voie Herrou. Mais sans jamais oublier que même lorsque l'objectif initial est autre que de tuer des gens, les choses peuvent aller de travers.
Lors d’une attaque véritable, les chances de mourir augmentent considérablement, ce qui signifie que votre réponse devrait être tout aussi spectaculaire. Les assaillants espèrent généralement semer la terreur en blessant ou en tuant le plus d'innocents possible. Dans une attaque, votre objectif doit être 1) de vous échapper, ou 2) de riposter.
Le fait que quelqu'un soit blessé vous apprendra que les preneurs d’otages n’ont pas peur de commettre des exactions, ni même des meurtres. Si un otage est blessé ou tué, vous savez que la situation peut dégénérer de façon dramatique. L'évasion vient alors se placer tout en haut de votre liste d’actions potentielles (si elle n’était pas déjà là). Vous devez faire tous les efforts possibles pour vous sortir, vous et votre famille, de la situation. La première demi-heure est déterminante et constitue le meilleur moment pour tenter de le faire. Plus vous laisserez le temps passer, plus la difficulté augmentera. Certains articles du blog traitent de ce point spécifique.
Si la situation montre des signes d’une prise d’otages par des islamistes, vos chances de mourir auront alors augmenté de façon exponentielle. Ce n’est pas un acte de dénigrement envers les musulmans, que j'adore, mais un avertissement réaliste qui découle d'innombrables attaques dans un passé récent.
Regardez tous les événements dans le monde où des terroristes enturbannés ont pris des otages. À chaque fois, ces derniers ont refusé de négocier ou utilisé le temps de négociation pour établir de meilleures défenses, ou attirer davantage l'attention des médias. Chaque minute passée en négociation avec des barbus renforce leur position et leur accorde l'attention médiatique qu'ils recherchent. Ils ne veulent pas s’échapper. Ils veulent tuer tous les otages et mourir en martyrs. Vos tactiques de négociation ne feront que donner aux terroristes le temps dont ils ont besoin pour mener à bien leur plan.
Besoin d'exemples ? Pourquoi ne pas commencer par la prise d'otages à l'école de Beslan, en Ossétie du Nord en 2004 ? C’est l’événement le plus célèbre de ce type. Les terroristes ont utilisé les tentatives de négociation du gouvernement uniquement comme tactique dilatoire. Pendant que l'armée "négociait", ils assassinaient des otages, installaient des explosifs dans toute l'école, et positionnaient des mitrailleuses pour se préparer au raid inévitable à venir.
Pour des exemples plus récents de prises d'otages par des terroristes islamistes, regardez celle du Lindt Chocolat Café à Sydney en 2014, ou celle du restaurant de Dhaka au Bangladesh en 2016 ; ou encore du Bataclan.
Beslan : 334 civils tués, dont 186 enfants... |
Dans de tels cas, vous n'êtes pas seulement dans une position d'otage classique, mais dans une situation de martyr(e).
Si vous êtes la victime d'une prise d'otages terroriste, vous devez vous battre ou vous échapper. Il n'y a pas d'autres options. Vous ne pouvez pas attendre que la police vous sauve. Ils ne viendront pas. Ils seront trop occupés à essayer de "négocier" avec les terroristes qui ne font que les mener en bateau et gagnent du temps pour améliorer leurs défenses, leur couverture médiatique, et le nombre de morts. Quand les flics auront compris, il sera trop tard pour vous.
C'est la raison pour laquelle il faut toujours chercher à comprendre pourquoi l'événement se produit.
Dans le cas du terminal 2, aucun signe ne portait à croire qu'il s'agissait d'une situation de martyr. Une personne présente à ce moment-là aurait eu intérêt à se fondre dans la masse à défaut de s'échapper, plutôt que chercher à affronter un manifestant parmi les centaines d’autres. Mais dans le cas contraire, si par exemple vous verriez des preneurs d'otages installer des explosifs, votre réaction devrait alors s'intensifier pour s'adapter à la menace.
Se défendre
Lorsque vous êtes en infériorité numérique et/ou en armement, la riposte n’est pas toujours un choix judicieux. Dans de telles situations, elle devrait généralement être une option de dernier recours.
Mais si vous savez que vous êtes sur le point d’être tué, alors il est temps de passer à l’action. Si les preneurs d'otages ont déjà tué, cela augmente également la probabilité que d'autres meurent. S’il apparaît évident que vous êtes dans une situation de martyr, la riposte est le seul choix qui reste si vous ne pouvez pas vous échapper.
C'est le moment où vous n'avez plus rien à perdre. S'il y a d'autres personnes dans votre situation qui sont disposées à se battre, vos chances seront probablement meilleures.
Au Bataclan, les otages non armés étaient à la merci de leurs ravisseurs. Une centaine de personnes ont été maintenues en joue par quelques hommes armés. Gardez à l’esprit que riposter ne signifie pas toujours accomplir un mouvement de haute voltige façon ninja qui abat deux hommes armés d’un seul coup. Il existe de nombreuses façons de se défendre et toutes ne nécessitent pas de prouesse physique. Ne laissez pas la peur vous affaiblir. Votre cerveau est aussi une arme.
Allez-vous attendre que quelqu'un d'autre vous sauve ou allez-vous vous sauver vous-même ? Ne soyez pas kamikaze, mais tentez votre chance. Dans une situation comme celle du Bataclan, la survie est peu probable. Ne succombez pas sans avoir essayé de vous défendre.
Pour ce faire, une formation régulière est essentielle. Être en forme, pratiquer l'auto-défense et être fort dans son corps et dans sa tête servira beaucoup plus que d'être un légume de canapé qui rêve de gloire.
Encore une fois, étudiez vos ravisseurs et tâchez de mettre à jour leurs véritables motivations, ainsi que leurs objectifs. Veillez à ne pas aggraver la situation en ripostant. Le but n'est pas non plus d'être la victime qui aura convaincu les preneurs d'otage qu'ils n'ont plus rien à perdre.
Alors, que feriez-vous ?
Il est important de comprendre que cet article ne concerne pas nos envahisseurs illégaux qui réclament leurs papiers. Il ne s’agit non plus pas de la France ou de Roissy.
Il s’agit de savoir quoi faire lorsqu'on se retrouve dans une situation hors de notre contrôle, où l'on est soudainement en infériorité numérique, et où les choses sont devenues dangereuses...
bonjour à tous, l'aéroport de Roissy CDG est une zone de circulation que je connais bien pour y avoir travaillé moult fois, la zone 2 est effectivement un long couloir et comme il est décrit ici, regorge de portes d'acces ou de sorties avec des interdictions partout, ma position et mon badge me permettait d'aller fouiner dans tous les coins et je conçois qu'il est tres facile de s'y cacher ou de fuir si tant est qu'on ne respecte pas les interdictions quands la situation deviendrait critique. de plus il y a des lieux de restauration , des points d'eau , des distributeurs facilement accessibles, ce qui pourrait servir en cas de rétention diverses.
RépondreSupprimerle comportement des voyageurs est souvent problématique, ils ne sont pas toujours des moutons (quoique) . quands nous trouvions une valise abandonnée, malgré les appels à venir la recupèrer, il fallait installer un cordon de sécurité le temps que les démineurs interviennent et là les gens tenaient absolument à passer pour aller chercher leurs avions, on avait beau leur expliquer, la betise à front de taureau regnait en masse. surtout les riches passagers facilement reconnaissables à leur habillement, leur cour ou leur comportement. "in fine", la menace d'un objet "c'est dur et ça fait mal" (DEPARDIEU les valseuses) reglait le probleme. au résultat, la valise etait pulvérisée et souvent les lamentations de son propriétaire, opportunément disparu pendant l'operation de neutralisation avait son coté divertissant apres coups (passage à la caisse). comme il est dit ici, l'important est de ne pas chercher à tout comprendre et se sauver, quitte à laisser la précieuse valise et son contenu (tongs , chapeau de brousse, photo de belle maman) qui sera remboursé en théorie .bon embarquement à tous (le mien fut interminable tres récemment) . HERMAN STOSS .
bonjour Pierre et merci encore pour ce supplément de cynisme et d'humour, c'est vraiment rafraichissant en ces temps caniculaires...
RépondreSupprimerPersonnellement j'envisage toujours ces abominables scénarios, à tel point que je ne suis jamais heureux de voir ma femme partir au superU à dix kilomètres de chez moi avec nos deux enfants de 2 ans et demi et 5 ans et demi! formidable superU d'ailleurs ou les caissières sont obligées de me demander d'ouvrir mon sac - lutte antiterroriste oblige! - je fais donc un scandale à chaque fois tentant de rallier à mes arguments les français qui font la queue derrière moi... peine perdue... l'année dernière j'ai tellement bien refusé d'ouvrir mon sac à dos plein de victuailles et de tnt que c'est le bon chef de la sécurité qui est venu à mon sac, que j'ai fini par lui ouvrir, car attendre la gendarmerie deux bonnes heures ne m'arrangeait pas du tout. La cerise sur le gâteau était que ce brave chef de la sécu avait tout l'air d'un chef spirituel du genre de ceux que Pierre adore... et certainement heureux de ce pouvoir momentané qu'il avait sur moi. L'arabe qui vérifie si le petit blanc n'a rien volé...
Dans le cadre de l'exercice de ma profession, un jour en travail de groupe, une professionnelle de santé me demandait pourquoi je leurs demandais si elles avaient prit le temps d'imaginer des situations professionnelles où elles se faisaient agresser. Bien entendu, la première des raisons est de pas se retrouver en situation d'hinibition, et la suivante d'échapper à un éventuel psychotraumatisme. Car à mon point de vue, dans le sujet d'aujourd'hui, le premier pas est d'imaginer, visualiser, et même se visualiser le plus diversement possible, ce qui nous outillera déjà grandement sur le plan psychique et comportemental.
Force et lumière à tous
Ivan
Bonjour,il y a un système de déclenchement d'alarme incendie dans ces lieux?
RépondreSupprimerSi oui et bien voilà ....on évacue.
Bien à vous
YK
La foule est comme un long fleuve pas tranquille ,le courant est plus fort au centre,aussi dans un mouvement de fuite le plus sûr est de prendre graduellement la tangente sans trop résister à la force qui emporte tout et se mettre a l'abri le plus loin possible dès que l'on est plus dans le flot.Il est des endroits dans lesquels à peine entré l'ambiance ne nous convient pas ,quelque chose d'indéfinissable ,alors si cela ressemble a un danger partez du principe sans exeptions que celà en est un.On ne résiste pas même bien armé a un flot en panique ou pis encore :déterminé a vous nuire,les anciens des pitons viets ou de la guerre de corée en parlent encore,alors comme le dit si bien Pierre foutez le camp loin et vite sans chercher à comprendre le pourquoi du comment,il y a un temps pour tout l'effet de surprise sidérant passé.bonne semaine a tous
RépondreSupprimerLe fait de courir est discutable dans certaines situations : dans les années 90, la police américaine recomandait de se jeter à terre plutôt que de courir dans certaines situations "courantes" (échange de coups de feu, typiquement des nègres défoncés à l'armée de poing).
RépondreSupprimerLe raisonnement derrière est que ce qui est "courant". Même aux US les mass shooting (armes auto, nombreux chargeurs, préférer tuer plutôt que de survivre ou gagner) sont hyper rares.
Par contre là-bas, une embrouille entre nègres, c'est couramment des des balles d'armes de poing qui fusent.
Quand ce sont des prédateurs qui se tirent dessus, ils n'ont que la survie et la victoire en tête au pied quand ils sont bien défoncés au crack c'est ça bouge moi tirer.
Je sais que c'est théorique mais peut se capter vite sur le moment.
Pour reprendre le lieu d'un terminal d'aéroport, la ridicule baston team Booba vos team Kaaris, si elle s'était passée aux US, ça aurait tiré (les exemples de raclures du rap qui s'entretuent, c'est assez courant là bas).
Ben la ne pas être debout, c'est éviter d'être une cible. Le cas typique que prenait la police us.
Ce n'est pas valable face à des masses ou à des psychopathes atteints d'Islam aigu.
Travailler la souplesse mentale, identifier des point de repère pour catégoriser en 1 instant.
Chaque scénario testé doit surtout être une façon de travailler l'impro plutôt que driller des cas typiques.
Bonsoir on peut aussi se "déguiser"en cadavre comme le fit l'Olonnais.
SupprimerBon ça a marché la première fois et la seconde il s'est transformé en barbecue.
Le problème est que si le tueur est comme Breivik qui au bout d'un moment en a marre et appelle la police,ça peut marcher;si c'est comme au Bataclan,où si j'ai bien compris les blessés ont été torturés et achevés,c'est très moyen.
Reste la diversion,incendie,inondation,il faut trouver quelque chose qui bloque la mécanique bien huilée des terroristes.Ces quelques secondes d'incompréhension face à un phénomène non prévu suffiront-elles?
Ivan pourquoi perdre ton temps avec ce vigile si tu n'as pas deux heures pour une confrontation avec la gendarmerie.Maintenant si c'est inscrit aux caisses....il te reste plus qu'à les pourrir sur les pages jaunes,rubrique avis.Trouve quelques copains pour faire pareil.
Moi la dernière fois,j'ai indiqué que je repasserais devant le portique autant de fois que nécessaire,pour indiquer que rien ne permets de me soupçonner de vol;j'ai demandé la présence des dits gendarmes en précisant au responsable,que je me soumettrai à une fouille complète et publique,mais que je réquisitionnerai les gendarmes pour une plainte pour dénonciation calomnieuse,abus de pouvoir et atteinte grave à l'honneur.
La fois avant j'avais commencé à me désaper en indiquant que puisqu'on me le demande....Ils sont habitués aux gens qui résistent pas aux autres;élément perturbateur.
Bien à vous
YK
un scénario possible de Calais. Tout d"abord des faits avérés. Des migrants ont été vus Kalashnikov a la main dans les rues de Sangatte (il y a 15 ans) des bandes de 20 a 40 migants tous armés de barre de fer ont été vus a Calais en plein jour. Les migrants sont montés a plus de 10 000 sur Calais en période de pointe . De nombreuses mafias étrangéres regnent sur ce ramassis de merde..
RépondreSupprimerSi 4 armés de Kalash suivis de 40 armés de batons suivis de 400 moutons noirs décident vraiment ensemble de monter dans un bateau d'une compagnie quelconque .. Personne ne les arrétera.. Les cotes anglaises etant souvent a vue.. le Capitaine otage sera obligé d'aller vers les cotes sans pouvoir tromper les ravisseurs .. le temps de traversée 50mn.. Même si j'ai grand respect pour nos forces d'élite.. c'est mort de chez mort.. lls réussissent ou peuvent faire un carnage dans le bateau.. et même bien avant de monter..
bonjour et bien voilà un lien enprise directe avec les propos de Pierre ,et c'est pas un scénario,si seulement ils pouvaient se massacrer un peu entre eux ça ferait moins de boulot pour ma descendance !!!! https://francais.rt.com/france/63283-france-matchs-foot-coupes-afrique-des-quartiers-degenerent
RépondreSupprimerEvidemment, quand on réunit foot et rivalités ethniques...
SupprimerSi les participants a la fête de la musique de Nantes avaient lu ce site et les conseils de Pierre peut être auraient ils pu éviter un bain de Loire offert gracieusement par Castaner et ses sbires,il est vrai qu'ils ont dû être considérés eux aussi comme les bullshit gilets jaunes chers à notre pseudo-président.Bonjour a tous
RépondreSupprimerBonsoir,un bon déguisement pour moments tendus?
SupprimerVous avez un canif,une petite lame coupante?
Vous vous coupez discrètement au niveau de l'index droit si vous êtes gaucher?Inspirez fortement le sang par les narines.Appliquez votre mouchoir avec le doigt qui continue de saigner.Super vous en foutez partout. Y a plus qu'à trouver une infirmerie.
Vous vous êtes trompé de porte?"Je comprends pas ce qui m'arrive.Personne ne m'a frappé je me sens mal".
Et si c'était Ebola?Un malaise du à l'hypertension?Ce con va saloper mes fringues.Bref tout le monde est content de vous voir dégager et s'écarte de vous dans un bel élan de solidarité.
Pour les panneaux interdiction de ci ou de la,prévoyez une feuille ,un marqueur,du scotch.Marquez "URGENCE" sur le papier et masquer le panneau.Attention qu'il n'y ait pas de caméra.Ce que vous faites là,va se transformer en "qui a mis ce papier?"
Si vous tombez sur un vigile ou truc du genre;pensez ouistiti sexe et essayez de la dire.N'ayez pas l'air penaud d'un enfant pris,mais celui d'une personne ravie de rencontrer un membre de la sécurité:je me suis perdu,heureusement que je vous ai trouvé.
Vous croyez que ces trucs éculés ne marchent pas?
Un cuistot qui avait la porte de sa cuisine en face de celle qui menait aux toilettes avait fini par mettre une affiche sur la porte de la cuisine à force d'être importuné par les clients se trompant de porte.
Le texte?une citation de Audiard sur ceux qui osent tout.
Bon Dimanche
YK
YK faut arrêter de fumer de la moquette, ça te réussit pas.
RépondreSupprimerça faisait longtemps qu'on a pas lu de telles conneries ici.
Bonsoir ce qui est idiot c'est de se faire saigner comme une bête qu'on amène à l'abattoir;de se faire confisquer son téléphone par le ravisseur et ça:
Supprimerhttps://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=2ahUKEwj356j-k5TjAhVOA2MBHbozAUEQFjAAegQIABAB&url=https%3A%2F%2Fwww.cnews.fr%2Finsolite%2F2013-02-08%2Fle-portable-cache-dans-le-rectum-du-detenu-sonne-pendant-la-fouille-375651&usg=AOvVaw1RH590fjRWyjqYOzFK8uk8
Il y en a un que ça n'a pas dû faire rire et un autre aussi peut être!!Et encore ce n'était pas un coucou Suisse.
La réalité dépasse souvent la fiction pour celui qui n'a que des certitudes.Le gars que tu as pourtant si bien fouillé peut aussi t'ouvrir la gorge.
Humour,Janus c'est bien une des clés.
Bien à vous
YK
bien ce n'est pas idiot Berny ce que YK écrit avec un certain humour,et cela peut être prit au deuxième degré, une idée intéressante de modifier son apparence ou son environnement proche pour échapper a une attaque ,les poulpes et les caméléons sont passés maîtres en la matière et faire le mort avec une ampoule de faux sang(vendue a halloween) une solution pour laisser passer l'orage et se mettre en position de se sauver quand c'est possible,ces subterfuges sont souvent oubliés et pourtant ils sont employés par les animaux eux mêmes dans la nature:qui n'a pas vu une perdrix faisant mine d'être blessée pour attirer le prédateur(chat ou chien) loin de son nid au sol
RépondreSupprimerBonjour à tous.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup la référence aux animaux, nous devrions nous en inspirer plus souvent.
Le comportement de ces noirs ferait honte à un groupe de singes.
Heureusement que certains ont encore le sens de l'humour, je commençais a désespérer.
Bonne préparation à tous.
La boîte de cirage va devenir un indispensable de notre EDC
RépondreSupprimerAZ