Un couteau fait certainement partie des équipements les plus importants dans un paquetage de survie.
On peut faire beaucoup de choses pour survivre dans la nature avec seulement un bon couteau. De la même manière qu'il pourrait à lui seul vous préserver de bien des périls d'une jungle urbaine, et vous en protéger.
Il est donc important de bien le choisir dès le départ, tant que cela nous est encore possible.
Voici donc 7 points important à considérer lors du choix d’un couteau de survie.
La soie est le prolongement de la lame au sein du manche. La soie sert à l'assemblage entre le manche et la lame. Elle peut être de différentes formes :
1- Soie postiche
2- Demi soie
3- 3/4 de soie
4- Pleine soie
Un couteau pleine soie sera de meilleure qualité car elle lui procurera un meilleur équilibre et le rendra plus solide. (Lien)
Parler d'un couteau "full tang" ou pleine soie revient donc à dire que le couteau est construit d'une seule pièce d'acier solide, ce qui constitue bien entendu un atout certain dans un contexte de survie. Un Full Tang doté d'une soie qui va jusqu'à la base du manche est considéré comme le meilleur pour un couteau de qualité. La soie pleine donne la force totale du couteau. Sur les modèles bon marché, la lame est uniquement connectée au manche par son sommet et peut se détacher.
La matière qui constitue le manche des couteaux de survie varie considérablement suivant les modèles. Certains sont en caoutchouc dur, d'autres en polymère. La plupart sont adéquates et il serait probablement plus facile de se rappeler ce qu'il vaut mieux éviter. Ainsi, n'importe quel couteau à la Rambo doté d'un manche creux pour y ranger des choses est à proscrire systématiquement. Bien qu'un tel ustensile puisse paraître sympa au début, il existe quelques bonnes raisons d'éviter les couteaux de ce type.
La première tient évidemment à l'absence de soie, ce qui le met d'entrée hors jeu, sans aucun rattrapage possible. La deuxième pourrait être qu'il oblige de toute manière à prendre en double ce qui se trouve dans le manche, dans la mesure où la seule perte du couteau entraînerait celle de tous les équipements vitaux qu'il contient.
Une autre chose à éviter, qui est pourtant populaire parmi les couteaux de survie dernier cri, est une boussole incrustée dans le manche. Encore une fois, cela semble être une fonctionnalité intéressante, mais qui pourrait gêner la prise sur le couteau, voire son utilisation dans certaines tâches en particulier. Vaut-il vraiment la peine d'avoir un ustensile tel une boussole de 50 centimes Made in China dans le manche de son outil de survie le plus important, lorsqu'il risque de rendre le couteau difficile à travailler ou même de vous blesser ?
L'acier des couteaux de survie existent généralement en deux types : inoxydable ou carbone. Savoir lequel est le meilleur constitue un (autre) énorme débat dans le milieu de la survie. Sans vouloir vous inciter à choisir l'un plutôt que l'autre, voici les principales différences.
L’acier inoxydable est par définition… inoxydable. C'est à dire pratiquement indestructible, capable d'endurer les pires coups et durer très longtemps sans rouiller. Cependant, beaucoup de gens disent que les lames en acier inoxydable perdent leur affûtage plus rapidement que celles au carbone.
On sait généralement que l'acier au carbone restent affûté plus longtemps que l'acier inoxydable, mais il rouille aussi plus rapidement suivant son exposition aux éléments naturels.
Là encore, le débat est houleux pour savoir ce qui est préférable : lame droite ou dentelée. Un couteau à lame droite fonctionnera mieux pour couper du bois et sera beaucoup plus facile à affûter. Une bonne pierre lisse peut même être utilisée à cet effet si l'on ne possède pas de pierre à aiguiser. Un tranchant dentelé, à l'inverse, nécessitera presque toujours un affûteur spécial, ne serait-ce qu'une lime queue de rat, en plus d'un affûteur classique.
Par expérience personnelle, je sais qu'un couteau dentelé peut s'avérer pratique, notamment lorsque l'affûtage commence à faiblir et que l'on doit couper dans l'urgence une matière telle un cordage. Si l'on opte pour un tel modèle, je conseille toutefois de choisir un couteau qui offre une dentelure sur le dos de la lame. En effet, une dentelure sur la lame elle-même (comme le SOG de l'image ci-dessus), ne sera pas des plus pratique lorsqu'il faudra tailler des pointes, par exemple, ou écorcer du bois.
La plupart des couteaux de survie ont une longueur de lame comprise entre 6 et 12 pouces (15 à 30 cm). Moins que cela et il ne sera peut-être pas assez grand pour accomplir aisément les nombreuses tâches que nécessite une situation de survie, comme couper du petit bois par exemple. Bien sûr, cela fonctionnerait beaucoup mieux avec une hachette ou une scie, mais en cas d'évacuation forcée, il se pourrait que l'on ne finisse avec rien d’autre sous la main.
Au-delà de 12 pouces, c'est le syndrome de Rambo qui fait son apparition. C'est la limite à laquelle le couteau devient trop long pour être manipulé et porté efficacement. A ce stade, il pourrait constituer plus un obstacle qu'un outil. Mieux vaut alors opter pour une machette, en plus de son couteau.
C'est un concept peut-être plus difficile à considérer pour ceux d’entre nous qui ne sont pas des experts. Une bonne règle générale veut que l'épaisseur de la lame soit d'environ 3/16 à 4/16 de pouces, ce qui est considéré comme le meilleur compromis pour les couteaux de survie, soit entre 4,7 et 6,3 millimètres. Un couteau de cette épaisseur sera extrêmement solide et capable de résister à une coupe de bois ; il pourra aussi servir à faire levier, éventuellement. Dans tous les cas, il vaut mieux éviter les couteaux dotés d'une lame flexible en matière de survie.
Cela signifie entre autre que les adeptes inconditionnels du Mora devront impérativement amener avec eux un couteau plus solide offrant des caractéristiques dignes d'un véritable outil de survie.
L'étui du SOG est probablement l'un des meilleurs disponibles actuellement sur le marché (dans sa gamme de prix), avec un système d'attache inférieure, une lanière (dragonne), et une sangle croisée. Bien entendu, il vaudrait mieux que tout cela soit en cuir épais plutôt qu'en simple Cordura, mais le prix serait lui aussi très différent...
Si vous n’êtes pas familier avec les vrais couteaux de survie, la gaine est un élément qui pourrait vous sembler moins important que le couteau lui-même. Pourtant, sachez qu'elle affectera énormément la façon de porter et de tirer votre couteau.
Il y a trois choses qui sont importantes dans une gaine idéale :
- Une fixation inférieure - Un système à trou(s) ou une pièce de fixation à l'extrémité basse du fourreau qui puisse être utilisé pour attacher le couteau à la jambe lorsqu'on le porte à la ceinture, ou sur une sangle de sac à dos.
- Une fixation de ceinture et une lanière - La gaine est-elle livrée avec une passant de ceinture suffisamment large ? Le manche du couteau a-t-il un trou pour y passer une dragonne/lanière ?
- Une sangle - Comment le couteau s'attache-t-il à la gaine ? Une sangle croisée sur le manche est préférable. Une gaine telle que celle du Mora qui maintient le couteau sur sa seule partie inférieure pourrait laisser échapper celui-ci. L'extraction est aussi moins facile. Dans tous les cas, évitez les sangles qui ferment au moyen de Velcro. De telles fixations ne durent pas dans le temps, et deviennent inefficaces lorsqu'elles se couvrent d'eau ou de boue.
On peut aussi opter pour un couteau doté d'un étui rigide tel que le Glock autrichien M78 ou M81, qui sont des modèles de robustesse et d'efficacité. Une telle gaine offre également l'avantage de pouvoir porter le couteau à l'envers (avec la pointe en haut), par exemple sur la partie supérieure d'une bretelle de brelâge, comme le faisaient de nombreux GIs au Vietnam. Pour ce qui est du Glock, le tirage de la lame en serait même facilité, vu son système d'attache particulier.
Vous avez aussi le couteau de combat de l'armée Allemande utilisé durant les années 1960 à 1990. Il a une lame en acier inox, un manche en ABS, et un fourreau en métal et cuir. Si vous avez la chance de trouver un modèle original (marquage "ROSTFREI" sur la lame), prenez-le sans hésiter (attention aux reproductions !). Je crois que c'est l'un des couteaux les plus solides qui puissent exister. J'en ai eu un dans ma jeunesse, que j'utilisais avec une massette pour couper des barres de plomb... Il est toujours intact et n'a pas bougé, mais porte à présent quelques vilaines traces sur le dos de la lame. Je regrette amèrement de l'avoir marqué ainsi pour la vie...
On peut faire beaucoup de choses pour survivre dans la nature avec seulement un bon couteau. De la même manière qu'il pourrait à lui seul vous préserver de bien des périls d'une jungle urbaine, et vous en protéger.
Il est donc important de bien le choisir dès le départ, tant que cela nous est encore possible.
Voici donc 7 points important à considérer lors du choix d’un couteau de survie.
1. La soie
La soie est le prolongement de la lame au sein du manche. La soie sert à l'assemblage entre le manche et la lame. Elle peut être de différentes formes :
Les différentes parties d'un couteau |
La soie d'un couteau |
1- Soie postiche
2- Demi soie
3- 3/4 de soie
4- Pleine soie
Un couteau pleine soie sera de meilleure qualité car elle lui procurera un meilleur équilibre et le rendra plus solide. (Lien)
Parler d'un couteau "full tang" ou pleine soie revient donc à dire que le couteau est construit d'une seule pièce d'acier solide, ce qui constitue bien entendu un atout certain dans un contexte de survie. Un Full Tang doté d'une soie qui va jusqu'à la base du manche est considéré comme le meilleur pour un couteau de qualité. La soie pleine donne la force totale du couteau. Sur les modèles bon marché, la lame est uniquement connectée au manche par son sommet et peut se détacher.
Radiographie d'un couteau Mora KJ Erikson 711 au carbone montrant la longueur de la soie |
2. La poignée
La matière qui constitue le manche des couteaux de survie varie considérablement suivant les modèles. Certains sont en caoutchouc dur, d'autres en polymère. La plupart sont adéquates et il serait probablement plus facile de se rappeler ce qu'il vaut mieux éviter. Ainsi, n'importe quel couteau à la Rambo doté d'un manche creux pour y ranger des choses est à proscrire systématiquement. Bien qu'un tel ustensile puisse paraître sympa au début, il existe quelques bonnes raisons d'éviter les couteaux de ce type.
La première tient évidemment à l'absence de soie, ce qui le met d'entrée hors jeu, sans aucun rattrapage possible. La deuxième pourrait être qu'il oblige de toute manière à prendre en double ce qui se trouve dans le manche, dans la mesure où la seule perte du couteau entraînerait celle de tous les équipements vitaux qu'il contient.
Couteau de survie "Parry blade" |
Une autre chose à éviter, qui est pourtant populaire parmi les couteaux de survie dernier cri, est une boussole incrustée dans le manche. Encore une fois, cela semble être une fonctionnalité intéressante, mais qui pourrait gêner la prise sur le couteau, voire son utilisation dans certaines tâches en particulier. Vaut-il vraiment la peine d'avoir un ustensile tel une boussole de 50 centimes Made in China dans le manche de son outil de survie le plus important, lorsqu'il risque de rendre le couteau difficile à travailler ou même de vous blesser ?
3. La lame (métal)
La lame en acier carbone du Mora 711 |
L'acier des couteaux de survie existent généralement en deux types : inoxydable ou carbone. Savoir lequel est le meilleur constitue un (autre) énorme débat dans le milieu de la survie. Sans vouloir vous inciter à choisir l'un plutôt que l'autre, voici les principales différences.
L’acier inoxydable est par définition… inoxydable. C'est à dire pratiquement indestructible, capable d'endurer les pires coups et durer très longtemps sans rouiller. Cependant, beaucoup de gens disent que les lames en acier inoxydable perdent leur affûtage plus rapidement que celles au carbone.
On sait généralement que l'acier au carbone restent affûté plus longtemps que l'acier inoxydable, mais il rouille aussi plus rapidement suivant son exposition aux éléments naturels.
4. La lame (Design)
Falkniven F1, SOG Seal Pup Elite et couteau KJ Eriksson Mora 711 au carbone |
Là encore, le débat est houleux pour savoir ce qui est préférable : lame droite ou dentelée. Un couteau à lame droite fonctionnera mieux pour couper du bois et sera beaucoup plus facile à affûter. Une bonne pierre lisse peut même être utilisée à cet effet si l'on ne possède pas de pierre à aiguiser. Un tranchant dentelé, à l'inverse, nécessitera presque toujours un affûteur spécial, ne serait-ce qu'une lime queue de rat, en plus d'un affûteur classique.
Par expérience personnelle, je sais qu'un couteau dentelé peut s'avérer pratique, notamment lorsque l'affûtage commence à faiblir et que l'on doit couper dans l'urgence une matière telle un cordage. Si l'on opte pour un tel modèle, je conseille toutefois de choisir un couteau qui offre une dentelure sur le dos de la lame. En effet, une dentelure sur la lame elle-même (comme le SOG de l'image ci-dessus), ne sera pas des plus pratique lorsqu'il faudra tailler des pointes, par exemple, ou écorcer du bois.
5. La lame (longueur)
Couteau de survie Kaliber - 12,5 cm de lame |
La plupart des couteaux de survie ont une longueur de lame comprise entre 6 et 12 pouces (15 à 30 cm). Moins que cela et il ne sera peut-être pas assez grand pour accomplir aisément les nombreuses tâches que nécessite une situation de survie, comme couper du petit bois par exemple. Bien sûr, cela fonctionnerait beaucoup mieux avec une hachette ou une scie, mais en cas d'évacuation forcée, il se pourrait que l'on ne finisse avec rien d’autre sous la main.
Au-delà de 12 pouces, c'est le syndrome de Rambo qui fait son apparition. C'est la limite à laquelle le couteau devient trop long pour être manipulé et porté efficacement. A ce stade, il pourrait constituer plus un obstacle qu'un outil. Mieux vaut alors opter pour une machette, en plus de son couteau.
6. La lame (épaisseur)
L'épaisseur de la lame d'un couteau de survie peut varier énormément. |
C'est un concept peut-être plus difficile à considérer pour ceux d’entre nous qui ne sont pas des experts. Une bonne règle générale veut que l'épaisseur de la lame soit d'environ 3/16 à 4/16 de pouces, ce qui est considéré comme le meilleur compromis pour les couteaux de survie, soit entre 4,7 et 6,3 millimètres. Un couteau de cette épaisseur sera extrêmement solide et capable de résister à une coupe de bois ; il pourra aussi servir à faire levier, éventuellement. Dans tous les cas, il vaut mieux éviter les couteaux dotés d'une lame flexible en matière de survie.
Cela signifie entre autre que les adeptes inconditionnels du Mora devront impérativement amener avec eux un couteau plus solide offrant des caractéristiques dignes d'un véritable outil de survie.
7. L'étui
Le bel étui du SOG comparé à quelques concurrents |
L'étui du SOG est probablement l'un des meilleurs disponibles actuellement sur le marché (dans sa gamme de prix), avec un système d'attache inférieure, une lanière (dragonne), et une sangle croisée. Bien entendu, il vaudrait mieux que tout cela soit en cuir épais plutôt qu'en simple Cordura, mais le prix serait lui aussi très différent...
Si vous n’êtes pas familier avec les vrais couteaux de survie, la gaine est un élément qui pourrait vous sembler moins important que le couteau lui-même. Pourtant, sachez qu'elle affectera énormément la façon de porter et de tirer votre couteau.
Il y a trois choses qui sont importantes dans une gaine idéale :
- Une fixation inférieure - Un système à trou(s) ou une pièce de fixation à l'extrémité basse du fourreau qui puisse être utilisé pour attacher le couteau à la jambe lorsqu'on le porte à la ceinture, ou sur une sangle de sac à dos.
- Une fixation de ceinture et une lanière - La gaine est-elle livrée avec une passant de ceinture suffisamment large ? Le manche du couteau a-t-il un trou pour y passer une dragonne/lanière ?
- Une sangle - Comment le couteau s'attache-t-il à la gaine ? Une sangle croisée sur le manche est préférable. Une gaine telle que celle du Mora qui maintient le couteau sur sa seule partie inférieure pourrait laisser échapper celui-ci. L'extraction est aussi moins facile. Dans tous les cas, évitez les sangles qui ferment au moyen de Velcro. De telles fixations ne durent pas dans le temps, et deviennent inefficaces lorsqu'elles se couvrent d'eau ou de boue.
On peut aussi opter pour un couteau doté d'un étui rigide tel que le Glock autrichien M78 ou M81, qui sont des modèles de robustesse et d'efficacité. Une telle gaine offre également l'avantage de pouvoir porter le couteau à l'envers (avec la pointe en haut), par exemple sur la partie supérieure d'une bretelle de brelâge, comme le faisaient de nombreux GIs au Vietnam. Pour ce qui est du Glock, le tirage de la lame en serait même facilité, vu son système d'attache particulier.
Couteau Glock M81 (cranté) avec son étui rigide à clip |
Vous avez aussi le couteau de combat de l'armée Allemande utilisé durant les années 1960 à 1990. Il a une lame en acier inox, un manche en ABS, et un fourreau en métal et cuir. Si vous avez la chance de trouver un modèle original (marquage "ROSTFREI" sur la lame), prenez-le sans hésiter (attention aux reproductions !). Je crois que c'est l'un des couteaux les plus solides qui puissent exister. J'en ai eu un dans ma jeunesse, que j'utilisais avec une massette pour couper des barres de plomb... Il est toujours intact et n'a pas bougé, mais porte à présent quelques vilaines traces sur le dos de la lame. Je regrette amèrement de l'avoir marqué ainsi pour la vie...
L'indestructible couteau de la Bundeswehr |
Oui le Glock est un super couteau. Il se désafute rapidement par contre, il faut prévoir un aiguiseur dans la verte.
RépondreSupprimerBonjour à tous.
RépondreSupprimerEn vrac : j'ai choisi MES couteaux en fonction de l'usage retenu : un " bon, voire très bon " à usage de combat de survie ( je sais, ça peut faire prétentieux mais j'assume car n'ayant pas le choix d'une telle situation si je dois l'affronter, la fuite ne pouvant se faire ) affûté comme un rasoir ( pénétration facilitée des chairs ) avec gouttière sur la lame( l'afflux soudain de sang peut faire tampon et empêcher la pénétration ) . J'ai impérativement choisi ce type de couteau sur des critères techniques réputés de qualité par les professionnels ( risquer oui, certes , mais avec le maximum de chances de ne pas casser la lame, qu'il glisse des mains ou autre surprise du genre car l'important est de gagner du moins d'essayer mais vraiment, car participer pourrait être la dernière fois ) .
Pas de dentures . Une petite scie pliante ultra légère , magasin de jardinage complète le sac/ ceinture.
Lame de 17 / 19 cm selon le couteau. Pas moins.
Étui en cordura , je n'apprécie guère les étuis en cuir ou polymère. Le seul étui polymère retenu est celui d'une dague/ stiletto de chez Ultima Ratio , italien fabricant quasi exclusivement pour l'armée italienne, s'accrochant facilement car modulable.
Un étui cordura SANS le couteau avec est très difficile à trouver. A l'époque , j'en avais trouvé chez US. MC , vente surplus, ( fabrication anglaise / 20 E ) quand ils avaient leur boutique Bd république à Paris avant qu'ils passent en vente exclusive en ligne.
Les fabricants chinois sollicités ne fabriquent qu'en grosse quantités.
Sur les sites européens , rien trouvé on plus.
Je n'ai pas cherché à économiser sur le prix pour ce type d'outil car si un mauvais ouvrier à de mauvais outils, un bon outil ne fera pas de moi un super combattant au couteau mais si la vie doit m'abandonner au moins que je n'en sois pas directement responsable pour avoir " mégote " ( un ancien fumeur repenti ) sur le prix ET la qualité !
De plus je ne paierai plus les factures d'électricité quand les lumières vont finir par s'éteindre et vouloir jouer sur 2 tableaux ( on ne sait jamais , n'est ce pas mister ? La situation redevient normale après 3 mois de troubles, ne rêvons pas , on a passé l'âge ) se battre avec des billets de banque sans valeur contre un " furieux " arme d'une lame , ça ne fait pas sérieux ne croyez vous pas ? Évidemment si je cherche à le faire mourir de rire ........
Donc un Chris Reeve , fabrication US pas sud /aff, le premier modèle, lame et manche creux d' un seul tenant à partir d'un barreau d'acier unique et dernièrement un Ultima Ratio modèle armee italienne facture en euros et pas en lires, hélas !
A 2 endroits stratégiques de la maison "traînent " nonchalamment un K Barr et une dague us m3 , de bonne facture , on ne sait jamais.
Bigre de bigre , on a un Instructeur de combat au couteau ? Non mais fils de boucher ( merci papa ! ) , voir l'article du combat au couteau sur ce blog .
Mon épouse à un Glock , comme sur la photo, à sa disposition.
Last but not thé least , pour les travaux tout venant, un couteau pliant , lame 12 /13 cm bien épaisse, inoxydable ( un monstre pour un couteau pliant ) , acheté sur un marché au Pakistan ( pfuiiiii , au moins il y a 15/20 ans, au moins, eh! Oui, ça nous rajeunit pas ma bonne dame , ) , inusable & indestructible , il aura ma peau et je devrai le laisser en héritage.
Acheté " Pour une poignée de dollars " non pardon , de roupies , tu vieillis Clint....
Une machette complète la panoplie , 20 E , magasin de jardinage.
Et pour courir, tout cela sur le dos ?
Bah ! La géographie de l'Italie , ainsi que sa végétation, parlent d'elles mêmes : courir sur la plage, oui bien sûr, autrement la machette , bien utile pour tailler les ronces des sous bois sur les pentes.
Fin de l'épisode.
A la prochaine fois si vous le voulez bien !
Cdlt.
Vianney.
J'ai un peu de mal à comprendre là: Pierre nous déconseille un couteau à manche creux .......et nous présente un Glock M78 avec un manche .....creux! On peut m'expliquer?
RépondreSupprimerLe glock est un couteau militaire destiné à servir aussi de baïonnette. C'est la raison pour laquelle son manche est partiellement creux. Je dis "partiellement" car sa lame n'est pas une soie postiche mais une demi-soie, ce qui n'a rien à voir avec les couteaux à la Rambo dont je parle dans cet article. Pour son prix, c'est certainement le modèle le plus solide du marché, beaucoup plus solide que de nombreux "full tang", et c'est pourquoi je le conseille en premier. N'hésitez pas à me faire savoir le jour où vous parviendrez à casser un glock, j'en ferai un article...
SupprimerMerci Pierre pour cette explication bien nécessaire et fort utile! C est vrai qu il me plait bien.Par contre en cherchant beaucoup pour voir celui qui me conviendrai parfaitement j en avais trouvé un magnifique mais je ne retrouve plus sa marque. Si vous pouviez m aider ce serai génial: Ce qu il a de particulier entre autre c est qu il a un genre de triangle en acier chromé au bout du manche qui peut faire office de marteau. Merci d avance.
SupprimerPerso, j'ai un Glock....rapporté du proche orient il y a quelques années....rien à lui reprocher...Dada.
SupprimerJe vous conseil surtout un bon acier.sk5,cpm13,440c et j'en passe.si t dans la merde,il te faut ça. Ils ont l'avantage de pouvoir péter de la ferraille (acier 01) .quelque fois raide à affûter mais avec un peu d'entraînement ?!!!.et une bonne pierre .un fire steel,un bout de chambre à air,du bois sec résineux que vous trouverais même en temps de pluie,et de la jugeote. C quand on devient rien que l'on peut tout faire.j'ai vécu assez dans la rue et je me suis trouver ds des situations à la con .mais un bon couteau et un fire C un mini.la j'ai un solognac de décatlon,pour qu'il taille j'ai rabaissé son angle( plus facile d'affut et bien meilleur coupe ainsi que le maintien dans le temp)sa largeur en faisant un très bon couteau malgré son acier de merde. Pour la longueur de 17 à 21 cm c pas mal pour les petits travaux journaliers batonnage etc..mais le saint Graal c un wild steer, le katana du français pur race,là je vais m'acheter un karlican ,160 euros certe,mais un couteau qui fait tout,sauf ta femme.petit ,transportable à souhait,beaucoup d'épaisseur pour une petitesse ,et mais y pas le doigt.
RépondreSupprimerBonsoir Vianney,tu as dû confondre avec Extrema ratio(ultima ratio c'est du TLD);moi j'ai rien choisi.J'en suis encore à me demander s'il vaut mieux,une smachet,bolo,kukri,puukko,bowie....?
RépondreSupprimerVaut-il mieux un couteau de combat,de campement ,de chasse,de pêche?
J'ai un couteau pliant Suisse...et pour le reste,j'ai du mal à envisager l'utilité du port de ce type d'objet pour l'instant.
Un modèle transformable en épieu m'a semblé plus approprié pour la défense contre des animaux ou pire encore.
Un combat au couteau peut très bien faire deux morts ou deux blessés,et je ne parle pas d'affronter des chiens sauvages ou un sanglier blessé.
Bâtonner?Fendre du bois?Une bonne hachette.
Débroussailler?Pour quoi faire?
Paradoxalement,il me semble que c'est en ville que ce type d'objet est le plus utile;ou si on projette un assassinat.
Par défaut (et à cause du prix),j'ai opté pour le cold steel Bushman,que j'oublie en général;il est tout neuf depuis des années.
Mais il s'agit plus d'un outil que d'un couteau,comme ma serpette d'ailleurs.
Par contre,j'ai toute une panoplie dans ma cuisine.Chaque lame a son utilité,et c'est sûrement pour cette raison que j'ai tant de mal à choisir.
Bien à vous
YK
Bonsoir,
SupprimerJ'abonde en ce sens. Nous avons une petite panoplie de couteaux pour tuer, dépecer, éviscérer et découper, choisis au fil du temps pour leur usage, d'autres pour le jardin, dans les étables et encore d'autres pour la cuisine, mais aucun dans la liste de pierre.
J'ai un vieux Ka-bar au fond d'un tiroir, qui ne sert jamais, ni à la ferme ni à la chasse...
Un opinel dans la poche est suffisant (pour le moment), je n'envisage pas de combat au couteau s'il est possible d'éviter.
Avec des chiens, on est averti suffisamment à l'avance pour éviter le corps à corps et utiliser des moyens plus dissuasifs.
Je pense donc aussi que ce thème concerne surtout les citadins.
cordialement,
La ferme de Rocanadel
Bonsoir YK.
SupprimerExact .
Extrema Ratio , le nom de la marque italienne à considérer. Errare humanum est persévare diabolicum . Amende honorable donc.
Je dois avouer que vous forcez de nouveau mon admiration YK , rien ne vous échappe .
La 1ère fois quand vous avez mentionné mon nom avec celui de Ligeaia et F 43 sky pour faire référence aux connaisseurs de prophéties, bravo pour votre mémoire ou la tenue de vos fiches , Personne a ce jour n'y était arrivé , bravo.
En retour , je vous dois de compléter un commentaire précédent déjà lointain.
A l'époque , un voisin entre dans la résistance à peine 17 ans m'avait posé cette question dans le cadre d'une discussion : tuer un homme ? Si vous êtes capable de lui enfoncer une lame dans le corps , vous êtes capable de tuer ( on a du mettre en pratique les silencieux pour ceux qui ne le pouvaient pas ) .
Après la résistance , pour ce monsieur, l'armée puis l'Algerie puis une tentative d'attentat contre CDG , une mitrailleuse à l'arrière d'un tube Citroën .
Ce colosse à la voix de stentor était marié à un petit bout de femme haute comme trois pommes, chignon bie n tire , discrète, pas bavarde du tout pour un sou mais active.
Devinez qui conduisait la voiture qui ouvrait la marche du tube Citroën : ce petit bout de femme bien évidemment.
Pourquoi cette histoire, complétée a ce jour, d'abord rendre hommage à leur mémoire , nous sommes en 2019 nul n'est éternel, RIP donc.
Et puis depuis ce jour , depuis cette discussion , je crois avoir beaucoup appris.
Je les remercie donc.
Le couteau est un outil comme une arme à feu, le désacraliser dans son esprit éliminera des interférences perturbatrices de la réalisation de son objectif.
Cela étant dit, tout dépend de la nature de l'objectif alors.
Pour ma part j'elimine l'objectif de tuer un gamin gardant son troupeau simple témoin de mon passage comme force spéciale car alors je serais spécial en quoi ?
J'elilmine l'objectif de tuer mon chien coupable selon moi de courir après un troupeau éliminant laresponsabilite( ou l'irresponsabilité ) de mon mauvais choix, pratique, simple et chic.
De même l'objectif du confort à tout prix , trop cher payé ( le droit et la morale , beau débat ) , petit soldat , un uniforme ne vaut que par ce qu'il contient me direz vous.
Ce type de " mission impossible " pour beaucoup semble t il , me convient .
Voilà , cette histoire, presqu'une fable mais réelle malgré tout .
J'espère qu'elle vous a été agréable.
Alors , YK ,qu'allez-vous vous choisir comme couteau pour un combat de survie éventuel car nul ne sait s'il vous sera épargné , à la grâce de Dieu .
Cdlt.
Vianney.
Bonjour Vianney,décidément,vous nous parlez de Charlotte Corday qui assassinat ce pauvre Marat dans son bain la veille de la Fête Nationale...avec un couteau.
SupprimerJ'ai dû porter un temps,autour de mon cou,mais à cette époque nous avions des cravates un "mini Culloden"à lame dentelée;sans rapport avec la bataille de sinistre mémoire.
Cette lame ne correspond en aucun point à ce qui est dépeint,mais j'aurais tendance à dire que le meilleur couteau est celui qu'on porte.
Serons-nous bientôt dans le même bain que Marat?
Pour ce qui est des prophéties,rien ne vous oblige à répondre,je suis embêté par un détail:le déluge a eu lieu il y 4800ans et les peintures de la grotte des Eysies dateraient de 16000 ans;pourquoi n'ont-elles pas été effacées par les flots?
Les couteaux ethniques sont des outil adaptés à un biotope.Pour un outil adapté il faut définir la mission et le biotope.Ainsi au vu de ce que j'ai pu lire,la scie sur les couteaux US était compatible avec le Plexiglass des cockpits des hélicos.
Quel outil pour notre futur(aquatique?)
Bien à vous
YK
Bonsoir YK.
SupprimerVotre datation est fantaisiste .
Indice: la pratique de l'exploration de grottes dont l'entrée est immergée soit par la plongée sous marine ou la spéléologie , ou mieux encore les 2 réunies, vous apporte un indice de réflexion.
Il n'y a pas d'âge pour pratiquer.
L'intérieur des grottes surélevé par rapport à l'entrée sera comme une cloche.
Assassinat ! Ce mot revient souvent , qu'évoque t il pour vous ?
Plexiglass ? Par les moustaches de plexiglatz / Tintin et le sceptre d'Otokar , c"'est cela ?
La tôle aéronautique est facilement decoupable = couteau dentelé.
Futur aquatique = la montagne./ le bord de mer pour les natifs du poisson.
M. ? Au secours , ils jettent le bébé et l'eau du bain ! Bof ! Pourquoi pas ?
Alors YK , qu'allez-vous vous choisir comme couteau pour un combat de survie éventuel car nul ne sait s'il vous sera épargné, à la grâce de Dieu .
Pouvez vous, voulez vous me répondre, je vous prie .
Rassurez vous votre réponse sera seulement entre vous et moi, courage.
Cdlt.
Vianney.
Bonsoir à tous et désolé pour le presque HS
SupprimerVianney,ma datation provient de wikipédia,où on nous assure que ces peintures date du Magdalénien(en fait 3 déluges subis si on tient pour exact la fréquence de 4800 ans).Les graffitis à l'entrée étaient plus récents,puisque le site de la grotte des Eysies à une configuration en forme de couloir.Votre théorie de "la cloche"aussi séduisante soit-elle,ne tient pas.
Pourquoi ne pas envisager que l'eau n'est pas montée aussi haut?(altitude 55 mètres)c'est pourtant une bonne nouvelle.
J'espère que je ne vous ai pas froissé avec Charlotte Corday. Je pensais mais...
Pour les scies sur le dos des lames des couteaux:je n'ai pas fait la guerre du Vietnam.Il s'agit d'un article de cible(hors série n°25: 40 ans guerre du Viêt Nam) page 70 concernant le couteau Randall modèle 18 ancêtre des couteaux de survie.(article de Frédéric Combe).
Je ne connais pas Tintin,je le confond avec Bécassine;même tête déguisé?Travesti?
Assassinat:homicide volontaire avec préméditation.Je ne sais pas si on peut appliquer la notion à un Monarque qui massacre son peuple,ni à une divinité...,depuis David se méfier des gardiens de troupeaux.
Justement pour en revenir aux bergers,ces gens vivent/survivent depuis des générations et utilisent des couteaux pliants.
Bien que je comprenne assez peu en quoi mon avis vous est indispensable,je vous répète que j'utilise un couteau Suisse Hunter: un grande lame(tout est relatif),une scie,un tire-bouchon,un poinçon alésoir équipé d'un chas d'aiguille,une lame à dépecer,une pincette,un cure dent,et un outil regroupant,je cite,un décapsuleur,un ouvre-boite,un tournevis et un plioir de fil électrique.Le tout pour 105 grammes et une garantie illimitée.
Presque du Jacques Baudouin pour un grand garçon comme vous.
Pouvez vous avoir la gentillesse de nous communiquer le poids total de vos deux couteaux à lame fixe, de la machette,de votre pliant,de la scie?...vous avez oublié le pied de biche,la pince coupante,la pelle,et.... le tire-bouchon.
Je vous taquine.
On rajoute une bouée?Pitié Janus pas un mot sur la nourriture trop épicée.
C'est pas une arme!Allez vous crier.
Vous remarquerez que par rapport à votre équipement il va me rester un peu de place.Et je suis pas vraiment un commando.
Bien à vous.
YK
bonjour à tous, en ce qui me concerne, j'opte pour un couteau multi tool dans son étui, toujours un dans la voiture et un sur moi. pour la défense j'ai toujours ma vieille M3, et aussi un tanto bien affuté porté à l'horizontale dans le dos, etui en cordura; c'est leger et discret. en d'autres époques, plus jeune, j'avais cèdé à la mode des couteau de survie, assez paradoxalement, il a fait son boulot sauf pour couper du bois outre mer (pour cela machette ou hache), j'ai aussi possedé un bowie artisanal, soie riveté en cuivre, lame taillée dans un ressort de voiture, puissant mais lourd que j'ai finalement donné à un collectionneur . en "explication exhaustive", l'occasion ne m'a été donnée qu'une fois, juste une petite coupure pour l'importun qui a décampé séance tenante, il faut dire que son opinel ne faisait pas le poids. pour le reste, l'effet de le sortir a calme' le jeu dans les autres cas, meme en uniforme . à l'avenir, j'opterai pour un couteau mixte moderne, du moment qu'il possede une garde efficace et une lame de 3 mm avec denture en acier au carbone . bonne préparation à tous HERMAN STOSS .
RépondreSupprimerBonjour, un bon couteau doit être simple et solide.
RépondreSupprimerPersonnellement j'ai un KABAR USMC qu'un soldat Américain à donné à mon père à la Libération il y à plus de 70 ans (j'ai ai 64) le couteau est nickel à part un anneau en cuir qui à lâché.Et ce couteau à vraiment servi, pas rangé dans une boite comme une pièce de collection.
Bonjour , voila une question pour Herman Stoss, si celui ci peut m´y repondre, merci.Quést ce que tu appelles une garde efficace?
RépondreSupprimerbonne journee a tous.Que les Dieux soient avec vous.
alexandre
Alexandre , ainsi qu'à tous ; bonjour !
Supprimerpar une garde efficace, j'entendais la piece de métal entre la lame et le manche du couteau, celle ci prévient de se couper les doigts si on enfonce la lame d'estoc par prise classique ou en marteau. actuellement , les manches moulés modernes permettent des encoches ou des repose-doigts de maniere à bien positionner la main de maniere ergonomique pour travailler, mais dans le cadre d'une action rapide, voire réflexe (combat, defense, neutralisation) , une garde suffisamment large permet d'eviter efficacement la coupure. il suffit d'observer la forme des gardes des dagues moyenageuses (à rondelles, à rognons) .plus récemment la dague noire Fairbairn des commandos du SAS, tres pointue, tres tranchante, faite pour neutraliser car tres spécialisée, sa garde est large . elle reste d'un usage bien particulier.HERMAN STOSS
Salut,...
SupprimerPour le combat moderne type "Grappling" le Push-Dagger
https://argocoins.com/wp-content/uploads/2018/07/07_28c-014.jpg
Est par excellence la meilleur arme (Facilement dissimulable et certainement le meilleur maintien de prise en mains..)
PS: Il existe aussi en boucle de ceinturon..
@:TR
bonsoir; effectivement, j'ai meme eu le cold steel terminator que l'on peut voir dans le film "platoon" quands le héros charlie Sheen se fait refaire le portrait par Tom Berenger façon chirurgie expéditive . j'en ai fait cadeau à un petit cousin et je maudis cet instant de faiblesse . je ne l'ai jamais utilisé pour cet usage mais c'est une lame qui fait peur, à l'époque dans un etui cuir à clip de ceinture, assez facilement dissimulable et de dégainage aisé . en boucle de ceinturon, ce fut à l'occasion d'une confiscation lors d'un festival de musique de foldingos, "non monsieur, ça ne va pas etre possible" . HERMAN STOSS
SupprimerLes soies postiches non traversante et celles cachées traversantes sont en réalité ce qu'il faut choisir sur de l'utilisation intensive. Je vous arrête tout de suite si vous me sortez la tarte à la crème du "bâtonnage" de rondins de trois mètres de long au couteau, ce truc inventé par quelque présentateur télé n'est pas un sujet. Les soies de ces deux sortes sont bien celles à réserver pour un usage intensif, car moins de chocs et de vibrations, moins de poids, excellente prise en main, hygiénique. Ayant testé le 'golok' de tôlier américain (full tang avec liner) comparé à un vrai golok que produisaient les forgerons de valiantco avec des lattes de ressort de camions pour quatre fois moins cher, bah les découpeurs de tôle n'ont rien compris. Cela ne sert à rien d'avoir un truc indestructible avec traitements high-tech, avec une gueule d'enfer et fourbissage haute précision si on ne peut pas travailler avec car il vous scie la main. En situation de survie domestique avoir des paluches que vous pouvez encore plier à la fin de la journée n'est pas une option. Un manche à virole avec une soie postiche ou bien une soie cachée traversante, c'est pas non plus du chocolat, ça tient suffisamment au moins plusieurs années. Soie traversante et manche en rondelles de cuir (type rinaldi), ou bien soie postiche emmanchée à chaud dans une pièce de corne ou de bois (avec éventuellement un petit rivet de sécurité), là vous avez un outil pour utilisation intensive. Il existe la version moderne de ce genre de montage avec l'injecté en propy, tout le monde utilise ça dans l'industrie, jamais vu personne casser des couperets ou des couteaux PP, les trucs ne ressemblent à rien mais sont conçu pour être utilisés H24 pas regardés.
RépondreSupprimerBonsoir à toutes et tous. Bonsoir à vous YK. SVP et sauf votre respect, surtout évitez, si cela est en votre pouvoir, de parler ou d'écrire le nom "bécassine" (vos propos: même tête déguisé ? travesti ?)! Nous autres Bretons, avons un fort ressentiment ( pour le moment en sommeil), envers vous, petits français imbus de votre "suffisance". Nos presque 250 000 morts Bretons en 1914/1918 doivent ,(si vous en avez encore), vous imposer le respect envers notre culture, totalement différente de la votre ! Bécassine est le reflet négatif que , vous français avez trop souvent envers un peuple Celte, aux antipodes de votre monde latin. Je vous présente mes excuses pour ce coup de gueule, mais faite attention à l'avenir dans vos commentaires et messages. Le chaos arrive... ok ! c'est plus que sur, mais les mémoires de certaines "minorités" n'en sont pas pour autant éteintes. Breiz da viken ! Kenavo..et sans rancunes. Amitiés à toutes et tous. Didier "ab Mikael".
RépondreSupprimerMerci beaucoup Didier pour votre "remise en place"toute en subtilité et pleine de retenue.Sauf votre respect,il va vous falloir appendre à me lire,puisque je parlais de Tintin.Couper une phrase et en sortir une partie de son contexte pour la monter en épingle est à la vérité procédé d'intégristes.
SupprimerMerci encore,j'oubliais qu'il existe des gens qui agissent ainsi.Ils sont causes des guerres.
J'oubliais aussi,je m'en excuse qu'ils sont en plus dépourvus d'humour.Vous venez de me convaincre qu'il me faut rajouter une lame fixe à mon paquetage,disons une baïonnette d'Ak47.
Merci pour tout Didier,je suis certain que plein de "petits français" bourrés de suffisance sont heureux de vous lire,et de vous découvrir( sous votre meilleur jour?)
Vous me connaissez?D'où tenez vous que je suis un latin?Suis-je même Français?
Vous jugez tout un peuple sur mon seul propos.Les latins peuvent être fiers d'avoir eu Beccaria,vous avez Bécassine et ma foi ,cela vous va.
Félicitations.
Bien à vous
YK
Hello chers amis,
RépondreSupprimerCela fait plusieurs mois que je suis à la recherche justement de MON couteau idéal qui me correspond le mieux en toute circonstances et en me basant sur les 7 critères mentionné dans ce post super bien expliqué ! Et voilà qu’a force de chercher et de chercher encore, et de comparer ce qui est comparable je suis tombé sur …he ben LA Rolls-Royce du couteau de survie !!! Pour 3 critères principaux :
1- Une fabrication à partir de matériaux réellement High-Tech.
2- Leurs étuis auto-aiguisant… une invention géniale et unique au monde.
3- Cocorico ! C’est dans ces moments-là que je suis très fier d’être français car ces couteaux représentent la quintessence du génie français quand on lui permet de s’épanouir ! Car n’est-ce pas une idée absolument géniale que votre couteau de survie s’aiguise automatiquement très légèrement à chaque fois que vous le remettez dans son étui ?
4- Et ce n’est pas fini : Une formule à base de sel d’argent biomédical est ajoutée à la matière première de l’étui, lui offrant des propriétés antibactériennes.
5- Une véritable rupture technologique dans le monde du couteau.
Je veux parler de le gamme des ….’’AVANONA’’ :
https://www.avanona.fr/
Personnellement ceux qui me conviennent le mieux et que je vais leur acheter sont :
- Le ‘’Rétractable’’ que je trouve absolument fabuleux avec également son système auto-affuteur
- Le ‘’Cilaos’’ pour l’aventure et surtout pour la survie
- Le ‘’Squille’’ que je trouve magnifique en tout point de vue et qui pour moi qui pratique la plongée bouteille jusqu’à -50 mètres et où un véritable bon coutelas peut vous sauver la vie face à des requins, ce qui m’est déjà arrivé.
Oui… je sais leur prix est obligatoirement en adéquation avec leur valeur, ce ne sont pas des Rolls-Royce pour rien n’est-ce pas ? Mais votre vie et celle de vos proches n’a pas de prix non plus pas vrai ?
Tiens une petite anecdote au sujet des Rolls-Royce :
J’ai eu à maintes reprises la possibilité de mettre mon nez dans un moteur de Rolls-Royce et ce qui m’a frappé entre autres choses c’est l’alternateur surdimensionné, (presque celui d’un camion) par rapport à une voiture ordinaire. En fait beaucoup de pièces y sont surdimensionnées, c’est ce qui permet une fiabilité hors norme de ces voitures. Ces voitures ne tomberons jamais en panne d’alternateur tout au long de leur vie ! Ce qui est absolument primordial avec toute l’électronique qui en est adjoint de nos jours.
He bien voyez-vous quand on scrute attentivement un couteau Avanona, on arrive à la même conclusion.
Voilà mes amis je suis content de vous avoir été utile pour une fois à mon tout.
Bonsoir à vous Berny.
SupprimerCes couteaux semblent d'excellente facture. Un petit H.S. en passant: j'ai cru lire, l'espace d'un instant, que l'un de leurs modèles s'appelait le "padamalgam"!😅
J'ai la vue qui doit baisser avec l'âge.
En ce qui me concerne, je possède un exemplaire du fameux "Swisschamp" Victorinox, un Opinel ( le n°7, me semble-t'il), et un petit couteau en acier inox du fabricant suédois Hultafors ( en acier japonais), très similaire aux produits Mora.
Ce dernier ayant été acquis en lot avec une scie pliante push and pull, le modèle "Laplander" de Bahco ( un autre fabricant suédois à l'excellent rapport qualité/prix).
En tout cas, je vous remercie pour la découverte des couteaux Avanona.
Salutations résilientes.
Aristophane.
Salut à toi Berny ainsi qu'à toutes et tous;tout d'abord,merci pour le lien des schlass;z'ont l'air sympa et les prix ...comme tu le dis"Rolls royce" me rappel ceux de chez extréma ratio mais bon,le bon matos,on le paye ou alors on achète et rachète de la daube;on en a pour son argent quoi!
RépondreSupprimerPur curiosité de ma part qui,je l'espère,tu ne prendras pas mal:quand tu parles de bourrins de RR(que tu as eu à maintes reprises l'occas' de mettre le museau dedans),tu parles de moteurs bagnoles ou avions style le V12 RR Merlin parce que pour celui-ci aussi tout est surdimensionné et très "gaillard" va t'on dire(les dynamos aussi),chose normale pour des moteurs "avionnisés"on pourrait dire mais quand mm,il n'y a pas à chi*r,à l'époque l'obsolescence programmée(qui n'a pour but que d'encourager le consumérisme)n'existait pas,t'acheté une fois et c'était bon,mm la surenchère à qui fera le plus résistant dans la durée et l'usage,il est bien loin ce temps là!!!
Bon en tout cas,encore merci pour le lien et si jamais ,quand tu les auras reçu tu te sens de nous faire un ptit retex,ben là c'est royale!
Bon dimanche et bonne fête des rameaux à toi ainsi qu'à vous toutes et tous.jeannot.
Aristophane ? il naquit vers -445, à l'époque où débuta la construction du Parthénon ; il était le fils de Philippos le Comique, sous des prête-noms, car Aristophane, qui s'était lancé dans la satire politique la plus virulente, n'ignorait pas qu'il risquait un retour de bâton.
RépondreSupprimerJe présume que c’est aussi un prête-nom chez toi hein ?
Un de leurs couteau le ‘’Pangalanès, le nom proviens du canal des Pangalanes qui est un canal de l'est de Madagascar construit au XXe siècle. Long de près de 700 kilomètres, il relie Farafangana à Tamatave, ville portuaire constituant son débouché.
Le couteau le ‘’Cilaos’’ viens du cadre majestueux du cirque de Cilaos et du village créole de haute montagne qui est doté d'un charme incomparable et d'un air pur et frais. Il y a quelques années j’ai pu y tester ma condition physique car il y a une montée de plus de 600 mètres puis une descente dans le cirque avec un dénivelé de plus de 400 mètres ! He bien je peux vous dire que cela a été limite mais vous montre très exactement ou vous en êtes !
Et donc moi avec un entrainement journalier tranquille de 2 km de marche et parfois d’un crapahutage les week-end avec ma femme dans les montagnes du Mont-Liban nous sommes prêt physiquement (et psychologiquement aussi, vu le pays…) à faire face au chaos certain à venir.
Cher Jeannot, oui je parlais des moteurs Rolls-Royce de voitures. Je travaillais dans une station essence à Bâle en Suisse dans le quartier des banques avec un grand parking souterrain et il m’arrivait de devoir parfois convoyer une Rolls jusqu’à l’aéroport de Zurich en cas de mauvais temps.
Concernant ‘’l’obsolescence’’ elle n’est heureusement pas encore partout.
<>
Non mon cher, cela existe encore de nos jours ! La preuve ces couteaux.
J’ai perso déjà trouvé plein de sites dans le survivalisme qui ont du super matos increvable dans le temps et dans l’usure ! Mais oui il faut chercher pendant des heures et des jours, mais n’est-ce pas ça le fun ? Je fais quant à moi une liste de ce qui me plait et je l’achète au fur et a mesure et oui mes retex se feront un jour.
Bien reçu Berny et merci d'avance(pour les retex de ces lames,quand le coeur,l'envie ou dieu seul saît,te diras... ),bien à toi,jean.
RépondreSupprimerP.S:"mon cher"...il n'y a aucunement besoin de ces formules de politesses entre nous mais je prend cela comme une marque d'estime,quand bien mm me tompé-je!?!
Bonsoir, Personnellement, je déconseille le glock qui est à la base une baïonnette.Tres bien pour planter la chair, mais il ne possède pas un fort pouvoir de coupe et se desaffûte très facilement. Très mauvais couteau de survie bon qu'à planter quelqu'un, pour le même prix un coldsteel bushman est bien plus polyvalent...
RépondreSupprimerPour ce qui ont le budget c'est vrai que la réputation du ka bar n'est plus à faire, bon couteau multi tâche
bonsoir, j'avais prévu d'acheter un Cold Steel Leatherneck Semper-Fi mais je vois qu'il est conseillé Glock M78, quel est le meilleur des deux svp comme couteau de survie ? (ils ne sont peut être pas fait pour le même usage, je n'y connais pas grand chose). Merci
RépondreSupprimerK BAR COMPANION BK2...très très bon couteau de survie, peut-être même le meilleur.
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