Connaître ses amis, ses ennemis, et les autres...

J'ai découvert récemment un article paru à l'origine sur henrymarkow.com et traduit par Olivier Demeulenaere sur son blog. Peut-être l'avez-vous lu ? Toujours est-il que je l'ai trouvé très pertinent, suffisamment pour en faire écho ici.

L'auteur, qui dit reprendre les propos d'un autre, pense, à juste titre, que la société est possédée par le satanisme. Et par là-même, la majorité de ses membres dit "conformistes" - pauvres victimes égarées - pour qui nous aurions le devoir d'être les exorcistes, en quelque sorte.

J'avoue ne pas être passionné par l'idée de me lancer dans une telle aventure. Voici pourquoi...



(Note : les citations issues de l'article original sont mentionnées entre guillemets).

« Il a été dit que la meilleure façon de juger le caractère d’une personne est d’observer comment elle se comporte sous la pression. Beaucoup de gens tiennent un bon discours, mais tant que vous ne les voyez pas réagir en situation de crise, vous ne les connaissez pas vraiment. Cela est particulièrement évident dans les réactions des gens au canular actuel sur le virus.

Je peux compter sur les doigts d’une main le nombre de personnes que je connais personnellement et qui sont pleinement conscientes que ce qui a commencé comme le Coronavirus - et qui a depuis été étiqueté Covid-19 - n’est rien d’autre qu’un banal virus de la grippe.

D’autre part, je connais littéralement des dizaines de personnes qui croient réellement ce que leur disent les médias menteurs : que le Covid-19 est une sorte de mystérieuse pandémie mortelle qui peut se transmettre d’une personne à l’autre si elles se tiennent à moins de deux mètres l’une de l’autre.

Laissez-moi vous dire très clairement que ces idiots, ces négateurs du Covid-Hoax, sont l’ennemi. Cela peut vous sembler un peu dur. Je vous assure que ce n’est pas le cas. Lorsque le but du jeu est la vaccination forcée et une population micropucée, alors quiconque le soutient de quelque manière que ce soit est vraiment votre ennemi. »

A première lecture, de tels propos pourraient effectivement paraître excessifs. Comment considérer de simples ignorants - soient des victimes du complot - comme des ennemis potentiels, au même titre que ceux qui en sont à l'origine ?

Pour ma part, ils me semblent tout à fait cohérents. Il suffit de voir le nombre de délations que cette "scamdémie" aura entraîné. Dans ma région, les commissariats de police ne répondent même plus au téléphone, débordés qu'ils étaient par les appels incessants de dénonciateurs anonymes ! S'il ne s'agit encore que de verbaliser les victimes, on pourrait imaginer les conséquences dans un contexte de loi martiale ou de guerre. Une histoire pas si lointaine nous en a fourni de nombreux et tristes exemples.

Dans une société totalitaire ou verrouillée à l'extrême, de tels délateurs figureraient sans aucun doute parmi les pires ennemis que l'on pourrait avoir, plus dangereux encore que ses représentants officiels car justement "anonymes". Ce serait des gens ordinaires que vous pourriez côtoyer au quotidien, ou, sans les connaître vraiment, à qui vous auriez simplement parlé un jour et divulgué vos opinions.

Quant aux remarques de l'auteur pour ce qui concerne la réaction des gens en situation de crise, c'est on ne peut plus vrai. Un dicton dit en substance qu'il faut manger une mine de sel avec quelqu'un pour le connaître vraiment (c'est-à-dire discuter jusqu'à ne plus avoir de salive), mais voir la manière dont cette personne réagit sous la pression est plus rapide et tout aussi instructif.

Tous ceux qui ont combattu un jour les armes à la main le savent. Des crâneurs patentés et bodybuildés peuvent s'avérer les pires compagnons d'armes, veules et peureux, lorsque des personnes chétives au premier abord se transformeront en montagnes de courage et de ténacité. Vous ne connaîtrez jamais réellement quelqu'un tant que vous n'aurez pas vécu une situation de vie ou de mort à ses côtés.

" Je ne peux pas croire qu’ils ont gobé le canular du coronavirus. C’est le rhume commun. "

L'auteur de l'article continue :

« Comment pourrait-il en être autrement ? Les citoyens qui sont de connivence avec une force d’invasion sont-ils moins dangereux que la force d’invasion elle-même ? Il est vrai que beaucoup de ces personnes sont des moutons sans cervelle et effrayés, mais cela les absout-il lorsqu’ils ont accès aux mêmes informations que nous tous ?

Mon meilleur conseil est de laisser ces personnes en dehors de votre vie. Ne dépensez pas d’argent dans leurs entreprises. Ne visitez pas leurs sites web. Ne faites pas de publicité pour leurs annonceurs. Ne vous lancez pas dans une discussion avec eux et ne leur envoyez pas de courrier électronique. Ayez affaire à eux le moins qu’il est humainement possible.

Bien sûr, vous pouvez essayer de les éduquer. Vous pouvez leur montrer des faits, des informations et de la science. Mais à mon avis, moins d’un sur mille prendra la peine de regarder les documents que vous leur donnez. C’est dire à quel point ils sont tous stupides.

Quand l’enfer se déchaînera, et cela pourrait être plus tôt que nous ne le pensons, ce sera chacun pour soi. Ces imbéciles de négationnistes pourraient très bien vous entraîner avec eux dans leur chute. Tous ceux qui ont déjà combattu vous diront qu’un mélange de peur et de stupidité est mortel. Une fois que les balles commencent à voler, les gens comme ça ne se font pas seulement tuer, ils font aussi tuer tous ceux qui les entourent. »

Ici, l'auteur donne la raison pour laquelle il est illusoire, et même dangereux, de vouloir convaincre ses semblables de la réalité cachée. Admettons que vous soyez parvenu à convertir une personne sur mille, quel sera le résultat ? Certes, vous aurez peut-être changé la vie de cette personne. Peut-être même que vous l'aurez sauvée. Mais ce faisant, vous en aurez levé 999 contre vous, qui connaissent à présent vos opinions sur le sujet. Suivant le contexte, cela ferait autant de délateurs en puissance, prêts à vous mener à l'abattoir au moindre problème de voisinage.

999 occasions supplémentaires de perdre ce que vous avez, de vous faire enfermer, ou vous condamner à la gégène. Les crises à venir seront suffisamment difficiles et riches d'emmerdes en tout genre sans avoir à en rajouter.

Quant au dernier paragraphe, comment ne pas l'approuver. "Ils font aussi tuer tous ceux qui les entourent", Oh combien vrai ! L'exemple le plus frappant qui me vienne à l'esprit est la récente mort en opération de nos commandos Marine, les MT Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello, deux solides et valeureux gaillards sacrifiés pour extraire deux pédales négationnistes au Burkina Faso.

Deux familles de valeur brisées pour toujours, le chagrin de leurs compagnons d'armes, à cause d'un "couple" de pédérastes partis s'enfiler en Afrique, au mépris du danger. Le négationnisme dans toute son horreur, la stupidité bobo à son paroxysme ; les mêmes gauchistes qui pourraient vous valoir la vie plus tard si vous en côtoyez, ou pire, les prenez sous votre aile.

les MT Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello : le prix du négationnisme.

Il est commun de dire que l'on ne choisit pas sa famille, et je suis pratiquement certain que la majorité de ceux qui me lisent en possèdent quelques exemplaires parmi leurs proches. C'est comme les idiots de villages ; il en faut toujours pour amuser la galerie, et faire prendre conscience aux autres de la chance qu'ils ont. Nul doute que certains choix seront difficiles, mais "Gauchiasse un jour, gauchiasse toujours", quel que soit le lien qui unit. On peut imaginer que des basculements vont s'opérer, sous la pression des événements - "la botte souveraine de la réalité", aimait à dire Lénine - mais en attendant ce jour, mieux vaut s'en tenir éloigné.

La meilleure façon de changer les hommes de façon durable et positive demeure la souffrance. Parce que celle-là, tout le monde la comprend sans qu'il ne soit nécessaire de débattre. Sans doute est-ce la raison profonde aux innombrables calamités qui ont accompagné chaque époque de notre histoire. Le véritable drame n'est pas tant la souffrance elle-même, malgré l'éventuelle pénibilité de ses manifestations. Le drame, c'est que les hommes ne soient pas capables de retenir les leçons.

C'est pourquoi je crois que l'avenir donnera de nouvelles occasions, toutes aussi cruelles les unes que les autres, pour les aider à réfléchir.

Il est possible qu'un certain nombre d'égarés trouvent enfin la voie vers la lumière. Mais il est probable aussi qu'ils le fassent trop tard, à leur dernier instant pour la plupart, ou après avoir fait tuer ceux qui les entourent. S'il s'en trouve qui vous sont chers et que vous voulez absolument aider, alors priez pour eux. Ce sera moins dangereux, et tout aussi efficace sinon plus que de les prendre à vos côtés.

LES IDIOTS SANS CERVELLE

« Si vous êtes jeune et que vous lisez ceci, alors laissez-moi vous dire que les adultes dans votre vie – vos professeurs, conseillers, médecins, tantes et oncles, et, oui, même vos parents – sont presque tous des idiots sans cervelle. Ils en savent assez pour gagner leur vie. Certains d’entre eux sont diplômés d’universités prestigieuses. Certains d’entre eux peuvent même vous aimer. Mais leur comportement pendant cette “crise” vous dit qu’ils sont, très probablement, au mieux des crétins, au pire des traîtres (...)

Les lignes de bataille ont été tracées. Le plan de l’ennemi est clair. Ils vous ont montré exactement ce qu’ils ont l’intention de faire. Ce n’est pas une prophétie lointaine de la fin des temps. Cela se passe ici et maintenant. Vous devez commencer à vous préparer au pire. »

Des propos éclairés, pragmatiques, dignes d'un survivaliste... Voyons ce que l'auteur préconise :

« La première étape est de commencer à économiser de l’argent. Ne dépensez pas un centime de plus pour des conneries frivoles. Avec l’effondrement de l’économie, vous allez avoir besoin de tout ce que vous avez. Vous aurez peut-être besoin d’acheter des armes ou des munitions. Vous aurez peut-être besoin d’opérer au marché noir. Vous aurez peut-être besoin de soudoyer quelqu’un pour vous sauver, vous ou votre famille. Économisez votre argent dès maintenant. »

Ce sont de vrais conseils de bon sens, que l'on ne peut qu'approuver. J'ajouterais que vous pourriez utiliser une partie de cet argent dès à présent pour acquérir les équipements qui vous manquent, et qui risquent de ne plus être disponibles - ou accessibles - à court terme. Achetez maintenant ce dont vous aurez besoin plus tard ; considérez ces fournitures comme autant d'investissements pour l'avenir, et gardez le reste de vos liquidités en lieu sûr.

Je laisse terminer l'auteur, sans rien y ajouter ; c'est juste évident.

« La deuxième étape consiste à commencer à manger aussi sainement que possible, tant qu’il y a encore de la nourriture saine. Débarrassez-vous de tous ces déchets transformés. Ne consommez rien qui se trouve dans une bouteille, une boîte de conserve, un sac, un emballage ou une boîte. Ce n’est pas seulement pour votre corps, c’est aussi pour votre cerveau. Vous allez devoir penser clairement à un moment où le reste de la population panique.

La troisième étape est de faire de l’exercice. Homme ou femme, vous devez commencer à faire des pompes, ainsi que des flexions de jambes, quelque chose pour votre taille, et des tractions, si vous avez accès à une barre. Vous n’avez pas besoin de devenir fanatique et vous n’avez pas besoin de dépenser de l’argent. Ma barre de traction est un tuyau métallique de 2,5 mètres de long que j’ai trouvé dans une ruelle. Il y a un endroit dans ma cuisine où il se trouve parfaitement entre l’étagère supérieure d’une armoire et celle d’une autre armoire. C’est la meilleure barre de traction du monde et elle ne coûte pas un centime.

L’étape 4, et cela devrait vraiment être l’étape 1, consiste à embrasser le catholicisme traditionnel d’avant Vatican II. Si vous ne voulez pas entendre cela, qu’il en soit ainsi, mais c’est mon devoir sacré de vous informer. C’est à vous de choisir. Quelles que soient vos croyances religieuses, il est difficile de nier que ce que nous voyons actuellement est directement tiré de l’Apocalypse 13:16-18 : Et il fera que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, aient une marque sur la main droite ou sur le front. Afin que nul ne puisse acheter ni vendre s’il n’a la marque, le nom de la bête, ou le nombre de son nom. C’est là que réside la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six.

Vous pouvez ne pas croire en Satan et dans les forces du mal. C’est votre choix. Mais les instigateurs du Covid-Hoax, eux, y croient assurément. Et ils agissent en conséquence ».

Mike Stone, henrymakow.com, le 24 avril 2020.

Traduction Olivier Demeulenaere.