Même si certains articles du blog ont déjà présenté le Tir à longue distance, j'ai décidé de leur adjoindre ma propre conception de la chose, en détaillant ses principales composantes.
Cela en complément des règles de tactique propres au sniping détaillées dans le Dossier n°13 de Survivre au Chaos.
Pendant longtemps, les tactiques de sniping ont été considérées par bon nombre, y compris les militaires, comme une sorte d'assassinat plutôt qu'une légitime et véritable stratégie de combat. Ce n'est que depuis quelques années seulement que le sniping a atteint un certain niveau de reconnaissance. Des siècles de batailles ont passé, pendant lesquels les snipers ont été recrutés dans les divers camps pour leurs compétences, puis rapidement balayés sous le tapis et oubliés une fois les conflits terminés.
Les snipers ont été particulièrement efficaces durant les deux premières guerres mondiales, décimant les rangs ennemis jusqu'à 900 mètres, sans compter leur indéniable domination dans tous les conflits modernes. Pourtant, les écoles de formation n'ont été standardisées qu'à partir des années 80, les autres précédentes ayant été abandonnées quelques années après leur établissement.
Pourquoi a-t-il fallu attendre si longtemps pour que les tireurs d'élite soit reconnus comme essentiel à la victoire ? Peut-être à cause de leur évidente efficacité, au point qu'ils devenaient effrayants pour l'établissement.
Durant la "guerre d'hiver" contre l'Union soviétique, dans laquelle les Finlandais étaient largement en sous-nombre sur le plan des armes et des effectifs, les tactiques de guérilla, qu'ils appelaient les "tactiques Motti" ont été utilisées avec d'excellents résultats. Les Finlandais ont dévasté les lignes Soviétiques au moyen d'un cocktail maison composé d'attaques de type "frappe et fuite", d'armes improvisées et artisanales, et de tireurs d'élite... Le plus célèbre de ces derniers fut Simo Hayha.
Simo était un homme ordinaire d'à peine 1,60 m de haut, agriculteur de son état. Son habileté extrême au tir avaient été affinée durant ses parties de chasse dans la nature sauvage de Finlande. Simo est crédité de plus de 505 tirs au but officiels, y compris plusieurs équipes de contre-snipers qui avaient été envoyées avec la mission spécifique de l'éliminer. Ce véritable carnage a été fait en moins de cent jours de combat, ce qui signifie que Hayha a engagé seul et détruit 5 cibles par jour ! Connu sous le nom de "mort blanche", Simo a été finalement soustrait du champ de bataille par une balle explosive au visage (coup de chance pour le camp adverse) alors qu'il tentait de retenir une percée des troupes soviétiques. Il se réveillera dans un hôpital finlandais à la fin de la guerre, et devait mourir en 2002 à un âge avancé.
Simo Hayha a prouvé une bonne fois pour toutes l'efficacité d'un tireur isolé face à un adversaire plus puissant. Cette sorte de guerre d'attrition, dans laquelle l'objectif est d'user les forces combattantes et les réserves ennemies, a stoppé les Russes technologiquement plus avancés en cours de route, et a mis fin à leur invasion totale. Le Finnois mal armé a prévalu contre toute attente...
Simo Hayha après son accident sur le champ de bataille |
La formation des tireurs d'élite permet à un simple fusil de devenir une arme de destruction massive de longue portée, et c'est probablement la raison pour laquelle la majorité des gouvernements de la planète ont été réticents, jusqu'à récemment, pour entraîner un peu plus qu'une poignée de soldats aux techniques de sniping. En théorie, une équipe de snipers pourrait être assez dangereuse pour renverser le leadership politique (ou l'oligarchie) d'une nation donnée avec rien de plus qu'une poignée de fusils finement réglés, et quelques boîtes de munitions de fort calibre...
Les gouvernements, craignant d'être dépassés par de tels adversaires à faible technologie, ont fait de grands efforts pour tenter de minimiser la menace. La vision nocturne, la vision thermique, le matériel de détection sonore, les attaques au gaz, les attaques au phosphore blanc, même les barrages d'artillerie à grande échelle et les missiles guidés au laser n'ont pas pu empêcher le tireur d'élite de rester un outil basique de combat. Les tireurs d'élite ont toujours trouvé leur chemin au travers des moyens de défense existants, quelle que soit la technologie de pointe. C'est pourquoi les techniques de sniper sont l'une des stratégies ultimes pour l'autodéfense des citoyens ordinaires, habituellement démunis d'armes militaires.
On se heurte souvent au scepticisme lorsqu'on discute du concept de techniques de combat à longue distance pour le survivaliste. Les gens demandent même pourquoi il faudrait en plus se soucier des techniques de sniping. Comment identifieraient-ils des cibles susceptibles de représenter une menace tangible à une telle distance ? Et la plupart des combats ne se déroulent-ils pas dans un rayon de 50 mètres ou moins?
Ces questions sont généralement le résultat de l'inexpérience à propos de la méthodologie et de la formation. Les tactiques de sniper tiennent bien plus de la reconnaissance que du tir de précision. C'est un point fondamental que nous avons expliqué en détail dans la partie consacrée au sniping de notre Dossier n°13. Localiser et identifier les cibles avant de presser la détente représente 90 % du travail, et les tireurs d'élite ont tendance à bien le faire. À moins qu'ils ne travaillent pour certains organismes gouvernementaux plus ou moins secrets, les tireurs d'élite sont obligés d'évaluer les cibles avant de les engager plutôt que de tirer à mauvais escient et récolter des blâmes. Ce processus est applicable au survivaliste comme au professionnel d'une force armée conventionnelle.
En termes de distance de combat usuelles, il est vrai que la plupart des engagements militaires se font de près, mais cela tient davantage à la manière dont les forces armées traditionnelles mènent leurs opérations. Les armées qui bénéficient du nombre et de la technologie préfèrent utiliser le choc et la fureur du combat rapproché afin de rapidement soumettre l'ennemi et prendre le dessus. La méthode moderne de guerre (ou les raids de swat des forces d'intervention) n'est qu'une forme raffinée de guerre éclair. Le guérillero, par contre, doit rester adaptable, et dans de nombreux cas le contrôle du timing et de la distance de combat est son seul avantage. Les tactiques de sniper sont mieux adaptées à l'outsider plutôt qu'aux opérations militaires mécanisées. Il incombe donc au survivaliste d'avoir des capacités de tir à longue distance, car il y a toutes les chances pour qu'il ne soit jamais rien d'autre qu'un outsider...
Un sniper à Sarajevo |
Je sais combien cette discipline peut paraître difficile pour des gens qui commenceraient juste à s'y intéresser. La "mystique" qui gravite autour du sniping aurait plutôt tendance à le desservir, mais une fois que les fondamentaux sont acquis, il est surprenant de constater combien toucher sa cible devient facile, même à plus de mille mètres, à condition de disposer de l'état d'esprit approprié.
Mais avant de pouvoir prétendre à une telle précision, il existe différentes étapes à suivre, et qui devraient l'être dans l'ordre suivant :
Choisir un calibre
Si vous voulez devenir un tireur de précision, il est absolument essentiel que vous commenciez par plancher attentivement sur le calibre de la munition que vous utiliserez plus tard. Le calibre déterminera le type de plate-forme (fusil/carabine) que vous achèterez, sans parler de la lunette et du matériel de rechargement (si vous décidez de recharger vos propres munitions). Le fait est que la plupart d'entre nous ne disposent pas de l'argent nécessaire pour se permettre les essais multiples et les d'erreurs.
Vous devez faire le bon choix du premier coup, au risque de perdre des milliers d'euros. Votre typique AK-47, AR-15, ou carabine de chasse ne sera pas efficace dans un vrai scénario de sniping. Les deux premières ne sont pas conçues pour engager des cibles à plus de 500 mètres, et l'arme de chasse classique ne tiendra sans doute pas le choc face à de vraies conditions de combat. Le 223 est parfois utilisé pour le sniping en milieu urbain entre 100 à 300 mètres(voir notre article à ce sujet), là où une pénétration limitée est nécessaire pour éviter les dommages collatéraux, mais il n'est guère concevable pour des distances supérieures.
Le calibre le plus commun pour les plates-formes de sniper interurbaines est le 308. Celui-ci a une portée efficace de 800 à 1000 mètres (parfois plus selon le type de la balle). Vous devriez le considérer comme le calibre minimum requis pour obtenir la précision et la pénétration nécessaires au tir à longue distance. Des calibres similaires comme le 30-06 ou le 7.62x54, ont des capacités égales, cependant, des armes dans ces calibres adaptées au combat sur lesquelles on puisse monter facilement les lunettes modernes sont difficiles à trouver.
C'est le cas par exemple du fameux Mosin Nagant de l'armée Russe, désormais disponible au survivaliste dans la catégorie C (licence de tir ou permis de chasse). En sa faveur, on peut lui accorder la robustesse et la précision. C'est une véritable arme de guerre, qui acceptera sans problème les aléas du terrain. Par contre, il est difficile de lui adjoindre une lunette de tir moderne, à moins de procéder à quelques modifications qui s'ajouteront à son coût (fraisage de la partie arrière de la culasse pour fixer une embase + modification du levier d'armement). Malgré tout, ce fusil reste une excellente option, avec des munitions de surplus disponibles en quantité (pour l'instant) et cinq fois moins chères que le 308. A 300 euros environ la caisse de 1000, difficile de trouver mieux !
Plus grand chose d'original dans ce Mosin Nagant, si ce n'est le boitier culasse et le canon... |
Le 300 Winchester Magnum et le 7mm constituent l'étape supérieure dans la catégorie des calibres magnum, avec une portée et une précision excellentes. Le 300 mag peut être efficace à plus de 1700 mètres. Le problème est le coût de la munition et sa relative indisponibilité par rapport au 308 qui est un calibre militaire. Toujours ce problème d'approvisionnement pour le survivaliste, vous connaissez la chanson...
La prochaine étape à (très) longue distance est beaucoup plus coûteuse. Le .338 Lapua et le .50 BMG offrent une portée de 2700 mètres ou plus, sont si lourds qu'ils pénètrent la plupart des armures, et peuvent être utilisés aussi bien contre les véhicules que les personnes. Attendez-vous à payer 5 à 6 euros la cartouche de .338, et plus de 7 € pour chaque tir avec un calibre 50. Le fait de recharger peut diminuer les dépenses, mais vu le prix d'un équipement complet de rechargement, il faudra un bon nombre de coups pour l'amortir. Et votre épaule aura peut-être rendue l'âme dans l'intervalle...
Choisir une arme
Une fois que vous aurez fait vos propres recherches et choisi votre calibre, la prochaine étape consistera dans le choix d'une "plate-forme", c'est à dire d'une arme pour le tirer ; arme qui devra satisfaire aux exigences du tir à longue distance. Voici mes quelques recommandations :
- Une précision égale au moins à 1 minute d'angle : votre arme doit être capable d'effectuer des tirs groupés dans un cercle d'à peu près 5 cm de diamètre à 100 m (1 MOA = 29 mm environ). Une telle arme vous donnera un groupement de 25 cm de rayon à 1000 m. Un écart de quelques centimètres seulement pourrait signifier que vous manqueriez votre cible. Quelques armes "industrielles" se tiennent sous cette barre d'1 MOA, certaines pouvant nécessiter d'être recalibrées.
- Culasse calée ou semi-automatique : quelques armes semi-auto possèdent à l'origine une précision suffisante pour les longues distances. Le Springfield M1A, le FNAR (fabriqué par la FN aux Etats-Unis), certaines versions retravaillées de l'AR-10, sans oublier le fameux Dragunov, etc. Toutes peuvent devenir d'excellentes plates-formes de sniping, et certains lecteurs spécialistes pourront en conseiller d'autres.
De telles armes sont cependant conçues avec des tolérances plus lâches que celles à culasse calée, ce qui signifie que les distances dépassant 800 mètres sont plus difficiles. En contrepartie, les armes à verrou fixe ont tendance à avoir des magasins de faible capacité et sont plus lentes à opérer, mais de nombreux modèles ont des chambres plus serrées et des canons plus lourds, ce qui donne des tirs plus précis à 1000 mètres et davantage.
Votre choix du type d'arme est un choix stratégique qui dépendra du type de situations auxquelles vous pensez être confronté, et des éléments qui constituent votre histoire personnelle (compétences, environnement, stratégie de survie, etc.). Personnellement, je trouve qu'une arme semi-automatique est tout de même bien plus commode à opérer, et 800 mètres représentent une distance largement suffisante pour la grande majorité d'entre nous qui vivons en environnement urbain ou semi-urbain. Le seul problème : l'obligation de passer par une autorisation préfectorale (catégorie B) lorsqu'on réside en France...
Le Dragunov, une valeur sûre dans sa catégorie. |
- La marque de l'arme et son modèle : avec quelle facilité pourrez-vous trouver des pièces de rechange et des magasins supplémentaires pour votre arme ? Le calibre est-il courant ? Pourrez-vous obtenir facilement des munitions et des pièces ? Pouvez-vous partager des fournitures avec d'autres tireurs dans votre communauté de survie, ou est-ce que rien n'est interchangeable ? Ce sont des facteurs importants à prendre en considération avant que d'investir dans un système d'arme et/ou un calibre en particulier.
- Réarmement et détente : le cycle de la culasse devrait se faire de manière feutrée, sans offrir de résistance. Votre fusil, s'il s'agit d'un semi-auto, ne devrait souffrir d'aucun incident de tir. La détente, quant à elle, devrait être légère et intuitive.
- Canon flottant : On désigne ainsi les canons qui ne viennent en contact avec aucune partie de la crosse. Un espace étroit entre la crosse et le canon empêche les interférences de la première avec les "harmoniques" du canon. Les tirs deviennent plus uniformes, et les dommages éventuels faits à la crosse n'altèrent pas la précision.
- Canon lourd ou standard : les tireurs d'élite militaires ont souvent des canons lourds dans la mesure où le poids de celui-ci permet des tirs plus constants, moins de surchauffe et de meilleures "harmoniques". Cependant, un canon lourd n'est PAS indispensable pour obtenir la précision d'un professionnel. Beaucoup de canons standards peuvent faire le travail aussi bien et à moindre coût.
La Tikka modèle 695 |
Cette carabine Tikka (ici en 6.5x55mm) est fabriquée par Sako en Finlande. Le modèle 695 offre un canon flottant et un magasin amovible, ce qui n'est pas si courant pour une culasse calée, permettant un rechargement rapide si l'on en dispose de plusieurs d'avance. La lunette est une x10 à grossissement fixe SWFA SS, et le frein de bouche est adaptable. La détente et la course de culasse sont incroyablement douces pour une machine d'usine, et Sako garantit que chaque arme qui quitte ses ateliers offre une précision de 1 MOA ou moins.
Une telle carabine est certainement l'une des meilleures options pour le sniper "amateur" qui veut débuter avec une arme moderne (mais aussi pour les plus avancés). Cette carabine a été testée sur le terrain jusqu'à 1000 mètres, et coûte environ 1200 euros. Etant classée en catégorie C, seuls la licence de tir ou le permis de chasse sont nécessaires pour son acquisition.
A suivre...
Excellente analyse, vraiment rien à redire
RépondreSupprimerpersonnellement, je suis parfaitement convaincu par le mosin nagant archangel, et je ne l'échangerais pour aucun autre.
Précision et robustesse excellente, très modulable, bonne portée, bonne balistique terminale, munitions pas cher (qui permettent donc de d’entraîner souvent)
Et les munitions correspondent à mon prochain achat de cat B, la svd dragunov (ou dérivé)
salut Rno =)
SupprimerPour ce qui est du mosin, je suis passé depuis sur un .308 (bergara B14) et je ne regrette pas le changement.
Même avec du rechargement à l'égrenneur, je n'arrivais pas à la précision dont je dispose aujourd'hui à 600m avec mon .308 avec le mosin.
Bref, j'ai changé, j'ai pris un truc plus "moderne" mais tout aussi rustique, et dont le canon est chromé, donc moins d'entretien en cas d'exposition à l'humidité, ce que n'a pas le mosin....
Apres, chacun ses choix, mais j'ai trouvé l'évolution convaincante du 7.62x54R au .308, ne serait-ce que par la baisse de poids de la munition à trimbaler =)
Salut à toi Pierre ainsi qu'à toutes et à tous;juste une ptite "précision":le 300win/mag n'est pas si rare que ca en France,ici,tout les chasseurs en ont au moins une pour la battue au cochon ou cerf,je dirai mm plus,c'est le calibre le plus répandu dans nos campagnes après le 12 et le 22(pour les nuisibles).donc munitions déjà présentes sur le territoires;certes tous n'ont pas un gros stock,1 ou 2 boîtes d'avance chacun(rapport au prix prohibitif,comme tu le dis)mais il y en a aussi,et j'en connais quelques uns qui se font plaisir en s'achetant de nouveaux flingues à chaques ouvertures et à la force des années, possèdent de véritables arsenaux,de chasse,mais quand mm!!!jeannot
RépondreSupprimerBonjour Jeannot,
Supprimerle calibre le plus courant en Europe de L'ouest, cad Benelux, Allemagne, Suisse, Autriche, France, etc... reste le 7X64. Il est passé de mode ces dix-quinze dernières années pour des calibres plus "tendance", mais, même si les carabines ne sortes plus guère des armoires, il s'en est beaucoup vendu. Ce calibre reste remarquable par sa polyvalence et sa balistique. En plus, en cherchant bien, la munition n'est pas trop chère. On peut trouver du solognac à 1 euro la cartouche.
Dans une optique de sniping "discret", ce calibre a l'avantage d'exister en subsonique.
D'ailleurs, pour jouer à fond l'option du "discret", cela vaut la peine de se concentrer sur les calibre "classiques chasse" existants en subsonique:
222, 223, 243, 270, 7x64, 308, 30 06. Ne serait-ce que pour chasser sans se faire repérer si on est en situation de chaos.
Pour rebondir sur la réponse de Reinho, et si j'en avais les moyens (ce qui n'est pas le cas!!!! GRRRRRRR!), je me prendrai plutôt des 308 :une Remington 700 en verrou, à cause des possibilités de customisation (crosses, boitiers, détentes, etc, etc...) et un FAL ou G3 pour le semi-auto.
Le 308 étant pas cher en surplus, existe en subsonique, et enfin, si tout devait aller à vau-l'eau, calibre militaire/police.
je déconseille le FAL, trés désagréable au tir, perso entre les deux, je préfére largement le g3
SupprimerJe suppose que vous ne parlez pas du FAL L1A1 que j'ai et qui est d'une douceur extrême. Quelques anciens au stand l'ont eu en dotation et en gardent un bon souvenir. Témoignage également d'un "privé" actuellement en Mauritanie et qui adore lui aussi les séances de tir avec l'Armée Mauritanienne...
SupprimerPour répondre à tous les deux (Richard et Reinho), j'ai pris en exemple le FAL en pensant au L1A1, car d'origine en semi-auto.
SupprimerAvec la nouvelle reglementation européenne, les G3 seront voués à la destruction ou neutralisation (ce qui revient au même selon moi...) car non fabriqués d'origine en semi. (sauf peut être la variante civile HK41, mais qui est aussi rare que de la sincérité dans un discours politique! c'est dire!!) Sinon, on pourra peut être se rabattre sur un Valmet de chasse, les variantes civiles des fusils d'assaut, fabriqués d'origine en semi-auto. Peut être les SIG des séries 700 ou HK MR, s'ils sont importés en France... mais on parle d'un prix de départ, sans options de 2500...
Tout ça pour dire que grâce aux nouvelles règlementations sur les armes de notre chère Europe, tout concitoyen respectueux des lois, aura bien des difficultés pour disposer d'un 308 en semi-auto. (il est vrai que dans concitoyen, il y a citoyen...c'est pour ça que ces lois peuvent être adoptées)
Bonjour à tous,
RépondreSupprimerAyant vécu longtemps seul ou en petit groupe en milieu hostile avec peu de dégagement visuel, au vu des paysages d'ici avec vues dégagées, je me suis équipé d'une TIKKA T3 Tactical 308W avec frein de bouche SAKO. La lunette est une BURRIS Laserscope III, càd avec télémètre intégré. Actuellement j'ai programmé celle-ci pour de la cartouche SAKO 168gr : groupement diamètre 2cm à 200m.
La lunette calcule distance et chute de la balle fonction du poids et du coefficient balistique. C'est d'un très grand confort de tir qui évite le binôme car elle donne également un coefficient de vent latéral à appliquer au vent moyen. Reste plus alors qu'à amener le coeur de la cible sur le repère latéral correspondant.
Après avoir testé des cartouches de marques différentes (Magtech, Sellier & Bellot, Winchester, etc...) les groupements obtenus avec les SAKO m'ont montrés qu'elles sont "faites" pour ce canon SAKO.
http://www.guerredefrance.fr/index.htm
RépondreSupprimerDiscours anthologique
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=Yi9bNUScX2w
Bonjour à tous, merci pour l article, vous m avez collé la nostalgie de ma chère Tikka T3 30-06 vendue pour cause de déménagement à l étranger, derrière la Cordillère des Andes, et qui va bien me manquer quand je rentrerai.. Pas essayé les mun Sako comme vous disiez Richard, trop chère, mais parmi les plus abordables, les Winchester me donnait le plus de satisfaction. J imagine que vous traitez de la question dans votre dossier mais le bruit libéré par ces calibres, surtout si vous tirez depuis un endroit fermé (premières victimes, vos tympans.., bouchons indispensables) est tout de même comme un drapeau levé au dessus de votre tête, à moins de changer de position tous les 3-5 tirs, vous attirerez la représaille. Qui a déjà tiré ces mun subsoniques ? Je sais pas que ça existait pour les cal 300.., mais du coup vousperdez tout le punch, et reduisez votre distance efficace..
RépondreSupprimerJe souscris totalement ce point de vue. Toutes les armes ont une façon bien distincte de se signaler auditivement.
SupprimerJe tire en .308 et ça réveille bien tout le monde. Hors de question de jouer le sniper avec et perdre le bénéfice de la distance ou de la furtivité.
De toute façon, mon plan de feu ne dépasse pas 300m. j'ai intérêt à avoir une solide ligne de défense devant moi.
cc
Bonjour,
SupprimerLa signature sonore n'est pas vraiment un probleme;
Les mun sont supersonique jusqu'au point d'impact (ou presque)
Votre cible sera detruite avant d'avoir entendu le son.
Si un observateur proche de votre cible reste debout, il n'aura qu'une vague idée du secteur d'ou aura été tiré le projectile.
le probleme le pls serieux est la discrétion visuelle(poussiere, reflet..)
Vous pouvez de plus utiliser des réducteur de son(RDS) utilisable avec des mun supersoniques...pas besoin de protections auditives ET, la signature sonore est tres largement réduite, surtout pour un objectif éloigné...
Pour taper avec une probabilité de reussite élevé a plus de 300 metres, il faut un entrainement certain et soutenu. Cela implique un budget, une disponibilité et des infrastructure...
Les mun, c'est lourd, plus vous tirez gros, plus l'arme est lourde, plus le recul vous fatiguera..
N'esperez pas partir seul au charbon sans assistance avec un tel matos(338, 50 BMG)
Pour tapper loin, le facteur le plus important est la qualité de votre optique..et la, ca commence a couter cher, tres cher..(3000 euro pour 2500 metres)
Le meilleur compromis pour un survivaliste doué pour la distance et qui allie precision, masse, puissance est un couple en 308 a base de Remington 700 et de Leupold MK4
poid d'ogive entre 165 et 175 grains HPBT canon 20 pouces
Bon tirs
Il ne faut pas perdre de vue les présuposés de Pierre en tête de son exposé,!! le tld pour un survivaliste ne peut être que le hit and run dans le cadre d'une fuite pour retarder l'ennemi , ou dans le cadre d'un chaos ou les lignes entre les diverses factions sont relativements connues et éventuellement dans une défense sur une attaque précise,autrement il est évident que le bruit de ce type d'armes silencées ou pas , vous fait repérer immédiatement , d'autant plus que vous aurez acqui l'objectif et ainsi qu'il a déjà été dit il vaut mieux laisser passer un éventuel ennemi qui ne vous a pas vu , que de l'allumer bille en tête avec tout les aléas d'une "impréparation surprise".En dessous de 300 mètres nous sommes dans l'engagement classique ou le sniper et son spotter sont relativement superflus (,c'est la place des tireurs d'élite et autres troupes classiques) mis à part pour l'observation.En ville la situation est un peu différente dans la mesure ou le bruit ambiant et les échos rendent plus difficile la connaissance du point de départ du coup.La meilleure façon d'éviter les snipers est la formation de patrouilles et de choufs installés de nuit en avant de la ligne de la défense principale pour quadriller le terrain et donner le renseignement sur les actions ennemies en détectant la mise en place des snipers adverses.Le grand no mans land , lisse comme la main devant une bad vous coince à l'ntérieur , sans les abris d'un couvert que vous connaissez et limitant les actions des snipers adverses.Mais comme qui peut le plus peut le moins ,le tld est une discipline intéressante et sa maitrise bien loin d'être inutile.
RépondreSupprimerAhah, je suis tomber sur votre site, et franchement ok vous aller vivre un peu mais les chanceux pour la france vont vous faire le derrière.
RépondreSupprimerM..
Les chanceux ???
SupprimerMais on leur pelera le jonc comme au bailli du limousin
Qu'on a pendu un beau matin
Qu'on a penduuuu avec ses triiiippees !!
MontJoie!!!! St Denis!!!!!.....
Supprimer@Anonyme16 mai 2017 à 20:44
SupprimerLOL, je pense que tu ne réalise pas le degré de bonne volonté en nous qui attend depuis longtemps de s'exprimer
D'exercer toutes nos traditions en chantant:
Chantons la carmagnole vive le son... ...du canon ;)
Bonjour pierre !!
RépondreSupprimerPourriez vous faire un article sur les supertitions et autres peurs chez les cpf !
Après tout si ils veulent jouer la carte du terrorisme , on peut la jouer aussi !
Les sniper femme les font fuir .
Etre enfermer dans une porcherie les chasse du paradis .
Y'a certainements d'autres supertitions utiles à connaitre .
Mieux vaut une bonne dissuasion qu'un bon massacre où nous laisseront des pertes irremplaçables alors que leur renfort n'a qu'à traverser les frontières !!
Seule la peur les fera fuir !!
Un broyeur à viande pour nourrir les cochons et les chiens vaut largement son achat ,cela evitera de gaspiller du bois pour les bruler , de polluer l'air, ou la terre en les enterrant !
De plus les differentes ethnies de cpf ont des superstitions différentes.
Le comte Dracul de roumanie avait ses methodes pour terroriser les turcs .
c'est quoi un cpf? un castré politicien français ? je comprend rien
SupprimerAussi pourquoi pas?cpe=chance pour l'espagne,cpi chance pour l'italie,cpb chance pour les belges cpa chance pour l'allemagne cpf =pas de pôt pour la france ,le cp quelque chose est un bipède que les ong (organisations non gouvernementales ,mais bien affiliées) vont chercher quand il fait une baignade ou une partie de canotage au large des cotes africaines pour lui faire intégrer les pays européens dans l'unique de les détruire en le présentant aux autochtones des dits pays comme une chance pour leur avenir a eux qui sont des incapables incivilisés
Supprimerc'est difficile de trouver un truc superstitieux qui marchera avec tous mais il n'est pas difficile de trouver ce qui les fera enrager, sortir de leurs gonds.
SupprimerUne fois possédé par la colère, il seront de moins bon combattants qu'un type qui garde son sang froid
L'histoire que les barbus vont en enfer si il sont tue par des femmes et totalement fausse.
RépondreSupprimerUne mosquée à été construite sur une ancienne porcherie dans le sud est.sans que cela gêné nos gentils cpf muzz.je crois juste qu'il ne faut pas de tombeau dans leur mosquée.
Le porc n'est pas de la criptonite.il peuvent pas le manger mais peuvent s'habiller avec cuir gant...
La seule superstition efficace pour les cpf casse couille est un truc en plomb recouvert d'une couche fine de cuivre effet immédiat et irréversible.
Salut à tous,
RépondreSupprimerMoi j'ai eu la chance de récupérer un mousqueton K31 suisse en 7.5 x 55, pour lequel j'ai acheté un sniper kit Wyssen Defence avec lunette et cache-flamme d'occasion.
Je dois encore affiner le réglage sur stand 300 m, mais je pense que c'est une belle bête.
voici le lien :
http://www.wyssendefence.com/shop/handfeuerwaffen/wyssen-defence-sniper-chassissystem-set-schwarz/
Vous en pensez-quoi ?
Stefan
Bonjour
SupprimerLe K31 est reconnu pour sa qualité de fabrication et sa precision.
Le seul probleme c'est la munition...pas très répandue, ce qui implique un stock important pour absorber une rupture de normalité et un stock de composant pour recharger..
Ben....le kit à 1500 euros. J'imagine que le K31 a couté dans les 400-500 euros, voir un peu plus s'il est très propre. Plus une bonne lunette et un bipied, mini 500 euros aussi. On arrive à 2500 euros pour une arme dans un calibre peu courant. Plus, disons, 1000 cartouches pour avoir un peu de réserve, entre 600 et 900 euros. Tu t'es fait une très belle arme, indéniablement, mais...
Supprimer...pour ce tarif, tu trouves un Sig Sauer SSG 3000 Patrol en 308 neuf, et pour la moitié, un Steyr SSG 69 en 308 aussi.
Il aurait fallu garder le K31 d'origine, juste avec un montage de lunette.
J'ai un G11 modifié avec le füt d'origine modifié pour faire un canon flottant. A 100m, je fais un trou avec une série de 1 cartouches. Donc chouette jouet!!
Mais cela reste des armes qui ont au moins 80 ans, et dans un calibre non courant.
Je persiste, un fusil de sniping SHTF ou TEOTWAWKI, comme disent les ricains, c'est du 308.
un trou avec une série de 15 cartouches!!! Bien sûr, sinon, c'est trop facile!
SupprimerJuste à titre d'information, je pense que la carabine Mossberg MVP LC à verrou en calibre 308 W avec frein de bouche est une bonne affaire. Pas trop chère en pack avec une lunette adaptée (envir. 2000 €), chargeur Magpul 10+1, et bien d'autres choses encore. Je l'ai essayée et son recul est très supportable grâce à un frein de bouche bien adapté qui peut être remplacé par un silencieux. Canon fluté semi lourd et flottant, carcasse en aluminium, bon look. Sortie en 2015, on ne sait pas encore si elle remplit son rôle à la hauteur d'une 700 Rem. A voir.
Supprimerhttp://media2.shop57.org/1673-3928-thickbox/carabine-mossberg-mvp-serie-lc-cal-308w.jpg
Bon week-end à tous et que Dieu vous garde.
Franck (Renc. survivalistes Languedoc-Roussillon).
browning 308 a bolt environ 650 euros pas de recul significatif,bonne précision ,chargeur rotatif,un bon début a prix abordable dans ce calibre
SupprimerEn fait le K31 m'a rien coûté, et le kit Wyssen Defence je l'ai eu pour 1'500.- avec frein de bouche, bipied et lunette Hawke. Oui tu as raison Malevil pour l'approvisionnement en munition. En Suisse ça va, tu vas au stand et t'achètes des boites tant que tu veux, mais si c'est le chaos ça va être autre chose. Je me fais mon stock petit à petit.
Supprimerà 3.59 apparait l'image du blog de Pierre Templar, survivre au chaos.
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=ViqAbyKlhdY
Les évènements de la fin des temps très important bonne lecture bon partage :)
RépondreSupprimerhttp://vincentdetarle.free.fr/catho/derniers_messages_fin_des_temps_7.html
A force de trop regarder son trou du cul, on finit par voir les ténèbres partout...
SupprimerSauf quand tu auras ton trou de balle défoncé par l islamisme et la charia peut etre apprecieras tu ?.....
Supprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=8vQ6-loaVdc
RépondreSupprimerje suis équipé d'une Tikka Super Varmint en 7.08,je touche un gong de de 30cm de diametre a 800m,
RépondreSupprimerRechargement: Etui Lapua, 2.66 grammes ou 41 grains de N150 ogives 150 grains HPBT Matchking Sierra
Bonjour, où est cette possibilité de pas de tir 800 m ?
SupprimerPerso je suis limité à 300 m.
Gator9a.
Châteauroux
SupprimerMerci mais quelles possibilités pour un licencié et coordonnées ?
SupprimerMerci de votre réponse à gator9a@aol.com
Sur la région Bordelaise aussi !
Supprimerhttp://lefaisan-dore.fr/tir-longue-distance/
Le Faisan Doré : 50€/J avec repas, minimum 4 tireurs ou 200€ minimum !
SupprimerTrouvé personne...
On choisit effectivement un calibre, une arme comme l’écrit P Templar mais aussi une munition et une lunette.
RépondreSupprimerPour la munition, rien ne sert de prôner telle ou telle munition car ce qui ira dans une Remington n’ira pas forcément dans une Tikka, les « pas des canon » n’étant pas les mêmes en fonction des marques.
Il vous faudra donc trouver la ou les munitions adaptées à votre arme (pas et longueur du canon) et établir vos tables de hausse en fonction de chaque type.
Pour ceux voulant faire du rechargement, le rechargement des cartouches de fusil est une science complexe qui peut emmener dans des impasses si vous n’êtes pas un tireur expérimenté capable, lorsqu’il teste une charge, de savoir si les écarts sont dus à l’arme, la mun, le tireur,…
Pour la lunette, il est important de choisir une lunette simple d’emploi qui vous permet de pouvoir avant le tir mesurer la distance de votre cible. Pour cela vous aurez besoin d’une lunette avec un réticule en µ et en premier plan focale avec des tourelles de réglage apparentes toujours en µ. Un réticule permettant la prise de contres-visées immédiates sans toucher aux tourelles sera un plus comme le G2DMR. Pour afficher des corrections à 800, 900 mt, peut-être aurez-vous besoin d’un rail penté.
Au final, ce n’est que la conjonction de ces 4 éléments que vous permettra d’avoir une arme vous permettant d’aller taquiner au delà de 600 mt.
Si il n’y a pas beaucoup de facteurs perturbant pour du tir jsq 600 mt (distance de la cible, le vent), au-delà vous devrez vous inquiéter de la dérivation, de la température et de la pression.
Bien entendu, si vous tirez en site positif ou négatif, cas qui peut arriver assez souvent en ZURB, vous devrez être capable de calculer la distance réelle à afficher que se soit à 200 ou 800 mt.
Pour ceux tirant en montagne, l’altitude sera à prendre aussi en compte.
Je conseil l’achat sur son téléphone du logiciel balistique « Strelok pro ». Pour une dizaine d’Euros, vous aurez un excellent outil régulièrement mis à jour pour établir vos tables de tir. Un certain recordman français se sert de ce logiciel pour toucher une cible à plus de 4000 mt.
Quoi que vous achetiez, tout cela passera ensuite par… du tir, encore du tir et toujours du tir car 95% d’un bon tir se décide avant la queue de détente.
F Von Pikkendorff
Vous enoncez une erreur assez fondamentale.
SupprimerLe pas de rayure d'un canon n'est pas décidé par tel ou tel fabricant de canon.
Le pas de rayures est commandé pour un calibre donné par la masse de votre projectile.
Ainsi, un pas de rayure defini stabilisera des projectiles dans une une fourchette de masse.
Les fabricant proposent donc TOUS des canons avec des pas de rayures adaptés en fonction de votre calibre et de votre masse de balle.
Un logiciel balistique sur un portable c'est bien lorsque vous en etes encore au stade de pouvoir siroter votre bière tout juste sortie du frigo.
Sur le terrain, c'est fragile, lent, indiscret(luminosité) et ca tombe en panne au plus mauvais moment.
Retenez les valeurs les plus notables en fonction des distance, utilisez un logbook ou juste un petit anti sèche collé a l'interieur de la bonnette de votre optique
On est d'accord.
SupprimerJe me suis mal exprimé.
En 308, on trouve des ogives de 148 à 185 gr, voir plus, le tireur a donc de quoi faire pour choisir la munition dont il veut établir la table de hausse.
Certaines munitions équivalentes ne donnent pas le même résultat en fonction du fabriquant de la munition dans un même canon et deux canons de marques différentes pourront avoir des résultats différent avec la même munition.
C'est donc a vous d’acheter la munition la plus adaptée à votre arme cad au comportement de votre canon en fonction de ce que vous voulez faire et surtout des résultats que vous allez constater à l’entrainement.
Pour le logiciel, il ne s’agit pas de se trimballer avec sur le terrain mais de vous en servir maintenant, en temps de paix, pour établir des tables papiers que vous pourrez emporter avec vous sur le terrain. Pour ma part, j’utilise une petite pochette d’avant bras dépliable.
F Von Pikkendorff
Message pour Franck (Renc. survivalistes Languedoc-Roussillon).
RépondreSupprimerSalut Franck, peux tu me contacter sur : cestquilepacha@yop.
Cordialement
PACHA (Renc. survivalistes Languedoc-Roussillon)
pareil franck, tu as mon adresse yop sur languedoc! richard
SupprimerPour ceux qui lisent l'Anglais, je suis en train de me coltiner le bouquin: "Fry the Brain: The Art of Urban Sniping and Its Role in Modern Guerrilla Warfare" de John West Jr. Intéressant. Maintenant, le présent site est déjà une mine d'information en soi, et en français s'il-vous-plaît (merci Pierre)
RépondreSupprimerBonjour et merci pour tes articles très sympa!
RépondreSupprimerC'est possible de faire un article et surtouty une video dédié à ton Mosin et sa customisation?
Merci!!