C'est en général le premier conseil que les apprentis survivalistes reçoivent de leurs aînés, avant de le propager à leur tour comme un fait évident.
Aujourd'hui, nous allons nous pencher plus en détail sur cette fausse évidence et voir pourquoi, en dépit de la croyance populaire, quitter la ville serait probablement la pire des choses que vous puissiez faire dans une situation de chaos...
C'est une hypothèse qui semble ne souffrir d'aucune discussion dans le milieu survivaliste : les grandes villes vont être un cloaque de désordre et de chaos, une véritable bombe à retardement virtuelle prête à détruire tous ceux qui y vivent.
La stratégie recommandée dans les milieux autorisés serait que chacun épaule son sac d'évacuation, et fuie avec armes et bagages vers l'incontestable nirvana que représente la campagne. Comme si d'une certaine manière, tout allait bien se passer une fois loin de l'effrayante cité...
On pourrait s'interroger sur les causes réelles d'un tel engouement pour la verte au détriment de la ville. Il semble que les survivalistes n'aient retenu que les arguments en faveur de la première, et je pense personnellement qu'ils relèvent davantage du mythe que de la réflexion véritable. A moins que cet attrait ne soit l'expression des frustrations refoulées que ne peut manquer d'éprouver le citadin privé du chant des oiseaux et des faveurs de la fermière...
Voici les 10 meilleures raisons pour lesquelles vous auriez à mon avis plus de chances de vous trouver en sécurité là où vous êtes après un effondrement du système... même si c'est dans une grande ville :
1/ Les stocks
Si vous êtes un survivaliste, vous avez sûrement constitué des stocks de nourriture et fournitures diverses. Peut-être même sont-ils conséquents. Soyons réaliste, quelle quantité de tout cela pourriez-vous emporter dans votre véhicule ou votre sac à dos ? D'autre part, pourquoi faire autant de préparatifs si c'est pour les laisser derrière soi, à la maison, juste quand vous en aurez le plus besoin ?
2/ Les faits
Les derniers conflits européens ont clairement démontré que les zones rurales étaient en réalité beaucoup plus dangereuses que les villes.
Il s'est trouvé deux raisons principales à cela, qui sont 1) Le manque de population, entraînant la difficulté de se regrouper en communautés de défense, et 2) L'absence de relations commerciales entre les personnes, limitant ainsi le renouvellement des stocks.
Le résultat est qu'elles ne pouvaient tout simplement pas se défendre contre leurs agresseurs. A ce sujet, il ressort également que les crimes en zone rurale sont globalement plus violents que ceux perpétrés en ville.
Difficile à concevoir ? Je vous l'accorde. Pourtant, tout cela constitue des faits démontrés par la réalité du terrain, qu'il serait particulièrement irresponsable de ne pas prendre en compte. Il n'est pas question de nier en bloc l'opportunité des BAD, mais il faut aussi reconnaître qu'elles présentent certains risques, qui ne sont pas aussi minimes que les bouquins dédiés au survivalisme le prétendent généralement.
3/ Le lieu de destination
Où comptez-vous aller ? C'est bien beau d’avoir prévu de quitter la ville, mais avez-vous au moins un endroit où aller ? Partir pour s'installer en pleine forêt est une idée plus que stupide, dont nous avons déjà parlé. A moins d'avoir un point de chute à la campagne prêt à vous accueillir et parfaitement aménagé, tout ce que vous allez faire c'est abandonner un abri confortable pour vous enterrer vous et votre famille au milieu de nulle part.
4/ L'union fait la force
Peu importe que vous soyez Rambo en personne et pensiez pouvoir défendre votre position avec une main attachée derrière le dos. Pour ce qui est de la sécurité, c’est le nombre qui fait la différence. Dans un vrai scénario de chaos marqué par l'absence de règles de droit, vous pouvez être sûr que les gens qui n'ont rien vont se regrouper en bandes pour prendre les provisions des autres par la force. Cela a été maintes et maintes fois vérifié lors de catastrophes naturelles à travers le monde.
La seule chance de s’en prémunir est de constituer une communauté de gens animés des mêmes intentions et qui sont prêts à s'entraider. Est-il plus probable que vous trouviez cette communauté parmi vos voisins actuels, ou parmi des groupes soudés d’agriculteurs qui ne vous connaissent pas et vous voient pour la première fois ? Personnellement, je parierais plutôt sur les premiers...
Les conflits que j'ai évoqués ont aussi montré que les proches voisins habitant en ville se regroupaient spontanément pour partager des ressources, se défendre, et même pour embaucher au besoin des gardes du corps privés en mettant leurs moyens en commun (voir à ce sujet "La stratégie du loup solitaire en cas de chaos"). Cette solution me paraît beaucoup plus sûre pour une famille et son chef, plutôt qu’être isolé dans la verte ou en compagnie de parfaits inconnus dans un recoin du pays.
5/ Le danger de se déplacer
Le fait de quitter l’endroit où vous vivez, que ce soit la ville ou la campagne, constitue l’un des plus gros défis sécuritaires que vous pourriez relever. Beaucoup dans le milieu de la survie pensent à l'évacuation comme une solution, mais c’est loin d’être le cas. En fait, cela ne fait qu’augmenter les risques. Bien sûr, si vous disposez d’une BAD aménagée avec un groupe de survivalistes qui vous y attend (ainsi qu'une milice armée pour la défendre), le problème est différent. Une fois que vous y serez, vous pourriez effectivement vous y trouver mieux ou plus en sécurité qu’à votre lieu de départ. Mais encore faut-il que vous puissiez y arriver…
Pendant tout le temps que durera votre trajet, vous allez être complètement exposé, avec une quantité limitée de ressources. A ce stade, vous ne serez toujours qu’un portefeuille / porte-viande ambulant pour tout individu malveillant qui va croiser votre route. Tout ce que vous pourriez chercher dans un endroit éloigné -armes, munitions, équipements - se trouvent déjà chez vous et dans votre voisinage, à portée de main !
Personnellement, je ne verrais pas l’intérêt d’entreprendre un long et périlleux voyage pour me retrouver à un quelconque endroit avec moins de monde.
6/ La connaissance de l'environnement
Connaissez-vous bien la région où vous comptez vous installer ? Si vous êtes comme la plupart des rats de ville, vous connaissez probablement votre quartier comme le fond de votre poche. Tellement bien que vous pourriez vous y aventurer les yeux fermés. Vous savez où se trouvent les fontaines éventuelles, les magasins d’alimentation, les sources d’approvisionnement potentielles, et au besoin, les endroits où vous pourriez vous cacher en dehors de votre domicile.
Vous ne connaîtrez rien de tout cela si vous partez pour un lieu inconnu. La connaissance de son environnement est une chose importante, plus encore dans une situation de chaos. Quantités de batailles ont été gagnées par des peuples envahis grâce à leur maîtrise du terrain, en dépit de forces adverses bien supérieures en nombre ou en équipements. Je préférerais toujours me trouver dans un endroit familier plutôt qu’en terre inconnue.
7/ Le temps pour se préparer
L’avantage énorme que procure le fait de rester sur place est que cela vous permet de préparer dès maintenant l’endroit où vous vivez en vue d’un chaos futur. Essayer de renforcer une position pendant une crise est beaucoup plus difficile qu'en temps de paix. Dès lors, si le chaos vient à s’installer, vous serez prêt à l’affronter.
8/ La restauration de la société
Une apocalypse réelle du style déluge à la Noé n’est pas l’hypothèse que je retiendrais en premier. Même en cas d’évènement grave, l’idée que l’organisation de la société, le gouvernement, les services et les communications ne soient JAMAIS restaurés est pratiquement impossible. L’ordre finira forcément par revenir et petit à petit, la vie retournera à une certaine normalité, même avec un niveau de technicité beaucoup moins élevé.
Quels sont les endroits qui "récupéreront" le plus vite ? L’expérience a montré que les villes retrouvaient plus rapidement leurs infrastructures après des guerres ou des catastrophes naturelles. Si votre but est de vite oublier les temps difficiles, alors vous aurez à attendre davantage si vous vivez à la campagne (dans l’hypothèse où nous serions encore en vie, bien entendu...)
9/ La terre est privée
La plupart des survivalistes justifient une base de survie en campagne sous prétexte que cette dernière offre beaucoup plus de ressources par rapport à la ville. Cela pourrait être vrai bien qu’à mon avis, l’idée soit très contestable. Mais même si cela est exact, cela ne signifie pas que ces ressources seront vôtres. Ne croyez pas que vous allez prendre la tangente dans la verte, et commencer à labourer le champ d’un fermier, pêcher et chasser sur ses terres en toute quiétude.
Les gens de la campagne défendent ce qui leur appartient ; ils sont fiers, possèdent des armes, connaissent parfaitement leur domaine et sont habitués à le défendre. Il est tout à fait déraisonnable de penser que juste parce que la campagne dispose de ressources, vous allez pouvoir y mettre la main dessus.
10/ Un plan pour le départ
L’idée d’évacuer est tout à fait valable dans certaines situations, et nous aurons l’occasion d’y revenir. Si votre habitat a été définitivement compromis, s’il n’est plus sécurisé, ou que le risque d’y rester est plus grand que celui de le quitter, alors vous devez partir. J’espère seulement que vous aurez établi un plan en vue de cette éventualité...
A présent, mettons les choses au clair. Les raisons que je viens d’énoncer ne signifient absolument pas qu’une résidence en ville est plus opportune en cas d’effondrement du système qu’une base à la campagne qui disposerait de ses propres terres et ressources. Si vous en êtes au stade de choisir un lieu dans l’idée d’en faire une retraite pour les temps difficiles, alors choisissez-le en dehors d'une grande ville, ou du moins dans un environnement qui se situe quelque part entre la zone très rurale et le village ou la petite ville.
Vous serez probablement moins soumis aux règles et aux excès de règlements, et disposerez de plus de privacité dans vos affaires. Vous aurez plus de liberté pour aménager des systèmes autonomes tels que jardin potager, récupération d’eau de pluie, énergies alternatives, réserves de gibiers et de poissons, élevage, etc. Tout cela vaut de l’or dans un scénario de chaos, à condition de pouvoir le défendre...
Cependant, les systèmes que je viens d'énoncer demandent du temps pour être mis en place.Vous ne pouvez pas choisir un mode de vie citadin, et au moment où survient un désastre, vous improviser soudainement gentleman farmer en disant : "Tiens, la campagne serait pas mal, allons voir ce qui s’y passe…". Certainement pas. Lorsque les lumières vont s’éteindre, vous devrez faire avec ce que vous avez là où vous êtes, ce qui est le sujet principal de cet article.
Le point important à se rappeler lorsqu'il s’agit d’évacuer à partir d’une ville ou d’une situation en particulier est que TOUT est lié à cette situation. C’est bien de tirer des plans sur la comète et de se préparer, mais comme le dit le dicton : "Le meilleur plan ne tient jamais au contact de l’ennemi". On peut essayer de planifier autant que l’on peut, mais on ne saura jamais ce qu’il adviendra lorsque le chaos va frapper à notre porte.
Tout désastre porte en lui son lot de spécificités, et chaque personne est différente. Nous vivons à des endroits différents, en compagnie de familles et de communautés différentes. Le plan qui me conviendrait le mieux pourrait ne pas être le meilleur pour vous, ce qui rend sans fin le débat classique lié à l’opportunité d’évacuer.
Rester là où l’on se trouve est presque toujours la meilleure solution, ce qui ne signifie pas pour autant que cela ne puisse pas changer au cours d’une situation de chaos. Planifiez de rester là où vous êtes, aménagez cet endroit, et tenez-vous prêt à évacuer si nécessaire. Mais au-delà de tout ce qui vient d’être dit, restez conscient et ne vous laissez pas mener en bateau par la mode commerciale du "Bug-Out-Bag".
Mon but n'est pas de vous convaincre de rester en ville, en vous listant ses avantages éventuels par rapport à la campagne. Certainement pas. Mais plutôt de vous inviter à aller au-delà des apparences, ou des idées communément admises dans le milieu du survivalisme. D'une façon générale, c'est le but de ce blog, à travers ses différents articles.
La notion d’évacuation ne devrait occuper qu’une place secondaire dans le débat. Etre un survivaliste signifie avant tout être autonome, y compris pour ceux qui vivent dans une grande cité. Si tel est le cas, mettez sur pied votre propre version urbaine d’approvisionnement en eau et nourriture, et si le chaos frappe un jour à votre porte, réfléchissez à deux fois avant de quitter la maison…
D accord avec l article.
RépondreSupprimerJe vis en campagne, mais a 50 km d une grande ville. En cas de chaos, je sais que les bandes viendront voler mes poules. Je me prepare donc des plans d évacuations dans la foret. J y resterais avec ma famille le temps que la razzia soit terminé.
Pendant la guerre de cent ans, les paysans a l approche des grandes compagnies, fuyaient en foret. Le jour ils labouraient la terre, la nuit ils dormaient sous les arbres.
Bien sur les champs de céréales, de patates, devront être beaucoup plus petit.
- Plus de tracteur pour les entretenir.
- Rester discret pour ne pas être recolté par les pilleurs.
KL42
salut à toutes et à tous ,c'est clair,kl42,bien d'accord avec toi, petites surfaces arables,et le +possibles loin des routes mais le mieux selon moi,bien entendu,avec l'accord de ses potes et/ou voisins,coupures des voies traditionnelles (routes nationnales...etc,1 ptite mine ou 2)de liaisons et surveillance accrues des voies secondaires.tu sais ,des ptites parcelles en foret c pas mal:défrichage,donc bois pour bruler et parcelles invisibles sauf du ciel donc cool question pillards et raclures en tout genres!et en +pour les truffes(patates?!?)t tranquilles en foret,pas de dorifores!!!lLPN26
SupprimerResté planqué
SupprimerEviter autant se peu la bagarre. Des guetteurs, avec un bon cor pour prévenir les gens que des étrangers arrivent. Dans la bagarre on peut être blesser, et sans antibiotiques, vos chances de survies sont faibles.
Les zombies disparaitront car
1 ils ne savent pas cultivé la terre.
2 ils sont l intelligences d une huitres, le raisonnement d une poule pondonneuse
KL42.
" Les chiens mangent les chiens en cas de famine....."
SupprimerBravo pour un exposé qui coupe court à toute vélléité fuitesque. Hormis le bombardement du quartier ou l'imminence d'un tsunami voire un incendie gigantesque, rien n'oblige à quitter ses biens. Abandonner ses biens, c'est ce qui s'est passé pour les Pieds-noirs. Quand ils sont revenus, les "gentils voisins" étaient dans la place, tout en douceur et tout en illégalité.
RépondreSupprimerSouvent ils vaut mieux investir dans un fusil que dans un 4x4.
Et comme dit de juste dans cet article, piquer la terre d'un autre alors qu'on se fait piquer tout son bien, c'est pas rentable.
Olala ! Article qui ne laisse pas indifférent, surtout quand on a vécu 45 ans en Ile de France.
RépondreSupprimerJe vais donner mon avis d’ancien banlieusard en essayant de faire court, et surtout vous dire que ville ou pas ville, tout ceci ne dépend en fait que d’un critère…
Je ne sais pas qui a écrit qu’en cas de chaos la première chose à faire était de quitter précipitamment sa grande ville, mais je ne l’ai pas beaucoup lu. J’ai plutôt vu qu’il fallait surtout partir AVANT que la merde n’arrive.
Abordons maintenant le fond du problème, LE critère qui doit faire la différence entre urbanisme à perte d’horizon ou petit village :
Si une guerre civile nous tombe vraiment sur le pif, elle sera forcément sur fond de communautarisme. Seuls quelques Occidentaux encore adeptes des effets de manche de Hollande 1er persistent dans un déni inepte, celui de ne pas croire que les communautés vont un jour se foutre sur la gueule en France !
J’ai vécu 45 ans dans le 93, département aujourd’hui peuplé à 90% d’Africains et de Roms, et je ne donne pas chère de la peau des 10% d’Occidentaux qui y sont encore, en cas de guerre civile. Si cette dernière survient, je n’escompte pas que cette minorité y survive longtemps, et ce quels que soit ses stocks !
Donc, retenez surtout que la dualité ville / campagne est un faux problème. Pourquoi ?
Parce que, fuir ou pas une grande ville / banlieue, ça veut dire quoi ? La réponse n’est pas la même suivant à qui on s’adresse. La base de survie en cas de merde générale, en France et dans un avenir proche, étant de ne pas être isolé au milieu d’une population hypothétiquement hostile, est donc de rejoindre sa communauté. Je dirais, très grossièrement, que pour un Africain sub-saharien, il vaut mieux être au nord de Paris et dans le 93, pour un arabo-musulman, il vaut mieux être dans Paris / Marseille / Lyon / Lille, Tourcoing, Roubaix, l’Ile de France, l’Alsace, etc. bref là ou leur communauté est déjà très présente, et pour un Occidental… et bien, même principe.
En conséquence, si vous êtes au sein de votre communauté, restez dans votre ville. Si vous êtes isolé en campagne, perdu parmi le 10% de minorité, peu importe votre appartenance, fuyez avant !
Voilà pourquoi je ne suis pas en accord avec le titre du sujet. J’aurais plutôt aimé y lire :
10 raisons de rester chez soi en cas de chaos
Pour finir, communautés mises à part, en cas de chaos, les endroits trop peuplés sont autant de sources de conflits, et les fermes isolées des proies trop faciles. Le meilleur des endroits est une petite ville d’une population de 5000 à 10 000 habitants, à la louche.
Et puis ne vous basez pas trop sur les anciens conflits européens ; ce qui va arriver ne ressemblera à rien de ce que l’Occident a connu !
Salut Rhonan,
SupprimerVotre commentaire est très pertinent et rejoint totalement mon avis personnel. Je dois vous avouer qu'une fois l'article publié, je me suis rendu compte comme vous qu'il aurait été beaucoup pertinent de le titrer de la manière que vous évoquez, à savoir "10 raisons de rester chez soi en cas de chaos".
Mea culpa donc pour ce qui est du titre... Ce qui n'enlève rien, je crois, au contenu de l'article en lui-même :)
Amitiés à tous
Bonjour,
SupprimerVous êtes quelqu'un qui a la tête sur les épaules et sur qui j'aurais aimé compter en cas de guerre civile... qui prends forme de jour en jour. Votre blog et vos écris en témoignent.
Vous êtes ce que j'appelle un Citoyen-Soldat.
Malheureusement, il y a au moins 800 km de distance entre-nous et, quand la merde surviendra, il y aura une bonne centaine de frontières qui nous sépareront...
Bref, les compliments font toujours du bien, et mieux vaut les allouer avant que je ne le puisse plus. Pour vous donner un point de repère par rapport à l’intérêt que je porte à votre blog, il fait parti des deux que je suis, l'autre étant "Le Survivaliste", de Volwest.
Tout ça pour dire que votre article, oui, est de qualité. Et on n'en espère pas moins de vous. ;-)
Ayant fait trois fois l'ex-Yougoslavie je confirme:
SupprimerLes gens se regroupent par ethnies , raciales ,religieuses et communautaire mêmme les majorités pacifiques qui deviennent proies des minorités violentes. Les couples "mixtes" ( exemple Bosniaque et Serbe chacun gardant sa religion) devaient pûremment et simplement quitter le pays...un Serbe m'a dit un jour sur Igman " Dans quelques années vous aurez la mêmme chose qu'içi puissance dix, je viendrai peut être faire de l'interposition chez toi ..." Et ça s'approche, donc avoir un groupe "en sommeil" prêt à en mesure de...moi c'est fait. Ave
hello,
RépondreSupprimermerci encore une fois pour cette article qui sort des sentiers battus (si j ose m exprimer ainsi).
comme à l habitude, les commentaire sont aussi de qualités et je ne peux m empecher de rebondir sur cela:
le point n°9 est a prendre en consideration de manière importante! habitant dans une village dans les alpes suisse (7000 habitants env.) je peux vous dire que vous etes dans le juste! on ce querellent parfois fusil à la main (vielle traditions quand tu nous tiens...) parfois aussi fusil à la main quand les gosses jouent au foot dans les champs, histoire de leur faire peur... MAIS CELA RESTE COURTOIS et qui plus est il n y a jamais eu d incident à ces pratiques!
mais je ne suis pas sur que si un ou des inconnus surgirai cela serai aussi le cas...?!?
bref merci encore pour votre blog et ses points de vue que je ne vois pas ailleurs :-)
Survivalisme urbain en temps de paix...
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=jTiKGkKmaDQ
Cordialement,
Edifiant... Et c'est en temps de paix et de normalité, effectivement...
SupprimerWerner88
Encore un très bon article ,effectivement rien de ce que l'on prévoit ne se réalise vraiment complètement dans la vie normale,tout n'est que succession d'avancées suivies de reculades.En fait , c'est comme si vous étiez aux commandes d'un navire dont le gouvernail fonctionne de façon en partie aléatoire,raison de plus pour se préparer et d'abord dans sa tête ,cela n'évite pas le choc ,il est accepté , donc plus facilement supporté ,le coup qui vous met Ko est celui que vous n'avez pas vu venir.Alors peut importe le lieu ,le meilleur sera celui ou vous vous sentez comme un poisson dans l'eau et ne diminuera pas votre potentiel.Préparez un éventuel départ ne se fait pas à la va vite même en disposant de moyens financiers importants,c'est choisir une autre manière de vivre à laquelle vos proches doivent adhérer.Beaucoup de ceux qui à l'époque hyppie sont partis vers le Larzac ont très vite déchanté faute d'avoir compris qu'elle était la réalité sur place.Les nuages s'amoncellent ,il semblerait que la situation est de plus en plus économiquement critique quoique en dise l'Agence Française de Propagande (A F P ) et c'est parmi tout les prémices le plus probable et qui sera le déclencheur de tout les autres,pour l'instant les vacances occultent tout le reste ,rendez vous en Novembre et bon courage Phoenix
RépondreSupprimerSi cet article et son chapitre 7 rè(ai)sonne en vous mais que vous soyez obligés malgré tout de migrer de ou vers la vile ou de ou vers la campagne quand le ventilo deviendra bruyant et puant, prenez dès maintenant des contacts.
RépondreSupprimerEn peu de mots:
-" Établissez vous en réseau, réseau d'entraide, d'information, d'échanges, reliez votre réseau citadin à un réseau rural"
Vous pouvez le faire par l'intermédiaire de l'article pour se localiser.
"Tard" c'est souvent "trop tard".
Gibus
.
Ceux qui ont fait la Yougoslavie vont tilter de suite, j'ai été très impressionné par les meutes de chien sauvage, leurs grands nombres,on tiraient régulièrement dessus au famas tellement ça teste sans se fatiguer, faudra pas laisser vos enfants sans protection, les armes servaient plus a chasser les bêtes qu'un ennemi potentiel, la nature reprend vite du terrain. !
RépondreSupprimerLe jour, ça va encore, mais dès la tombée de la nuit, c'est bipèdes et quadrupèdes dont il faut se méfier, l'ambiance n'est pas la même.
SupprimerPauvres chiens, nous ne parlons pas assez de la misère animale !
SupprimerN°1 bonjour a tous avant toute chose
RépondreSupprimerje tien a m'exuser pour mon pitoyable français mais nous somme la pour la survie et pas dans une dictée avec maitre Capello sourire
donc 1000 excuses
Merci a toi Mr pierre Templar pour le travail que tu fais sur le theme de la survie même si je ne suis pas d'accord avec toi dans le faite de rester en ville en cas de conflits armée !
peux étre que mon expérience pérsonnel dont
je ne débattrai pas ici ne me fait douter de cela, je voudrais juste montré ce qu'est un conflis armé en milieux urbain ( ville ) par une petite vidéo d'un conflit récent d'une ville de 2000 habitants qui et détruite a 98% ou lon ne voi que ruine cadavres de combatant mais pas de civile car tous parti dans la verte sourire car pas de survie possible dans les villes en combat urbain surtout de nos jour ou la politique militaire et de frappé d'abord la population civile dans les ville pour sapé le morale de la resistance et de contenir ou d'asservir les civile par la suprétion des soins hospiteaux docteur officine de suprimé le traitement des eaux de de sa distribusion ,de l'éléctricité et du gaz de suprimé les radiot emétrice pour que la ville soit coupé du monde et de détruire toute les infrastructure de vie dans se concept
Bonjour Igor et merci de votre participation.
SupprimerLes horreurs montrées dans la vidéo résultent de conflits militaires conventionnels et de l'emploi des armes qui vont avec (mines, explosifs, etc.) A moins que notre pays soit envahi par des forces armées étrangères, je ne crois pas que de telles choses se produisent.
Ce que je veux dire, c'est qu'une famille seule ne serait pas plus en sécurité dans la verte, pour toutes les raisons énoncées dans cet article. Cela ne veux pas dire non plus qu'une grande métropole soit plus sécuritaire, mais je reste persuadé que vivre dans un village ou une petite agglomération reste l'une des options les plus sures.
Ceci étant dit, il est entendu que notre préparation et nos choix du moment seront d'une importance capitale.
Pour ce qui est de la seconde partie de votre message, il rappelle à juste titre les horreurs du chaos que j'ai évoquées à plusieurs reprises dans mes différents articles.
Avec mes amitiés.
Bonsoir,
SupprimerAutant une petite agglo de 10 à 20 mille habitants est défendable, autant un petit village le serait moins. La raison est simple: le nombre d'assaillants nécessaires pour enlever la place.
De plus, la petitesse de la structure à défendre empêche une grande mobilité des défenseurs qui, une fois spottés, servent de cible fixe.
En cas de chaos, je suppose que les RPG seront dispos chez Casto, dûment accompagnés par du lance patate en 7,62 ou plus. Pas beaucoup de murs ne tiendront longtemps avec ça.
J'ajoute qu'un village ou une ville présente différentes formes: village rue, concentrique, resserré, lâche.
Il peut se situer en plaine, en creux de vallée, sur crête ou éperon.
Ca implique pas mal de paramètres.
Je suis parfaitement d'accord avec vous sur cet article, je cherche cependant les failles en apportant des angles de réflexion autres, de manière à relancer de manière constructive le sujet.
Bien entendu, je m'inspire de situations que l'on peut voir en Libye ou Syrie pour asseoir mon propos.
N°2 je doute que une milice même armé et volontaire puisse faire face , de plus une famille avec des femmes et enfants même si les femmes peuvent se revélé d'exellent combatent sourire ceci a condition de ne pas avoir d'anfant dans les jambes il faut savoir que un pilonage systématique des villes sont de mise dans un combat urbin en plus dans un conflis il n'y a plus de régle rapine, turie, viole, soumition toute les exation existe en l'homme et font surface dans c'est moment là, tout devient un moyen de survie a se moment là, les choix de vie ou de survie seront autre. perssonne n'apliquera les voie que l'ont connaissent sagesse,
RépondreSupprimerrespéct des autre, entraide. Sourire dans un conteste de survie urbéne il ni que une seule loi ( MOI d'abord ) bien sur mes propose son criticable sourire mais ceux qui ont connuent des conflis armé dans une ville savent de quoi je parle !!! la survie dans une ville surtout avec une famille des enfants ,des anciens ,des infirmes , des malades , devient une stupidité c'est en ville qu'il y a des combats rarement dans la verte mais chacun a le droit au choix de l'endroit de sa survie mais en ville vous aurez a faire des choix dans l'instanté
vous n'aurez pas le temps de refléchir si vous avez un andicape , c' est la fin si vous avec une faiblesse c'est la fin ,n'oublier pas que après quelque jours il ni aura plus rien plus d'eaux plus de nouriture plus d'éléctricité plus de gaz plus de carburant et il ne sera plus possible a se moment là de quitté votre ville je rapelle que le mot survie et un mot qui veux dire pour un bref moment mais que il faut surtout se préparé a vivre ensuite a recomencé et en ville sa ne sera pas possible au bout de 15 jours les cadavres contamienront l'eau , et l'air deviendra iréspirable et les maladie ravageront les peux de survivans qui seront tellement afaiblient qu' ils ne resisterons pas bon se que je dis bien sur n'engage que moi et je n'est pas de prétention de solution car il n' y a pas en faite la survie n'est qu' une question de choix du momment certain vive d'autre ne le pourons pas la chance et l' entrainement c'est 50 % de la survie les autres 50% c'est juste le bon choix au bon moment de chaque instant voila se n'es que mon avis je rapelle que en temps de guerre chaque personne qui sera prix a voler, a tuer ou a sortir armé sera abatuent a vue , bon je ne remets pas en cause les écris de PIerre loin de la sa peux étre une solution dans certain cas mais qui peux dire ? mais au vue des conflis actuelle je doute de la pértinence de la survie en milieux urbin de plus se qui sera la destiné de cette ville ne sera sans doute pas la même dans une autre je pense que il faut d'abord de préparé a quitté les lieux de conflis donc les villes et centre névralgique et voir attendre et decidé de la suite car c'est plus facile loin des combats voila sourire ! amitier ( https://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=9uqIG3wNL68
Bonjour Igor,
SupprimerDéjà, je tiens à vous féliciter pour votre Français. Passer du Russes à notre langue latine ne doit pas être facile.
Votre vidéo est… comment dire. C’est Conan le barbare, après l’attaque du village. Il ne reste plus rien ; que des cadavres mutilés. Âmes sensibles s’abstenir. Et en même temps c’est une cruauté obligatoire pour des Européens de l’ouest, surprotégés et couvés par des médias censurés, qui n’ont jamais vu ni connu l’horreur d’un chaos pourtant annoncé.
On aimerait que ce genre de chose n’arrive jamais, mais il semble que l’avenir nous réserve une guerre civile pandémique en Occident, alors autant s’y préparer.
Je suis entièrement d’accord avec vos propos, même si une guerre civile, très probable en France, sera différente du conflit en Tchétchénie. Toutes les villes d’importance en France sont minées par le communautarisme, donc aucune d’elles ne sera épargnée par le chaos. Je partage votre idée que la ville, je parle surtout de tout ce qui dépasse 20 000 habitants, est source d’ennuis ; je rappelle qu’une ferme trop isolée n’est pas bon non plus. Pour ma part, j’ai déménagé dans une petite ville de 4600 habitants ; parfait pour moi. Et je suis entouré de ma communauté, ce qui n’est pas rien non plus.
Vous vivez en France, Igor, donc vous savez que chez nous le déclin identitaire est plus grave que le déclin économique, même si notre République décadente censure toutes informations.
Vos propos semblent cacher une certaine expérience. Vous semblez apprécier le combat rapproché ? Un rapport avec la Légion Etrangère ? Vous êtes Légionnaire ?
Pierre Templar, je le dis sans trop m’avancer, accepte les rédacteurs, surtout s’ils ont une expérience, un réel vécu en rapport avec la survie, une guerre civile, conflit urbain, etc. En tout cas, je suis certain que beaucoup de lecteurs, moi y compris, seraient intéressé par un témoignage du terrain. Et n’oubliez pas de raconter le moindre détail d’une journée ordinaire de conflit : la vérité se cache dans les détails.
Bon courage,
Très intéressante video, toutefois, je crois qu'on a affaire à un assaut avec des moyens conséquents, voire un siège sur un village: Pas d'évacuation des corps qui n'ont plus l'air très frais (le climat n'est pas caniculaire). Est-ce les troupes de première ligne qui filment où tout est joué depuis longtemps? Les combattants n'ont pas l'air incommodés par l'odeur, un truc qui ne s'oublie pas. Ils ont l'air relax comme dans un périmètre sécurisé. En général, dans ces situations, les civils sont partis depuis longtemps.
SupprimerDe toute évidence, c'est une scène de guerre et non pas de guerre civile, y a qu'à voir l'arsenal mis à jour (les victimes ici sont largement aidées par l'extérieur et équipées comme une armée), je fais pas de dessin.
On a peu de chance de voir ça chez nous, à moins que des "volontaires étrangers" soient aussi de la partie.
Très bien, ça montre que nous aussi, on peut faire mal à l'ennemi.
Re-bonjour Igor,
SupprimerSans doute n’êtes-vous pas Légionnaire, en fait. Mais je constate que vous êtes très lié à un art martial spécifique :
Systema ("Система")
Art martial Russe traditionnel, voire Cosaque, basé sur la survie, la respiration en étant un principe de base. Jadis réservé aux troupes d'élite, il est aujourd'hui ouvert à tous. C'est un art de survie.
Pour ceux, comme moi, qui ne connaissent pas :
http://www.youtube.com/watch?v=aOthwbKlxJY
Très intéressant :-)
hahaha salut Rhonan que de question a mon sujet que bien sur je ne répondré pas la sur un site je nétale pas ma vie sur le net je parle de si de la sourire mais si tu veux donne moi ton mail tu a deja le mien on papotra sourire !! amitier
SupprimerWoah excellent cet article. Je ne suis pas forcément calé en survivalisme (j'entend par là "survivre au chaos" ;-) mais effectivement les arguments sont très valables et vous m'avez conquis quant à la logique de rester en milieu urbain. J'espère quand même que l'on arrivera pas à ces extrêmes!
RépondreSupprimerSpassiba tovaritch ! tout sera une question de circonstances ... les mieux organisés , les plus jeunes en bonne santé , auront plus de chance de s'en tirer ... restera les autres , moins résistants , plus vieux , les malades chroniques , les très jeunes enfants ... pas simple tout ça . Il y aura de la casse ( hôpitaux ! EHPAD etc...) pas joli joli . Perso , comme je n'ai plus où aller , " moi rester Maison " , avec vivres , eau , médocs , armes . De quoi tenir ... pas indéfiniment ! qui le pourrait ? après ? on verra bien , survivre déjà aux premières semaines n'est pas gagné ! pour la suite " QUI VIVRA VERRA " ! ça n'aura jamais été aussi juste . ( Chibani )
RépondreSupprimerpour éviter de fuir la ville alors autant habiter à la campagne dès maintenant.
RépondreSupprimerla ville est bourrée de zombies et même avec une bonne volonté la plupart de ses habitants ne se sont jamais intéressés aux affres de la culture des légumes ou de l'élevage animalier, même si à court termes et ce tant que les stocks et approvisionnements alimentaires seront disponibles tout ira quand même, que se passera il quand ses habitants n'auront pas mangé depuis trois jours, lavé depuis plusieurs semaines ou changés de vêtements depuis un mois?
il pilleront,.........
quitter son domicile est la dernière des choses à faire car risquée certes.......mais quand on est condamné à mourir de faim chez soi on réfléchis à deux fois et on tente le tout pour le tout on pars avec ce que l'on à.....
pour éviter cela il vaut mieux de toute évidence et dans l'esprit survivaliste en quête d'autonomie habiter dors et déja en campagne ou en ville en disposant d'un terrain cultivable.
nos zombis, n'attaqueront que quand ils seront sur d'avoir le dessus, le passé est notre témoin, à un contre un ils n'ont aucun courage, alors qu'a dix contre uns ils se sentent forts.
RépondreSupprimerla première étape est d'être plus nombreux chez nous en se mixant avec la population locale tout en imposant leurs convictions et leurs points de vues et surtout pas le contraire.
deuxième étape occuper le maximum de places dirigeantes chez nous au besoin jouer sur le culpabilisme lattant de nos élites bobos.
troisièmement: grace à la propagande commencer à modifier les lois et coutumes,( lieux publiques, alimentations (cantines), coutumes ancestrales (fête de noel débatisée fête de l'hiver pour ne pas choquer), tout est prétexte à coloniser et pas à s'intégrer.
quatrième étape: s'enrichir en exploitant le système à outrance quitte à ce qu'il s'ecroule: sécurité sociale (médicaments remboursés et vendus à "la famille en vacances", allocation familiale, travail au black, exploitations diverses.
cinquième étape: coup d'etat par les urnes afin d'imposer la zombification à tous, si cela ne marche pas revendications des territoires zombis par la force avec l'aide de volontaires étrangers au nom du très haut.
malheureusement notre avenir est funestes et cela a cause de la permissivité de nos dirigeants ayant peur du quand dira t'on et de leurs ombres, nous aurions du depuis bien longtemps prendre exemple sur les pays d'outre atlantique qui n'ont pas peur de leur politique menée ou de leur décisions au regard de la société qui d'ailleurs les soutiens
Il y a d'affreux petits zombis qui reviennent du fond de la Méditerranée avec plein d'images de vierges et de massacres dans les yeux et le cœur.
SupprimerCeux là vont faire des émules et sembleront se multiplier à une vitesse exponentielle quand le "système de générosité" prendra fin pour cause de pénurie financière, de dettes excessives, de banques en faillites et d'état à l'arrêt.
Et puis aussi tous ceux qui rêvent d'en découdre, ainsi que ceux qui pensent compenser des frustrations diverses emmagasinées et empilées depuis toutes ces années de foutage de gueule de classes politiques parasites et en fin de compte mortifères, les ceusses comme ceci et les ceusses comme cela!
En fin de compte, les premiers temps et les premiers chocs vont être rudes et la suite guère plus joyeuse.
C'est maintenant qu'il faut s'assembler.
"Tard" c'est souvent trop tard.
la 11ème raison de rester en ville ? ... c'est avec la blonde en photo ! :-)
RépondreSupprimersalut,
RépondreSupprimerje n'ai jamais supporter la ville, suis agoraphobe, rien n'y personne ne fera que j'y mette les pieds, mon élément premier est le Sahara oû j'ai grandi, je me sens plus capable de survivre en espace naturel .
cordialement
Bonjour,
RépondreSupprimerIl faudrait expliciter ce que l'on entend par "ville" dans l'article. Est-ce une une ville comme Paris, Lyon, Lille ou Marseille... ou bien une ville de 2000 habitants dans la creuse?
Il n'y a rien, absolument rien de commun entre une agglomération d'un million d'habitants et un village dans la campagne...
Une fois cette différence faite, il faut voir exactement ce que l'on vise: la survie ou l'autonomie.
Une chose est certaine, les villes sont depuis toujours dépendantes des campagnes pour la nourriture.
Si l'on vise l'autonomie, il faut s'installer impérativement en campagne avec suffisamment de place pour un potager et un poulailler.
Si l'on vise la survie, tous les lieux sont effectivement possibles, a condition de se transformer régulièrement en prédateur.
En tout cas, bravo pour ce site.
Quand on parle de la dangerosité de vivre en ville, en cas de guerre civile, je préfère prendre l'exemple des deux proches de chez moi : Arras et Douai, chacune environ 40 000 habitants. Pour moi c'est déjà trop.
SupprimerIl n'y a pas de chiffre précis, et on pourrait discuter 1 siècle sur la parfaite taille d'une ville pas trop petite pour être sécurisée mais trop grande pour ne pas devenir le Rwanda. Je fixe personnellement le seuil d'un lieu propice entre 3000 et 9000 habitants.
Suffisamment peuplée pour former une milice ou groupe d’autodéfense en cas de nécessité, mais pas trop de sorte de connaitre tout le monde, de former un clan et repérer de suite les étrangers.
Et facile de s'en échapper au cas où.
Pas besoin d’être un baroudeur ni un survivant du conflit Yougoslave pour comprendre que des mégalopoles comme Paris-Ile-de-France (14 millions d’habitants ! Ouch !), Le grand Lyon (1.4 million), Lille (1.2 million), Marseille (1 million) seront des pièges à rats ; ça l’est déjà, d’ailleurs.
Après, je ne vais pas reparler de la spécificité du déclin français, dont le déclin identitaire est plus important que son cousin économique, et que c’est surtout cela qui pourrait être la cause d’une guerre civile. Juste pour préciser qu’en dehors de la taille d’une ville, il faut aussi tenir compte de la communauté à laquelle on appartient.
salut,
Supprimerexactement, comme on se doit d'être explicite et définir à quelles conditions de survie on se doit de faire face, centrale nucléaire qui pète un plomb, météorite, guérilla, émeutes, guerres civile.....etc ?
cordialement
et pourquoi pas imaginer le lot complet ?
SupprimerPour ce qui est de la ville idéale pour la défense, je garde plusieurs souvenirs d'un voyage en Andalousie ou j'ai pu visiter l'un des dits "villages blancs", qui m'ont l'air très intéressants d'un point de vue d'une stratégie défensive : terrain escarpé, innombrables rues/ruelles que les habitants connaissent comme leur poche, parfois des souterrains, peu d'espaces ouverts, idéal pour une guérilla à mon sens.
SupprimerCertains arguments sont très pertinents, je n'y avais pas pensé mais la menace à fuir ou à combattre est sans doute déterminante dans le choix de la destination : on ira pas à la ville et à la campagne pour les mêmes raisons. Je ne pensais pas cependant que la ville avait tant de potentiel, d'ailleurs ces possibilités de planque sont supérieures pour le point 6 notamment avec les réseaux souterrains : égouts, catacombes... L'essentiel étant, bien sûr, de ne pas céder à la panique et de réfléchir vite et bien que l'on soit seul ou en groupe.
RépondreSupprimerpourquoi l'Arabie saoudite a t'elle commandé 16 centrales nucléaires a la Russie ? ils ont suffisamment de pétrole pour produire de l'électricité ou prennent ils les devants d'une pénurie prochaine,a moins qu'ils cherchent a devenir une puissance atomique ?
RépondreSupprimerPuissance atomique, ce n'est pas aussi simple.
SupprimerMais il est certain que le pic pétrolier à été atteint et que le pétrole en est à sa phase descendante. L'Arabie Saoudite à des stocks, certes, mais pour combien d'années ?
Le pétrole pas cher a encore 20 ans devant lui, à la louche.
L'Arabie Saoudite, peut être 30 ans de stock. Et après ?
Comme vous le voyez, même si la crise actuelle identitaire / économique ne frappe pas la France aujourd'hui, le pétrole hors de prix le fera assurément dans 20-25 ans...
Crise mondiale, celle-là. La production de nourriture sera touchée. Le transport aussi... J'ose à peine imaginer le chaos en Afrique et les vagues migratoires... Oh yo yo...
mon cher Rhonan si le pic pétrolier a été atteint c'est bien avant 20 ans que nous en subirons les conséquences ,par sa raréfaction relative les prix augmenteront rapidement rendant illusoire les .......départs en vacances et autres babioles vers les montagnes enneigées et les voyages en jet pour "faire le Maroc ou la Thaïlande" .L'avenir sera local sans fraises d'Afrique du Sud a Noël . La guerre pour s'approprier les énergies a commencé :Libye (petrole)Irak pétrole,Syrie (gaz)Gaza (gaz)Ukraine (gaz et place stratégique)etc etc etc etc n'oubliez pas que dans le grand silence des médias 2000 clandestins venant d'afrique , comme les ex boats people débarquent en Italie chaque SEMAINE aidés par la marine Italienne qui demande maintenant l'aide financière de L'Europe.Le processus est bien enclenché et il n'y aura pas que la nourriture de touchée loin de là ce sera la totalité de tout les biens sans exeption aucune.Cordialement.Phoënix
RépondreSupprimerSalut à toutes et à tous,LE PETROLE?!?Vu la tournure des choses:Irak(pétrole),Ukraine(gaz russe),sahara(pétrole et gaz),je crois qu'il faut que tu arretes de fumer du romarin,Rhonan,dans quel monde tu vis???Avec toi,tout le monde il est beau,tout le monde il est gentil...(spéciale dédicace à" l'ami"Igor...)....?!?20 ans d'approvisionnement...tu reves,6 mois pas +,à mon humble avis, vu le merdier actuel.Moi, je vous le dit,CA VA PAS LE FAIRE!!!!faites des réserves,des stocks en tout genre car le gros caca arrive et très vite!!!!amicalement LPN26
SupprimerPS:et j'oublié cette histoire en Ukraine,le big merdier!!!allez voir sur le net,c'est pas bon du tout,ils étaient tous ou quasiment tous crevé avant le crash et pas cramés(bizarre quand tu te prend un tube de pleine face!?!) et exsangues;un tir soL/air ou de sukhoy su 25 qui les suivaient...on nous enfumes graves dixit les merdia'lci,i télé,bfm,tf1etc...),GAFFES,lespotos!!!cela ce précise,gardes à vous et prenez les devant,c'est pas bon du tout,enfin moi je dis ca je dis rien...?!?quand penses tu mon cher Igor toi qui connais l'EST ??? et Vlad qui moufte pas,il a des nerfs,le con,moi avec une pression pareille et la force qu'il a :j'les anéantis ces sales races!!!LPN26
SupprimerJe suis d'accord, Phoënix.
SupprimerLes tarifs de tout achat vont augmenter... De suite, je pense à tout ce qui s’achète à l’étranger, en particulier l'armement ; on ne fabrique plus d'arme à feu de part chez nous -_-
Pour les cartouches, le 12 pourra se trouver en France, chasseurs obligent, mais pour l'achat d'armes, faudra définitivement composer sa "liste de survie" assez rapidement.
Pareil, pour les plus riches (dont je ne fais pas partie :-( ) qui veulent investir dans une protection corporelle balistique. Casque balistique, gilet pare-balles et plaques balistiques s'achètent surtout à l'étranger.
Donc, pensez-y assez rapidement.
@LPN26
Tu as toujours la plume explosive, toi. T’enflamme pas, camarade ; nous sommes entre frères d’armes (du moins, je l’espère).
Quand je dis 20 ans, je parle du problème lié au pétrole. Relis-moi : « Comme vous le voyez, même si la crise actuelle identitaire / économique ne frappe pas la France aujourd'hui... »
Oui, j’ai vu le merdier actuel, et je n’arrête pas d’en parler. La France connait un déclin identitaire sans précédent, et ça peut exploser à tout moment.
La République nauséabonde et la complicité des principaux médias ne parlent que de la crise économique. Déjà, nous sommes en déclin définitif. En outre, le déclin économique seul, ne causerait pas en France de guerre civile.
Nos élites se foutent de nos gueules en nous abreuvant de problèmes économiques. Les Occidentaux ne vont pas si mal, en France, et il n’y a rien de dramatique, globalement.
Par contre, ces mêmes élites mondialistes occultent volontairement la catastrophe identitaire qui nous frappe, qui frappe le monde, d’ailleurs. Oui, le choc des communautés, l’intégrisme religieux, le Jihad, le nationalisme, les presque 2 milliards d’Africains qui se déversent peu à peu sur l’Europe, oui, tout cela va nous exploser à la gueule avant 20 ans. C’est certains
J’ai chaque jour le sentiment désagréable de ne pas être prêt. Ça vous le fait aussi ? Je vois les scènes de guerre civile à Barbès, je me dis : « merde, je n’ai pas assez de munitions en stock. Le mois prochain (car là je suis à découvert), je m’achète 10 boites de chevrotines. »
Il me manque des pièces détachées pour mon MP 155, et je compte d’ailleurs m’en acheter un autre : toujours doubler les systèmes. Il me manque pour ma femme et moi un pistolet semi-automatique chacun ; pas encore le papier qu’il faut. Il me manque un gilet tactique porte-plaques balistiques… trop cher et j’ai toujours pleins de merdes à acheter avant… etc.
C’est ça quand on est smicard ; c’est long pour s’équiper. Cela dit, je ne suis pas « nu ». J’ai une protection corporelle (non balistique) complète, un bon Baikal MP 155 crosse tactique et point rouge, du stock qui déborde de ma cabane de jardin, des armes blanches (couteaux, machettes, katanas) en quantité…
On a toujours le sentiment qu’on ne sera pas prêt le jour du Grand Bordel national…
LNP26, si tu me promets 6 mois avant que tout explose, d’ici là j’aurai doublé mon stock de cartouches, acheté un autre MP 155, et si Dieu me prête des sous, un gilet porte-plaques balistiques !
Euh, les missiles sol-air ou air-air ne crament pas les passagers. Ils rentrent et pètent au niveau des réacteurs. Le coucou se contente de descendre, bon là ça éparpille un peu.
SupprimerC'est con, les Ukrainiens ont annoncé trop tôt la nouvelles, ça fait moyen pour la crédibilité.
Et puis tous ces Boing-boing 777 Malaysien qui se perdent par-ci, qui tombent par là...
SupprimerPas très rassurant tout ça et ça fait deux raisons supplémentaires pour la prudence et le discernement ...
Faut que je continue mon stock. Je vais aller faire les courses à vélo ... c'est plus prudent.
bonjour
RépondreSupprimerje me trompe peut etre mais je ne crois pas a un effondrement brutale de la situation alors les provisions oui les armes bien sur mais a condition quelles soit discrètes "très discrètes".
si je me réfère a ce qui se passe en Ukraine je serais intéresser par :
_ connaitre vos recommandation a une famille vivant dans la zone non contrôler par les terroriste soit disant "pro russe" ou le gouvernement ne vous laisse pas d'autre choix que l'exécution pour collusion avec l'ennemie ou l’enrôlement volontaire de18 a 55 ans pour servir de chair a canon au service d'oligarque corrompus , habitant dans village de 4000 âmes avec jardin potager enclos de mur plus un bout de terrain derrière.
sachant que:
les flics sont nombreux et partout sur le territoire il ne sont jamais envoyés combattre on a besoin d' eux pour ramener la chair a canon récalcitrante.
ni la Libye ni la Syrie ni l’Ukraine n'ont été envahie par une puissance étrangère mais dans c'est trois pays c'est l'empire us qui s'est employer a y développer les diverses situations que l'on y connait pourquoi en serait-il autrement pour la France et qu'est ce qui vous fait croire que le pouvoir en france serait en mesure de résister a des manipulation des esprits ( propagande ) ?
La "France" pourrait bien résister elle.
RépondreSupprimerLe "pouvoir français" non, car non seulement il n'en a pas l'intention mais il participe activement à l'enfumage, la désinformation, la dissémination du "chaos constructif" comme il l'a fait en Lybie, en Syrie et d'autres pays en Afrique. Et à mon avis, pas dans l'intérêt du peuple de "France".
Et si, des trois pays que tu cites, deux ont été "envahi par une "puissance étrangère".
Des "djihadistes" armés jusqu'au dents, agissant en formations de milliers d'homme n'apparaissent jamais d'un coup de baguette magique dans un pays.
Il faut du fric, beaucoup de fric pour l'organisation et la logistique: chaine de décision, chaine de commandement, appros en hommes, en matériels divers, le transport, la nourriture, le paiement des troupes, repli et soins aux bléssés . . .
Alors on peut imaginer que ce n'est pas un bédouin, deux zonards, trois psychopates qui ont fait le coup seuls.
Quand aux choix à faire et autres recommandations, demandes toi ce que font les "réfugiés"?
Ce sont ceux qui n'ont pas choisi leur camp par conviction ou peur et qui ne se battent pas: ils fuient.
Parfois ce sera l'option du survivaliste isolé.
Ceux, les survivalistes et les gens de bon sens qui auront réfléchis davantage se seront regroupés et feront face si besoin et si possible.
Bien sûr, il faudra assumer les conséquences d'une fuite ou d'un combat et probablement se battre de toutes façons car il me semble qu'au niveau de l'insécurité, un camp de réfugiés ou de "déplacés" sans autres moyens de survie que la "générosité" et la "protection" de l'onu ne suffira pas.
La vie n'est pas un long fleuve tranquille.
des trois pays que tu cites, deux ont été "envahi par une "puissance étrangère
RépondreSupprimercertes il on été envahie "grâce" "avec l'argent" de puissances étrangère.
mais officiellement ce son des guerre civile aucun pays contre qui exercer des représailles.
d'autre part :
et en Ukraine ceux qui on pris le contrôle de l’appareille de l'état son a mon avis pire que les résistant du dombas.
la préparation survivaliste montreras très vite ses limites dans ce genre de situation.non ?
ce que font les "réfugiés"?
Ce sont ceux qui n'ont pas choisi leur camp par conviction ou peur et qui ne se battent pas: ils fuient.
quand des taré prétende t'imposer en prétendant être l’État une loi des règles inacceptable le chois est se soumettre ou fuir.
@ Roc Bali
SupprimerDans des luttes ou des guerres, de conquêtes ou de razzias, le "faible" peut trouver des moyens pour faire suffisamment mal au fort pour calmer ses ardeurs ce que tu appelles des représailles.
Pas forcément sur le front même mais en portant le fer ailleurs. Pour ce qui nous arriver et nous faire mal: dans les trains, métros, avions, écoles, châteaux d'eau, péage un jour de grand retour ... jusqu'à ce que "l'opinion publique" et les "sondages d'opinion" demandent aux gouvernants un changement pour cesser d'avoir peur tel un grand troupeau de brebis. Vite un berger et des chiens pour nous guider.
En Ukraine, on voit l'empire otanesque continuer d'étendre son influence vers l'est. C'est une guerre "feutrée" (sauf pour les victimes des deux camps) de conquête. Les répliques peuvent être variées. Poutine, comme aux échecs, vient peut-être de "fixer la poussée" sur le pion Ukrainien. La suite devrait se passer également et pas forcément de façon symétrique à coté.
Quid du survivaliste Ukrainien?
Soit il était averti, par expérience, qu'une catastrophe, peut importe sa forme et sa tournure ( Tchernobyl par ex.), était possible et il avait préparé quelques alternatives de sortie et de résilience soit il a improvisé plus ou moins dans l'urgence, soit il est esclave soit il est mort.
Vers l'est du pays certains trouvent refuge en Russie ou il sera proposé aux volontaires une formation au combat ou une vie misérable dans des camps d'accueil. A moins que la Russie soit plus généreuse que l'onu cela semble être la norme dans les camps. Qui souhaiterait y aller sauf à rechercher une formation?
Ceux qui restent n'ont d'autres choix que de faire face et de faire front ou de devenir invisibles. Cela n'empêche ni le potager et le poulailler ni de chercher une belle brune ou une jolie blonde pour aimer et faire la fête.
"quand des taré prétende t'imposer en prétendant être l’État une loi des règles inacceptable le chois est se soumettre ou fuir."
Sinon, tu peux aussi devenir rien, invisible, soumis et disparu des écrans: clodo par ex. vivant de la charité. Pas mieux que réfugié dans un camps en Afrique ou au moyen orient.
Se soumettre ou fuir? Tu oublies se battre sur place, porter le fer et le feu chez l'adversaire de toutes les façons possibles, lui infliger les plus vives douleurs physiques et morales, instiller la peur dans son salon et "jusque dans ses chiottes", semer l'effroi et la panique et lui "niquer sa race".
Bref être pire que lui.
Ici en occident, l'Etat et nos médias aux ordres nous racontent une fa(r)ce, un seul coté de l'histoire qui se déroule en Ukraine, en Syrie, en Israel, à Gaza et ailleurs dans le ciel et sur terre mais toujours sur fond de gaz et de pétrole comme par hasard.
Cet aspect des choses nous est présenté pour que nous soutenions les décisions prises soit disant en notre nom ( démocratie de m... qui gouverne des bouseux, dont je suis, pour le profit de "dandy" dégénérés) mais de l'autre coté, une autre histoire est montrée pour les mêmes motifs, pour une autre vérité et si un troisième intervenant: une troisième façon de raconter ...
Laquelle est vraie?
Il faut s'en foutre un peu mais notre véritable intérêt de survivaliste est ailleurs, il est dans un ensemble global dont il faut tenir compte. Il faut envisager son environnement de tout proche à lointain et son "biotope" ce qui va bien pour soi et comment on a envie de vivre.
Alors organiser sa vie et sa survie, faire et préparer la plus large autonomie et indépendance possible semble ne pas être complètement idiot dans l'époque actuelle.
L'état d'esprit d'abord
la forme et l'organisation en suite.
Le détail se trouve dans les articles du site.
Gibus
l'etat et les fouteur de merde ne te ferons pas le plaisir de se détruire mutuellement
SupprimerPour ma part je suis très septique sur le mouvement survivaliste et cela pour plusieurs raisons
__premièrement j'ai l'impression que si vous vous préparez plutôt bien a un effondrement totale du système vous avez bien conscience que face a une force organisé et dotée des moyens sinon d'une armée du moins d'une police moderne vous ne faite pas le poids.
que vous espérez donc que certain vont foutre un bordel tel que le système légale vas s’effondrer et que vous allez devoir vous débrouiller tous seul pour assurer votre sécurité et votre ravitaillement.c'est là a mon avis que vous faite erreur car je pense que l’État a et auras TOUJOURS les moyens de mater tout ou partie de la population qui oserais se rebeller et contester son pouvoir.et cela au maximum en 48 heures.
en effet je pense qu'aucun groupe de citoyens ou communautés ne peut de nos jours atteindre suffisamment de force et de cohésion pour représenter un quelconque danger pour le pouvoir si ce groupe ou communauté n'est pas soutenue et financé par une puissance extérieur qui aurais pris soin de s'assurer de la complaisance ou au moins de la non intervention d'une partie important et essentielle des forces sur lesquelles le pouvoir en place destiné a être renversé pense pouvoir compter.
et celas d'ans l'intention bien sur de récupérer la fonction (le pouvoir)
autrement dit le système,l’État ne te fera pas la politesse de disparaitre en TE laissant le champ libre .
si une situation de chaos ou de guerre civile se développe alors c'est qu'il y auras au minimum deux puissance extérieur qui serons impliquée dans la situation .
la résilience des survivaliste (groupe ou binôme) sera alors réduite a quasi zéro ;le choix sera donc réduit a choisir entre un des deux camps si il nous est possible de rejoindre chacun des deux camps.
en Ukraine les nazillon de Kiev ne laissent pour seul choix a ceux qui on le malheur de se retrouver sur leur territoire que la mort pour complicité avec l'ennemi ou l'enrollement.
certain rapports parle de 47% de désertion du coté de Kiev. déserte ils seul ou en groupe , avec ou sans leur armes et pour aller ou :
(retourner chez eux et prendre le risque de se faire reprendre par la police qui n'a vue aucun problème a coopérer avec le nouveau pouvoir ,
rejoindre la résistance du dombas
essayer de fuir cette situation cauchemardesque en essayant de se rendre a l’étranger. . .
pour les hommes de 18 a 55 ans leur premier ennemie fut donc la "police " qui fonctionne : en groupe très structurer et hiérarchiser ,connais les noms et les adresses de chacun .
si en Libye et en Syrie le chaos.s' installe et dès que le pouvoir en place disparait c'est a mon avis parce que les nouvelle force qui serais en mesure de s'imposer a la tête de l’État n'ont pas besoin de la population pour se remplir les poche et continuer a se financer au contraire les population constitue une source de problèmes et de dépenses auxquelles ces forces nouvelle ne peuvent et ne veulent pas faire face .
en Ukraine par contre il n'y a pas de pétrole la population est donc le seul moyen de se financer et c'est pourquoi a mon avis les nouvelle force après avoir fait chuter le pouvoir de yanoukovitch se son empressée de s’installer a la tête de l’État et de maintenir les fonctions essentielle donc les policiers et les militaires en place .les policiers on tout intérêt a servir et a obéir au nouveau pouvoir car cela leur évite d'avoir a aller servir de chair a canon sur le front et leur assurent un revenu .
@ Roc Bali
SupprimerEt pourtant si, il est tout à fait envisageable que l'état et les fouteurs de merde ( si ce ne sont pas les mêmes) scient la branche sur laquelle ils sont assis: les uns car ils ne peuvent plus financer par la dette ni l'impôt un calme précaire les allocs des autres qui ne savent que foutre la merde.
Et ainsi va le ventilateur.
Je ne pense que le "survivaliste" individuel, car en tant que "mouvement" je ne connais pas de parti survivaliste ni de regroupement et il n'est qu'à voir la difficulté de géolocaliser un survivaliste voisin, souhaite ou espère un effondrement du système.
Le "survivaliste" est plus que probablement d'abord individualiste, avec une volonté farouche d'indépendance et d'autonomie.
Je pense que le "survivaliste s'y prépare, en caressant son chat d'une main et en triant toutes sortes de bon grain de l'ivraie de l'autre, ce qui est différent: se préparer et le souhaiter sont deux choses différentes.
Maintenant, si/quand cette merde de système va choir, je ne pleurerais que d'un œil et je garderais l'autre sur l’œilleton.
Pour un "survivaliste", aborder "la survie" n'est pas aborder l'idée d'un conflit armé comme première option: bien trop dangereux, Rambo s'en occupera.
Le "pouvoir" en tant que tel n'est pas le problème, le problème c'est sa qualité, sa raison d'être. Est il juste "le pouvoir"? Est il "le pouvoir" de faire pour un petit nombre ou pour le plus grand nombre ...etc ...
Récemment, on a vu des pouvoirs en place tomber comme des fruits mûrs suite à des "révolutions" colorées dans l'intérêt de groupes qui n'ont rien à cirer des zozos "survivalistes" ou suite à des mouvements de colères(s) par forcément contrôlés qui amènent un chaos auquel le "survivaliste" lambda tentera par ses préparations d'échapper.
Quand aux flics, tant qu'ils seront payés il iront en ordre sinon ils feront parti du chaos.
L'Ukraine de l'ouest était appelé le grenier à blé, à l'est de nombreuses manufacture pointues et lourdes et semble-t-il ... du gaz de schiste à exploiter.
Car je ne pense pas que tu puisses croire comme un gentil camarade que nous "libérions" l'Ukraine et sa "population" d'un président élu démocratiquement par un coup d'état mené par des groupuscules à connotations "paléofacho" pour que pujahélas s'occupe entre une pub pour des tampons et une autre pour le camenbert: il a mieux à faire.
Il n'y a de septique que d'anti et de fosse.
Anonyme19 août 2014 17:10
Supprimer_Et pourtant si, il est tout à fait envisageable que l'état et les fouteurs de merde scient la branche sur laquelle ils sont assis.
_non ,l’état et les fouteur de merde ne te ferons pas le plaisir de se détruire mutuellement
l'état ce sont aussi des réflexs
il est par exemple courant que en cas d'écroulement d'un système d'organisation les homme continue a faire appel au homme de l'ancien système juste parce que il ne savent pas comment faire autrement, ainsi en cas de différent entre un voisin il se tournerons vers les policiers et les juges,c'est a dire ceux qui ont été mis en place par un pouvoir qui n'existe plus en offrant a ces homme qui ne devrais plus avoir aucun pouvoir un pouvoir énorme sur leur vie et celle des autres.
il suffirait alors que quelqu'un mette une ou deux balles bien placées pou remettre ce flics ou ce juge corrompu a leur juste place.
Quand aux flics, tant qu'ils seront payés il iront en ordre sinon ils feront parti du chaos
un flic ce n'est pas seulement payé comme tu dit c'est aussi logé, il suffira a l'état de leur promettre une amnistie et de les nourrir pour leur faire faire leurs basses œuvres .
et puis met toi a leur place un instant que croit tu qu'ils vont préférer : se jeter seul ou en petit groupe dans la bataille généralisée ou bien continuer a obéir comme il ont été dressé a le faire et bénéficier d'armes,de protections personnelle de véhicules blindés "dont tu ne pourras jamais que rêver" d'une coordination qui leur permettrons de reprendre le contrôle sur les survivalistes dans leur BAD qu'ils y soit seul ou en groupe.
l'état comme ce qui en tiendras lieu a et aura besoin de t'exploiter pour se financer et exister il n'y a pas de pétrole a extraire en france et le gaz de schiste rapporte peut et nécessite beaucoup de technicités, de stabilités "politique et sociale" et de capitale pour être extrait.
non sincèrement je pense que l'idée de BAD si elle peut être utile voir vitale pour les petites crise genre catastrophes naturelles genre tempête 1999 en france ou ouragan "nouvelle Orléans" ne seras pas du tout adapter a la grande crise qui s’annonce en France.
je n'irais pas te dire que ta préparation que tu fait ne serviras a rien mais que son utilité resteras a mon avis très limitée .
que faire alors ... je ne sait pas mais je crois que l'utilité très limitée tiendras surtout au fait que la mentalité des survivaliste consiste surtout a se préparer techniquement et matériellement et a attendre le choc pour y résister .
je me trompe peut être mais je ne pense pas que les suvivaliste serons pro actif dans la grande crise qui s’annonce, ce qui les condamne selon moi a être au mieux balloter au pire a servir de réserve d'arme de matériel et de garde manger et de chaire a canon pour ceux qui auront su s'organiser : en "système" ,en "pouvoir", en "je ne sait pas comment le définir" .
-PS : désolé si ces posts vous semblent agressif mais ce n'est pas leur but c'est juste un "début" de réflexion que je n'arrive pas a pousser plus loin tout seul ...votre aide est donc la bienvenue surtout si elle est constructive.
mercis
Salutations,
SupprimerTu fais partiellement erreur l'ami, tous les "flics" ne sont pas logés, en effet seuls les gendarmes peuvent bénéficier d'un logement de fonction et pas gratuitement il me semble, les policiers doivent payer à leurs frais comme tous citoyen leur logement.
Cordialement
certes mais outre que souvent il son logé dans des ""HLM"" réservé , en temps de crise et de salaire impayé tout ce que les rares proprio privé pourrons faire ce seras d’appeler leurs collègues flics !
Supprimer" Est-il plus probable que vous trouviez cette communauté parmi vos voisins actuels, ou parmi des groupes soudés d’agriculteurs qui ne vous connaissent pas et vous voient pour la première fois ? " Oui et non ! Je me suis aperçu que ce village où je suis né est constitué de pleutres, de salopards et de mauvaises langues.
RépondreSupprimerPierre se souviendra de l'incident arrivé contre la dizaine de motards et les deux salopes de GONZESSES qui les premières m'ont accroché, et qui ont permis à un des motard d'avoir le temps de m'assommer en me flanquant un coup, sous le nez (impeccable, bien visé, chapeau, le mec). Moralité : méfiez-vous aussi beaucoup des femmes ! on ne parle pas assez de ces salopes que tu magnifies trop, Pierre !
Ensuite. Avec ma frangine, nous pensions faire un binome. Depuis qu'elle a abandonné son boulot, acheté ses pièces, et surtout depuis qu'elle s'est installé dans sa BAD , à comme dirait l'autre, à 50 mètres de chez moi, nous sommes en froid. Et en froid, très sérieux.
Nous n'avons pas la même mère, et notre père est mort. Une de ses vieilles amies qui a l'âge de ma mère, a fait trainer des rumeurs ridicules sur ma mère. je lui ai écrit, et elle est venu montrer ma lettre à ma sœur,pile au moment où j'étais là, chez ma frangine, qui, très nerveuse, assez mal dans sa peau, m'a envoyé bouler et m'a foutu à la porte !
cela fait 20 ans que nous étions proches et d'accord sur tout.(pièces de métaux, réserves..main-mise des lobbies etc.)
Ma mère, avant cet incident, était tombée sur le sternum, elle a souffert des semaines, ma sœur l'a emmenée à l'hosto, mais a été assez désagréable avec elle. De ce fait, ma mère ne veut plus la voir.
Résultat : alors que depuis des années, nous pensions nous organiser ensemble au cas où, et former un trio entre ma mère, elle et moi. Eh bien, voilà, patatras.
Ce bled , c'est Clochemerle. avec des individus que je considère comme très dangereux, dont un groupe de jeunes motards -pas les mêmes que ceux qui m'ont agressé- qui font tous un raffut pas possible avec leurs maudits engins.. Un de ces 4, je vais préparer un pot de pisse pour le leur balancer sur la gueule.
Ici, c'est clair : impossible de compter sur personne. et face à plus de 3 personnes, sauf à être très pro et en pleine forme, aucun art martial ne fait le poids, aucun.
Je connais un très grand maître d'aïkido qui s'est fait tuer, simplement parce que ce soir là, un rival l'a poignardé dans le dos, alors qu'il était saoul !
Par ailleurs, tout ça, c'est très bien, mais si le chaos dure plus de 3 mois ! Je vous le dis, sauf pour qq privilégiés, c'est cuit. Nous serons tous en grand danger.
J'ai un voisin qui lui a tout ! SAUF un grand mur avec des tessons de bouteille pour se protéger ! Son potager peut être pillé en moins de deux, puisqu'il est entièrement ouvert
Tous les conseils de Pierre sont valables, mais pas au-delà d'une certaine limite dans le temps. .Personne ne peut s'improviser professionnel. ma seule défense, ce sont des bûches. Mais si je m'étais défendu face à ce groupe, alors, là, cela aurait pu tourner encore plus mal, car si j'en avais assommé deux avec une bûche (et c'est un peu dur avec des mecs casqués) , j'aurais pu perdre ma peau. le survivalisme, c'est comme avec le fric : je ne sais pas quoi faire, le sortir de la banque, et le convertir en pièces ? Je suis très circonspect.
En tous les cas, pour revenir à la phrase que j'ai collée en haut ! ici, sud finistère, aucune confiance en personne. A part ça, ce matin, les chemtrails continuent, absolument énormes, et polluant les sols de leurs aluminium, barium, etc.
Un avant-goût, et face à des Rugbymen !!!
RépondreSupprimerhttp://gaelle.hautetfort.com/archive/2014/07/26/silence-mediatique-sur-l-agression-des-rugbymen-a-millau-5417245.html
Bonjour, je réagis un peu tard sur ce billet, mais je viens de découvrir ce blog.
RépondreSupprimerIl y a de gros avantages certes a rester en ville, mais je préfère être dans une petite ville que par exemple a Paris.(enfin si présence de BAD bien entendu).
L'ennui de la ville est l'approvisionnement d'eau, a moins de déjà avoir stocké beaucoup d'eau le moindre soucis pourra vous mettre en danger a cause d'eau. (on peut se priver de nourriture beaucoup plus longtemps que d'eau).
On parle beaucoup de troque et d'échanges, mais il sera gangrené par la corruption(beaucoup d'intermédiaires) et vous aller sans doute devoir payer beaucoup plus cher chaque chose troquée en ville qu'a la campagne, car a la campagne on vous retrouve beaucoup plus facilement qu'en ville. (ce qui est une qualité mais aussi un défaut)
Mais le plus gros désavantage de la ville pour moi est la propagation beaucoup plus rapide et facile des maladies, qui dit beaucoup d'intermediaires dit beaucoup de vecteurs potentiels, de plus l'hygiène générale de la ville chutera. Et en carence de sommeil ou d'alimentation correcte et de stress omniprésent vous allez attrapper très facilement tout ce que traine par la, accentuant bien souvent le problème de l'eau (car bon nombre de maladies vous refilent des problèmes de transits qui vont vous déshydrater).
Si vous êtes malades en ville alors tous les avantages de la ville deviennent des défauts et malades ne vous leurrez pas nous le serons.
La probabilité qu'une horde trouve votre BAD un peu planquée a 50-100km, d'une grosse agglomération vaut largement celle de se prendre un coup de couteau,une balle, attrapper une maladie en agglomération a chaque fois que vous sortez de chez vous.
La probabilité qu'une horde trouve votre BAD un peu planquée a 50-100km, d'une grosse agglomération est forte si cette horde porte des uniforme bleu car ta BAD a depuis longtemps été repéré et enregistré .(voir plus haut)
SupprimerEnfin un article dans ce sens, ça apporte de la matière à réfléchir et ça sonne plus réaliste et nuancé que le bushcrafteur-BADeur habituel qui passe sa vie à se préparer hors de la ville (une minorité que presque aucun citadin ne suivra sans menace réelle de catastrophe imminente)
RépondreSupprimerIl y a néanmoins un truc que je n'ai encore lu nulle part, c'est qu'en cas de guerre civile communautaire ou autre crise de moyenne intensité, seules les forces de l'ordre stationnées dans les grandes villes près de leurs familles ne déserteront pas pour les rejoindre. J'imagine mal le gendarme au fin-fond de la campagne, à 500km de sa femme et ses 3 jeunes enfants, rester zen à son poste en cas d'effondrement partiel de la société.
L'ordre ne sera réellement assuré que dans les zones à haute densité de population, et même si le risque sera quotidien, il sera aussi minime par rapport aux possibles bandes armées qui prendront d'assaut les villages au calme, ayant tout le temps pour violer / piller / torturer dans un lieu isolé de tout.
Les cambrioleurs font des centaines de km en temps de paix, alors les bandits en temps de crise, j'imagine qu'ils ne se risqueront pas à rester en ville avec les couvre-feux et le tir à vue que ça impliquera.
Le petit fusil de chasse ou les quelques BAD isolées ne résisteront pas longtemps aux attaques surprise avec l'armement qui est déjà présent dans les cités, mais caché : AK47, RPG-7 et autres merdes que l'ouverture des frontières de l'Europe a fait proliférer (prix divisé par 10 sur le marché noir)
Bref, le gros problème général, c'est que le choix pour ou contre la ville ou la campagne est dépendant du type d'intensité de la crise en question.
Les situations complètement différentes impliqueront des choix complètement différents, parfois au cas par cas (selon chacun, son emplacement exact, ses voisins, son ethnie etc), donc cet article est super, puisqu'il bouleverse enfin les certitudes de l'axiome "fo se réfujiait a la kampagne avèque son sak F2 é sa tante 2 sekonde"
Merci !
Comme dab avec M.Templar.
RépondreSupprimerEn cas de conflit plus d'approvisionnement dans les villes, manque d'eau, d'électricité, enfin plus rien sinon les réserves perso ?????????? sans compter les pillages des gents qui manquent de tout
La campagne, préparée il reste l'eau l'agriculture enfin presque tout. REVOIR M.TEMPLAR LA VIE EN 1939 A 1945 DES CITOYENS DES VILLES? AVEC LES TICKETS D'ALIMENTATION ET AUTRE
ET ILS M'EN RESTE
Je sais il me traite de BOURRIN mais moi j'ai un vécu
ET PAS MAL DE FORMATIONS PRO
ARRETER LE CINEMA S.V.P.
bonjour le Gaulois ,d'après vos propos voue êtes resté en 39/40 des tickets d'alimentation !!!car vous pensez encore naïvement qu'il y aura des tickets d'alimentation et des avantages pour les J3,en retard d'une guerre comme en 14 et comme en 39,vous avez quand même vu ce qui s'est passé en Espagne à la même époque et bien c'est ce qui risque bien d'arriver en pire , ça ne sera pas "au bon beurre", ,blague dans le coin , j'aimerais être là le jour ou vous brandirez vos tickets comme les emprunts Russes de la belle époque.Je vous souhaite de passer a coté de la prochaine guerre civile ,tout comme je le souhaite a tous ,vous n'avez aucune idée de ce que c'est ..bien cordialement
RépondreSupprimerBonjour M.Janus
RépondreSupprimerMa remarque sur les tickets d'alimentation et autres est là pour attirer l'attention des gens en cas de conflit. Les grandes surface aujourd’hui seront vides en 48H ET TOUT MANQUERA DANS LES VILLES. Quel abruti ira avec de tickets d'alimentation de 39/45 dans un commerce????????????
C'est comme les emprunts Russe NORD DONIST EMIS EN 1908 et oui il m'en reste aussi TOUT EST SOUVENIR DE FAMILLE
En parlant de guerre civil, là encore les personne de ma génération et celles d'avant savent à quoi s'attendre
L'époque de l'Algérie caché au citoyens FRANCAIS? LES ENFANTS DES COLONS CLOUES SUR LES PORTE DES FERMES, LES SOLDATS FRANCAIS FAIT PRISONNIERS ET DECOUPES EN MORCEAUX
LES LAMPADAIRES AUX ARRÊTS DE BUS REMPLIS D'EXPLOSIF, LE MILKBAR,LE CASINO DE LA CORNICHE ET J'EN PASSE. 23000JEUNES DU CONTINGENT TUER. 5 amis y sont resté, Michel BERTHET mon chef scout une rue porte son nom à Lyon
Ma Vie: né en 1943 école religieuse jusqu'à 14 ans (pas coule du tout à l'époque). 10 ans de Scoutisme dont 4 dans une troupe RAIDERS 1 an de préparation militaire aux cadets Rhin et Danube, engagé volontaire à 18ans 1/2. Création d'entreprise de construction métallique à 29 ans et pendant 30ans avec pas mal d'articles dans les journaux et revues spécialisées. Voila mon parcourt
QUITTER LES VILLES EN CAS DE PROBLEMES GRAVE L'HISTOIRE DE L'HUMANITE EST LA POUR LE RAPPELER
ET IL Y D'AUTRES RAISONS POUR LES GRANDES VILLES
Sans aucune prétention,personne ne détient la vérité.
Bien à vous
Bonjour Le Gaulois ,même si nous détenions la vérité elle ne serait que momentannée et circonstancielle,la vraie clé de la survie est la capacité a s'adapter rapidement a des situations mouvantes dangereuses.Je ne vois pas une guerre survenir comme celles que nous avons subi,ou ce sera une guerre civile ou l'armaguedon apocalyptique total et si c'est le cas toutes nos pauvres suppositions disparaitrons avec la vie sur la planète.L'inquiétant est qu'auparavant la dissuassion nucléaire jouait a plein chaque belligérant étant bien persuadé qu'il serait lui aussi vitrifié par l'autre,ce n'est plus le cas ;du moins pour les Us ou la complètement cintrée mère Clinton et ses amis s'imaginent pouvoir survivre au feu nucléaire,ça change la donne et c'est en cela qu'ils sont un véritable fléau pour notre planète.Pour le reste je partage totalement votre avis sur le lieu ou il reste une petite chance en cas de gros pépin :la campagne sans que ce soit le grand désert.Bien cordialement Janus
SupprimerBonjour cher gaulois,
Supprimerje crois et j'espère que chacun ici a compris que vivre en ville en plein chaos ne sera pas une partie de plaisir.
Cependant, personne ne peut dire quand la situation basculera du désordre progressif actuel dans un chaos total.
Et beaucoup s'y trouveront encore à ce moment.
Pour ceux-là, vaudra-t-il mieux se lancer dans la foule des désespérés dans l'espoir d'atteindre un hypothétique havre de salut?
Ou vaudra-t-il mieux suivre le plan qu'ils auront préparé à l'avance pour survivre sur place dans les meilleures conditions en attendant d'y voir plus clair et, peut-être, partir plus tard?
Si mon contexte personnel m'imposait de rester dans une grande ville, je préférerais prévoir le nécessaire pour y survivre au cas où j'y resterais coincé au mauvais moment.
Et soyons conscients qu'à la campagne non plus ce ne sera pas drôle en temps de chaos.
Dans l'exemple que tu as cité, de l'occupation allemande, quoique l'on pense de ses côtés indubitablement désagréables, la plupart du temps on était loin du chaos; c'était même plutôt ordonné, qu'on aime ou non.
Bonjour à tous
RépondreSupprimerSuite à l'article "rester en ville ou partir à la campagne"
nous venons d'avoir une réponse flagrante avec les infos et les reportages filmés sur le Gabon.
La queue devant les magasins (manque d’approvisionnement)
et pillages dans les villes.
Donc je pense qu'il y a là une réponse pour certains
Par contre, avoir un point de chute est préférable, et à la campagne il y a toujours un minimum de nourriture.
Et pour l'occupation Allemande il ne faut pas oublier le bombardement des grandes villes que les gens fuyaient.J'ai été dans ce cas à un an et demi, blessé dans les bras de ma grand mère qui elle a reçu le max.
Comment pouvez vous avoir des certitudes pareilles!! Avez vous vecus 100 guerres civiles pour faire des statistiques!! Chaques cas est differents. Avants, les guerres etaient sur le champs de battaille, aujourdhui elles se passent a ville systematiquement: si il y a une guerre civile en france vous allez tomber sur des jihadistes experimentés en guerilla urbaine (voir syrie en ce moment) qui recupereront patés de maison apres patés de maison (au passage, jetais a sarajevo en 94, du 1er rcp bordeaux, camp de souges!). Votre salut sera dans les regions de moyenne montagnes, mais surement pas en ville, vous n'etes pas assez fouraillés (a sarajevo bcp de civils avaient des ak47, arretez de lire bienvenue en enfer, vous n'etes pas prets a la guerilla)
RépondreSupprimerBon en meme temps chacun fait comme il veut
De 2 choses l'une....ou on s'adapte, ou on meurt...Dada
SupprimerPour le coup, meme si je suis pas forcement daccord avec cet article, je viens de survoler le reste du site et il est tres pertinent, les sujets aussi. Bravo monsieur
RépondreSupprimerLe Gaulois. A qui répondez vous Anonyme du 30/10 moi je ne parle que de vécu et de réalités. vous Sarajevo, moi Algérie à 19 ans.
RépondreSupprimerAu niveau de l'enfouraillement et non du fouraillement quand savez vous? quant à votre lecture, inconnue pour moi. Et que savez vous de ma formation??? votre réflexion me parait plus que bizarre par rapport à mon avis précédent qui ne fait que de constater et non d'affirmer ET FINALEMENT VOTRE SOLUTION EST LA MEME QUE LA MIENNE QUITTER LES VILLES
Vous avez tous raison
RépondreSupprimerJe reste persuadé que pour survivre la campagne et le meilleur choix avec cours d eau à proximité pour ma part carte IGN la base sinon vous êtes mort connaissances faune et flore aménagement rustique de points de chute avec arme vêtements ration dans des cantines' cela peut être fait très rapidement
RépondreSupprimerSalut Templar,
RépondreSupprimerTrès bon blog, et même si je ne suis pas toujours d'accord avec toi, j'apprécie le fait que tu apporte de la matière à la discussion.
Je pratique le "survivalisme" depuis quelques années et me suis récemment installé à la campagne, la vraie, celle un peu "reculée" (si tant est que cela existe en France, c'est relatif on est pas dans l'Ouest américain ou l'Alaska), j'ai conscience que c'est une chance, que tous ne peuvent pas faire pareil.
Je ne suis pas tellement d'accord avec toi sur le choix de la ville en cas d'effondrement, on va prendre un scénario à la Laurent Obertone ("Guérilla" dont je recommande la lecture).
J'ai lu tes arguments.
En cas de chaos si on est Français, blanc et chrétien, si j'ai bien compris, il vaut mieux être dans un HLM à la Courneuve (pour les raisons évoquées) ou dans les grands centre villes (Paris Lyon, Marseille etc) que dans une fermette un peu paumée du Cantal ou des hautes Alpes ?
Euh quelque chose m'échappe là...
J'ai habité Avignon pendant 41 ans, et franchement ce n'est pas le genre d'endroit où j'aimerais être le jour ou ca va commencer à vraiment dérailler.
Jérôme
non, tu as mal compris. Ce que j'ai voulu dire, c'est qu'il vaut mieux rester chez soi tant que les conditions le permettent plutôt que de partir à l'aventure dans la verte. Si tu es déjà installé à la campagne, alors tu as une double bonne raison de rester chez toi. Un vrai survivaliste - du genre de ceux qui ont quelque chose entre les oreilles - aura compris de lui-même qu'il ne devra pas rester à vivre dans un HLM à la Courneuve, et aura pris soin de déménager bien avant que les choses dégénèrent.
SupprimerJe trouve la recommandation du site, en bas de page un peu limite...c'est honteux.
RépondreSupprimerA rejeter.
Quelle recommandation?
RépondreSupprimerÀ partir de: merci de veiller à l'orthographe...
RépondreSupprimerCharmante expression, vous êtes de l'ancienne époque?
Ben oui, l'époque où on parlait français.
SupprimerEt vous, quelle est votre langue maternelle?
La novlangue?
Si vous ne comprenez pas, lisez "1984"