Les leçons du passé pour le chaos à venir

L'une des pires lacunes de notre système scolaire se trouve être l'enseignement de l'histoire. Nous avons permis au marxistes de calomnier nos plus grands chefs, et d'ignorer ou dénigrer les plus glorieux moments de notre histoire.

Aujourd'hui, on n'enseigne plus à nos élèves ce qui est arrivé par le passé, de peur qu'ils s'aperçoivent que l'histoire se répète. Dès fois qu'ils commenceraient à réfléchir et tenir des propos subversifs...

Après toutes ces années d'inculture et de lavage des cerveaux, la plupart des européens ne connaissent rien à l'histoire et ses implications pour notre futur...




Pourtant, c'est en apprenant ce qu'ont vécu les générations précédentes, et en sachant que l'histoire se répète, que nous pourrons mieux nous préparer et éviter de commettre les mêmes erreurs lors du prochain chaos.

La guerre

Lorsqu'on en vient à parler de l'éventualité d'une guerre - et j'entends par là une guerre totale qui affecterait vraiment nos vies - tant les dirigeants que les peuples aiment à penser qu'elle serait finie très vite. C'est un sentiment bien compréhensible, connaissant le peu d'attrait de la nature humaine pour la souffrance et les privations. Malheureusement, les pieux sentiments ne suffisent pas dans ce domaine, et l'histoire est là pour nous rappeler que les deux dernières guerres d'envergure que nous avons connues ont tout de même duré près de cinq années chacune...

Les grands conflits ne sont jamais une surprise, si ce n'est pour les incurables ignorants, et l'histoire, elle encore, démontre que les hostilités couvent toujours un certain temps avant que les premiers coups de feu soient tirés. C'est exactement ce qui se passe de nos jours au Moyen-Orient, et bon nombre d'analystes placent le départ de la troisième à cet endroit du globe.

La propagande veut que l'on cache ou que l'on diminue toujours l'intelligence et les capacités de l'ennemi ; Le pouvoir proclame que le conflit se terminera vite, et les crédules ne manquent pas d'y croire. Sans jamais prendre conscience que les gouvernements utilisent aussi les guerres pour détourner les peuples de leurs problèmes quotidiens, et la faute qui leur serait autrement imputée. Les politiciens craignent beaucoup moins pour leurs fesses lorsque les administrés blâment une puissance extérieure pour un effondrement économique, plutôt que la politique désastreuse de leurs propres chefs.

De même, une guerre peut très rapidement résoudre un problème de chômage autrement insoluble. Ou bien encore une austérité résultant d'une gestion pitoyable. Les médias répètent à longueur de journée l'importance de faire des sacrifices pour soutenir les troupes, et se plaindre de quelconques restrictions devient alors antipatriotique. Les produits importés, de même que tout ce qui est déclaré comme indispensable pour les militaires, deviennent ainsi introuvables.

Que faut-il en retenir ?

Sachant cela, et sachant aussi que nos économies moribondes ont besoin une guerre (dixit les politiciens qui veulent que la faute soit reportée sur d'autres), un survivaliste intelligent se prépare pour une guerre de longue haleine. Du style qui rendrait impossible l'approvisionnement au supermarché local, et la venue du gentil gars d'UPS délivrant nos colis à domicile. Il sait qu'il devra avoir rassemblé toute la nourriture, les vêtements, les armes, fournitures médicales, équipements et pièces détachées avant que soient lancées les hostilités...

L'argent

Lorsque les gouvernement échouent à gérer les sommes astronomiques que les législateurs et bureaucrates corrompus ont extirpées à leurs administrés, ils ne reconnaissent jamais leurs erreurs. En général, ils demandent encore plus, à travers de nouveaux impôts et taxes, ou de nouveaux moyens de prélèvement. Les romains rabotaient les coins de leurs sesterces pour en faire de nouvelles pièces ayant supposément la même valeur. La Réserve Fédérale supprima l'étalon-or en 1935. La planche à billets s'emballa en Allemagne après la 1° Guerre mondiale, et plus récemment au Zimbabwe. C'est ce qui se passe à présent au Venezuela.

Dans le monde entier, les banques se renflouent avec l'argent du contribuable. On en voit même certaines qui facturent désormais leurs clients avec des taux d'intérêt négatifs. La prochaine étape sera celle où l'on verra les banques européennes s'accaparer l'argent de leurs déposants, comme cela s'est déjà passé à Chypre. Les textes législatifs ont déjà été votés par l'Union Européenne, et les coffres sont fait pour cela ; En quelques heures, les banques videront les vôtres.

Lorsque les banques sentent venir leur effondrement, elles lancent des prêts, et en facilitent l'accession. Ceux qui les souscrivent deviennent alors vulnérables, pour finir généralement dans la rue, ou sur la pelouse de leur belle maison achetée à crédit. Il y a aussi cette volonté à devenir une société sans argent liquide, de manière à ce que toute transaction puisse être suivie et taxée. Seul le temps nous dira s'ils parviendront à leurs fins avant que le système ne s'effondre.

Le chaos financier qui a vu la seconde guerre mondiale a affecté chaque individu ; Bien sûr, ceux des classes basses et moyennes en tout premier lieu. Cela rend le pékin moyen plus enclin à accepter des pots de vin, ne serait-ce que pour pouvoir nourrir sa famille. Nombreux sont les gens qui ont réussi à éviter les travaux forcés en plaçant quelques pièces d'or ou bijoux dans les bonnes mains. A la même époque, la devise allemande était si faible qu'il valait encore mieux s'en servir pour allumer un feu et se procurer un peu de chaleur.

Quels sont les enseignements à tirer ?

1. Ne pas avoir de dettes.
2. Garder le minimum d'argent sur ses comptes, et seulement pour payer les factures courantes.
3. Avoir tout ce qui est nécessaire sous la main avant que le chaos n'arrive, car à ce moment-là, l'argent papier et les cartes de crédit seront inutiles.
4. Avoir des métaux précieux, si possible, y compris de l'argent, pour ce que vous auriez pu oublier ou penser ne pas avoir besoin.

Les nouvelles télévisées

Il existe une raison pour laquelle de plus en plus de gens commencent à se désintéresser des programmes officiels ; Parce qu'ils reflètent tous leur collusion directe avec les gouvernements corrompus. Beaucoup de ce qui devrait être reporté ne l'est pas, et le peu qui est reporté ne fait que détourner l'attention des problèmes réels. C'est ainsi depuis une centaine d'années.

Si on regarde de près l'épidémie de grippe espagnole en 1918, on s'apercevra que les gouvernements ont caché la vérité quant à son étendue et sa gravité. Les articles de journaux ont été " blanchis ", sinon carrément lavés, dans le but de ne pas créer de panique chez les lecteurs, et promouvoir la vente de bons du Trésor permettant de rançonner le peuple et financer la guerre. Les opérateurs téléphoniques étaient forcés à espionner les conversations privées et à couper la communication si les interlocuteurs commençaient à parler de l'épidémie. Il y a quarante ans de cela, les mêmes journalistes furent aussi complices dans la dissimulation de l'étendue et la gravité de la fièvre jaune aux Etats-Unis.

Si le gouvernement et les médias essaient de vous paniquer avec des reportages de dernières minute à propos d'une éventuelle épidémie, cela signifie simplement qu'il n'y a pas de quoi s'inquiéter. C'est ce qui s'est passé récemment avec celle de la prétendue grippe, qui n'a servi qu'à enrichir les laboratoires et pourrir un peu plus la santé des gens par les vaccins. Mais si ces mêmes gouvernement et médias essaient de cacher la gravité d'un quelconque événement, alors c'est qu'il est temps de se réveiller et de prêter attention à ce qui se passe autour. En espérant que vous ayez prévu tout ce qu'il faut pour tenir le temps nécessaire...

Les gouvernements corrompus créent des " monstres " pour dévier l'attention et distraire les gens. Dans notre société actuelle, ces monstres sont les chrétiens traditionalistes, les survivalistes, les possesseurs d'armes, adeptes de l'école à domicile, nationalistes et autres. C'est à dire des européens blancs de la classe moyenne, qui travaillent et font vivre le pays grâce à leurs impôts. Nous finançons désormais le pain et les jeux du cirque ; Tout comme les anciens romains nourrissaient les pauvres en taxant les riches et en organisant des jeux pour distraire les plus bêtes, nous offrons maintenant toutes les aides en faveur de quiconque les demandent - sauf les blancs chrétiens, bien sûr - qu'il soit chez nous de manière légale ou illégale. Et de peur que nous commencions à réaliser le bordel qu'est notre système, nous avons la Star Ac, Questions pour un con, Plus belle la vie, Facebook et le reste pour détourner notre attention.

Les leçons ?

1. Ne pas se laisser distraire.
2. Faire de chaque jour une opportunité pour se préparer.
3. Faire plus de réserves de nourriture et d'équipements.
4. Apprendre de nouvelles compétences qui pourront être utiles en temps de chaos.

Le troupeau

Il y aura toujours des gens pour nier la réalité de ce qui se trouve devant leurs yeux. En tant que survivalistes, nous pouvons voir cela tous les jours en surveillant l'économie et les marchés, ou les nouvelles nationales et internationales plus particulièrement lorsque celles-ci traitent de situations explosives capables de virer à la guerre à tout moment.

En général, les européens semblent souffrir d'une exubérance irrationnelle quant à leur futur collectif. La moitié au moins sont incapables de voir les guerres communautaires qui se préparent, l'extinction progressive et planifiée de leur patrimoine génétique et civilisationnel, le grignotage de leurs libertés, l'accroissement permanent des impôts et taxes, la perversité des idées marxistes et de leurs conséquences au niveau social, etc.

La leçon ?

La persuasion en douceur et l'éducation de nos amis et proches avant le grand chamboulement peuvent parfois marcher, du moins avec quelques-uns, mais nous devons nous résigner au fait que certains parmi eux n'accepteront jamais la réalité. Pour la sécurité de notre groupe et la nôtre, nous devons laisser le troupeau faire ses propres choix, et vivre (ou mourir) de leurs conséquences. Sans doute est-ce la leçon la plus difficile à apprendre...

La trahison

Nous avons déjà le gouvernement qui endoctrine nos enfants dès leur plus jeune âge, les encourageant à reporter des comportements inappropriés. Bien que les enfants doivent bénéficier de protection contre les abus en tout genre, nous n'avons pas besoin, quant à nous, des problèmes qui résulteraient après qu'une personne ait révélé combien de nourriture nous gardons en réserve, ou combien d'armes nous possédons. La dénonciation des amis et de la famille a toujours été encouragée par les régimes nazi et soviétique, et les cas où les enfants ont trahi leur propre famille sont particulièrement dérangeants.

Tandis que nos gouvernants profitent des attentats pour promouvoir à présent le " Vous voyez quelque chose, dites-le..." notre souci principal devient celui de ne pas se faire trahir par d'autres. Parce que c'est bien ce qui se passe. Nous nous trahissons les uns les autres. Pour économiser quelques euros, nous prenons des cartes de fidélité ou d'abonnement dans les magasins, qui tracent nos achats et nos habitudes de consommation. Nous avons des portables qui enregistrent nos conversations, et des voitures qui font la même chose avec nos déplacements. La NSA et je ne sais qui d'autre garde nos emails. Toutes ces données sont reportées et servent à établir un profil parfait et un historique de chaque personne.

La leçon ?

1. Garder ses enfants le plus loin possible du gouvernement. L'école à domicile est le meilleur moyen pour cela.
2. Fuir comme la peste les réseaux sociaux.
3. Payer cash toutes les fois que possible.
4. Ne jamais utiliser de carte de fidélité à de quelconques magasins.
5. Utiliser un téléphone basique, et uniquement lorsque nécessaire.
6. Ne pas acheter de véhicule qui traque nos déplacements.

En conclusion, l'histoire se répète. Elle l'a toujours fait. Chaque nouvelle génération expérimentera la guerre totale et l'effondrement financier. Soixante-dix ans ont passé depuis la 2° guerre mondiale, et quatre-vingt depuis les grandes dépressions. Le temps est passé, et notre tour approche. Apprenez les leçons de l'histoire ; Soyez prêts...